Dis moi ma poule... T’es au courant quand même qu’avant la voiture, les rues étaient encombrées de calèches, de chariots à boeufs et même de chaises à porteurs ?
Les moyens indivuduels de locomotion ont toujours existé.
Alors évite d’idéaliser un passé que visiblement tu ne connais pas...
Juste une question.
Les photos de google street view sont elles protégées par Copyright ?
Vaste sujet que celui de la démocratie...
Mais plus vaste encore est le sujet de son application.
Revoyons donc les bases :
Démocratie : Le terme démocratie désigne un corpus de principes philosophiques et politiques, suivant lequel un groupe social donné organise son fonctionnement par des règles : élaborées, décidées, mises en application et surveillées par l’ensemble des membres de ce groupe, a priori sans privilèges ni exclusions.
L’ application pratique de la démocratie s’est faite en Grèce Antique, ou tout citoyen (avec des variables selon les cités) pouvait postuler à un poste électif. Le choix du citoyen pouvait aussi être requis pour d’autres décisions, comme par exemple le vote ou non de l’exil d’un notable ou d’un général.
Mais très vite, des limites sont apparues : à Athènes par exemple, seuls étaient considérés comme citoyens les mâles nés athéniens d’une famille athénienne. Les étrangers (les métèques), les femmes, les esclaves étaient exclus du système. Aucune « naturalisation » n’était possible, ce qui a fini par scléroser totalement le système.
Après un bref passage au sein de la république romaine, la démocratie fut oubliée des grands ensembles politiques européens, asiatiques et américains. Ce n’est qu’ à partir de la Renaissance, période de redécouverte du monde Antique, que le concept a refait durablement surface.
Mais entre temps, le monde avait quelque peu changé.
Les cités indépendantes d’autrefois faisaient parties d’ensembles plus vastes. La population était bien plus importante.
Un village de cinquante habitants pouvait vivre selon les règles de la démocratie directe.
Pas une ville de 50 000.
Certains philosophes ont alors émis le principe de la Représentativité. Les citoyens allaient désigner un petit groupe selon des règles définies et ce groupe allait géner l’ensemble des ressources et de la population.
Si le système était bien pensé au départ, il y avait des instances de contrôles de prévues et, au pire, le caractère provisoire du mandat donné mettait l’élu sous la menace d’un renvoi pur et simple à l’échéance suivante.
Le système n’est pas parfait, c’est sûr. Mais il est toujours plus fiable qu’une désignation par tirage au sort.
"Et bien moi, je te donne mon billet que, comme pour les grands procès
aux assises, l’on peut, avec un avocat pour et un contre, former
rapidement l’opinion, la connaissance des gens sur des sujets qui, de
l’avis de ceux qui veulent rester habillés du costume des spécialistes,
sont inaccessibles à la vulgate.« : A ton avis, il faut combien de temps pour intégrer les notions de comptabilité, les règles d’urbanisme, les lois civiles, les lois relatives à la préservation de l’environnement et autres fantaisies du même tonneau ?
» A priori. L’est pas si con que ça, le peuple.« : L’an dernier, il y avait les élections prud’hommales. On était déja en récession économique. Le taux de participation à ces élections, qui désignent ceux qui doivent protéger les droits des travailleurs en conflit avec leur direction, n’a jamais été aussi faible.
Donc oui, il est si con que ça, le peuple...
»Tu crois franchement qu’on fera plus de conneries comme ça que de répandre des OGM partout, de l’amiante, des 4X4 urbains, des fortunes colossales et 1 milliard de personnes qui meurent de faim quand on sait que les responsabilités de ces catastrophes humaines sont induites 9 fois sur 10 par l’actuel mode de fonctionnement de nos démocraties ? Tu crois vraiment ?« : Sincèrement ? Oui...
Pour reprendre tes exemples, construire une route ou un parking, ce sont des travaux de longue haleine. Cela ne se fait pas en trois semaines, et surtout cela engage les successeurs sur la durée... Un stade, on ne le construit pas sur un mandat et on le démolit pas après parce que le nouveau tiré au sort veut le déplacer plus au nord ou plus au sud et qu’il aura rallié une majorité avec son bagout.
»Tu penses vraiment que nos maires, députés (européens ou nationaux),
nos sénateurs rendent des comptes et appliquent, surtout, ce dont les
peuples auraient vraiment besoin pour vivre, simplement ?« : Les comptes, ils les rendent à chaque nouvelle élection. A toi de le virer si tu estimes qu’il n’a pas bien fait son travail.
»Là, comme ça là, tout de suite : l’agriculture saine, la santé, l’éducation, l’amour.« : Dois-je considérer que tu estimes les habitations, les infrastructures routières et énergétiques comme étant futiles et non indispensables ?
Tiens j’ai envie d’être gratuitement méchant là...
»Le chômage de sa fille surdiplômée, son F3 balcon à 950€ comme
ailleurs, son boulot de merde qui le maintient dans l’impossibilité de
divorcer puisque, sa femme, il ne la voit jamais, la bouffe qui coûte
chaque année trois jours de vacances en moins" :
C’est bien fait pour elle ! Elle avait pas à fait socio à la fac, c’est une usine à chomeur ! Ton appart, t’avais qu’a l’acheter et si t’es pas content, trouves toi un truc moins cher ! Ton boulot de merde, c’est toi qui l’a choisi ! Si t’en es pas content t’avais qu’a bosser plus à l’école ! Et mange donc moins ! Tu vois pas que t’as grossi ?
Amoureux amoureux... ils ont fait la fac ensemble (et c’était pas Assas...). Ca crée forcément des liens.
"« On s’est connus, se souvient Fouks, en collant des affiches, trois socialistes au milieu de cinquante trotskistes, qui nous balançaient des seaux de colle ! Ça crée des liens... »
Faudrait aussi parler de la conception de la démocratie chez les colleurs d’affiche de gauche comme de droite...
T’as bien raison, avec des bases pareilles, on à l’UMP à l’élysée pour quarante ans au moins !
C’est fou ce qu’on trouve quand on relit un article... A croire que des lignes se rajoutent sans arrêt...
« Enfin, pour asseoir sa légitimité à être le nouveau « traître » du P.S, Manuel Valls n’hésite pas, le 6 avril 2009, à inviter Eric Besson dans sa ville, pour échanger sa vision sur l’immigration. » : Pour un débat sur l’immigration, je ne vois pas en quoi inviter le ministre de l’immigration, aussi sulfureux qu’il soit, pose un problème. Pour débattre, il faut être au moins deux, et que les participants soient d’avis différents sinon ce n’ est plus un débat, non ?
A moins que ton concept du débat soit un réunion de gens qui sont d’ors et déja du même bord et d’accord en tout...
« Quand on s’enferme dans des slogans, le refus du débat et de la confrontation des idées, quand on se réfugie dans la théologie, c’est bien que l’on n’a plus confiance dans ses propres idées, ses propres convictions ».
Il y a quelques imprécisions...
"Déjà en 2002, il prenait position contre un magasin Franprix de sa ville souhaitant vendre de la viande « hallal » pour les musulmans. « : C’est faux. Le gérant avait retiré des rayons du magasin tout ce qui n’était pas islamiquement correct, à savoir la viande de porc et les boissons alcoolisées. Mis en demeure par la chaîne de remettre ces produits en rayon, le gérant a préféré vendre.
Quand à ses positions envers les éléphants, il est clair qu’il joue sa propre carte.
Pour le reste, laissons-le s’exprimer...
»Même en plaisantant, c’est stupide ! J’ai ma part de contradiction et
d’aveuglement. Je suis prêt à en faire l’inventaire. Ma position sur le
référendum européen, en 2005, était alambiquée et problématique. Mais,
sur l’essentiel, j ai un fil conducteur : le rapport aux citoyens. Je
leur dois à la fois la vérité et la présence. Je suis avec eux, mais je
ne les mène jamais en bateau. Sur tous les sujets qui nous ont coupés
de l’électorat populaire, j’essaie d’être constant. Cela vaut pour la
sécurité, l’autorité - une valeur de gauche -, les délocalisations,
l’équité, les retraites. Dire la vérité en matière économique ne
signifie pas donner quitus à des patrons qui abusent de leur puissance,
et encore moins abandonner à leur sort des salariés victimes de
l’inévitable. Défendre les immigrés ne signifie pas renoncer à tout
contrôle. Mais contrôler l’immigration ne signifie pas, inversement,
autoriser la chasse à l’homme. Etre intransigeant sur la sécurité ne
signifie pas soupçonner indifféremment tous les habitants des quartiers
populaires. Mais respecter ces quartiers implique de désigner ceux qui
les détruisent, de l’intérieur comme de l’extérieur. Vouloir la
sécurité-flexibilité n’impliquait pas de mépriser les LU. Deux choses
me sont également odieuses, deux formes de mépris en fait. Le mépris
démagogue, qui consiste à suivre systématiquement l’opinion, à
accompagner et à entretenir les faux espoirs... Et le mépris hautain de
ceux qui détiennent les solutions et considèrent que le peuple est
vraiment décevant de ne pas comprendre qu’il faut en baver..."
Ce sont des arguments qui se valent.
A condition, evidemment, que l’on supprime ces avantages fiscaux aux couples mariés qui n’ont pas d’enfants, qui ne peuvent plus en faire non plus...
A non, je pense avoir différencié l’union civile de l’union religieuse...
Je ne veux pas t’inquiéter pour rien, mais l’union et la fidélité sont deux concepts totalement indépendants...
Je connais des célibataires qui n’ont qu’un partenaire sexuel à la fois et des mariés qui touzent chaque week-end...
« alors que l’homosexualité elle, est seulement un droit, » : euh non, l’homosexualité n’est pas un droit, c’est une forme d’attirance sexuelle, sentimentale et amoureuse d’une personne envers une autre de même sexe.
"mais j’aimerai rappeler aux homosexuels que le mariage à l’église est
un sacre religieux, et qu’il ne s’apparente en rien à un droit. Si vous
en doutez, tentez de trouver un pays pour qui cela n’est pas.« : aux Pays Bas, les protestants acceptent de bénir les unions homosexuelles. Même chose pour les anglicans du Canada. Cela n’est pas la majorité, loin s’en faut...
»Plus clairement, les homosexuels et les lesbiennes devraient comprendre qu’elles ont effectivement des droits –ce qui reste parfaitement légitime et immuable comme tout être humain- mais qu’ils ou elles ne peuvent pas justement les avoir tous.« : Justement si... L’article premier de la Constitution et son préambule sont formels.
»Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit.« Evidemment, cela ne concerne que les droits civils, et non religieux...
»dans le seul but d’anéantir, en fin de compte, et on le voit bien
aujourd’hui, les fondations de la société occidentale qui repose depuis
presque trois siècles sur l’ordre patriarcal« : En fait, on s’en fiche de la survie ou non du patriarcat. Tout ce que l’on veut, c’est le respect du préambule de la constitution. Mais c’est vrai que si on peut vous emmerder avec, on va pas s’en priver !
»Le mariage religieux est tout d’abord une tradition et une institution
clairement hétérosexuelle et il est défini comme telle, point barre.« : Vous savez, on s’en fiche nous, du mariage religieux. Evidemment il y a quelques exceptions mais une union civile nous contente assez.
»Rien n’empêche un couple homosexuel de se marier par un contrat
civique, alors pourquoi susciter tant d’intérêt à changer les principes
fondateurs à une religion ? L’évolutionnisme ? sourire..« : Là, permet moi de sourire...
En aucune façon, le mariage n’est un principe fondateur du catholicisme. Nulle part dans le Nouveau Testament, il n’est question du mariage. Si ce n’est les Noces de Cana mais Jésus n’y est qu’un invité et non un officiant. Sa seule intervention consiste à changer de l’eau en vin. Il a un rôle de traiteur, quoi...
Le mariage est en fait une cérémonie ROMAINE strictement civile au départ, célébrée uniquement en famille, sans officiant religieux. Ce mariage reposait sur le principe du consentement continu. Si un des époux le désirait, cette union pouvait prendre fin immédiatement.
La déchéance de l’Empire Romain a conduit les derniers empereurs à fusionner le mariage romain avec les rituels chrétiens, ce afin que le principe de l’union survive, même en cas de chute de l’administration.
Au XIIIè siècle, le concile de Latran codifie le mariage de façon plus précise et en énumère les règles afin de mettre fin aux abus (non consentement, mariés trop jeunes, rapts, unions secrètes et donc impossible à prouver...). Deux siècles après, le mariage sera sacralisé en réponse à la Réforme qui ne reconnait pas le mariage comme un sacrement de l’Eglise.
»la procréation des enfants, éléments qui reste jusqu’à preuve du contraire, absents dans le cas d’un couple homosexuel.« : Pour la reproduction, on n’a pas trouvé mieux encore que le rapport hétéro... Mais dans ce cas, quid des couples qui se révèlent stériles ? Ou des unions médiatiques de personnes agées voire très agées et qui donc ne peuvent plus avoir d’enfants ?
Il faut aussi savoir que dans plusieurs régions d’Europe, le mariage n’était accordé qu’après que le couple formé n’ai eu des enfants, ce afin de lutter contre les problèmes de stérilité. L’avènement de la Réforme, puis après de l’Ordre Moral, imposera par la suite la virginité des époux avant le mariage (en tout cas pour la femme...).
»qui aujourd’hui oserait demander aux églises et aux Etats de légiférer
la dessus pour autoriser l’adultère ou la partouze aux couples mariés
religieusement ?« : Oh mais personne ne le demande... Ils font ça tout seuls, comme des grands...
»Il faut bien comprendre que la majeure partie des couples qui font le
choix de se marier religieusement le font aussi par rapport à ces
principes fondateurs,« : J’en doute... c’est plus pour »faire joli« et pour faire plaisir à papy et mamy... Le poids de la famille est encore lourd à porter...
»ne fabriquent-ils pas en gros que des folles décérébrées qui ne pensent qu’aux frics dans un monde ou seul leur cul et la taille de la bite à sucer prévaut." : Ne t’en fais pas pour elles, on leur a trouvé un parc naturel dans le Marais ou elles peuvent s’ébattrent en toute liberté sans gêner quiconque...
Ca fait cent longs hivers
Que j’use le même corps
J’ai eu cent ans hier
Mais qu’est-ce qu’elle fait la Mort ?
J’ai encore toute ma tête
Elle est remplie de souvenirs
De gens que j’ai vu naître
Puis que j’ai vu mourir
J’ai tellement porté de deuils
Que j’en ai les idées noires
J’suis là que j’me prépare
Je choisis mon cercueil
Mais l’docteur me répète
Visite après visite
Qu’j’ai une santé parfaite
Il est là qui m’félicite
J’ai vu la première guerre
Le premier téléphone
Me voilà centenaire
Mais bon qu’est-ce que ça m’donne ?
Les grands avions rugissent
Y’a une rayure au ciel
C’est comme si l’Eternel
M’avait rayé d’sa liste
Ca fait cent longs hivers
Que j’use le même corps
J’ai eu cent ans hier
Mais qu’est-ce qu’elle fait la mort
Qu’est-ce que j’ai pas fini
Qu’y faudrait que j’finisse
Perdre un dernier ami
Enterrer mes p’tits fils
J’ai eu cent ans hier
Ma place n’est plus ici
Elle est au cimetière
Elle est au Paradis
Si j’méritais l’Enfer
Alors, c’est réussi
Car je suis centenaire
Et j’suis encore en vie
Moi j’suis née aux chandelles
J’ai grandi au charbon
Bien sûr que j’me rappelle
Du tout premier néon
J’ai connu la grande crise
J’allais avoir trente ans
J’ai connu des églises
Avec du monde dedans
Moi j’ai connu les chevaux
Et les plantes à laver
Un fleuve tellement beau
Qu’on pouvait s’y baigner
Moi j’ai connu le soleil
Avant qu’il soit dangereux
Faut-il que je sois vieille
Venez m’cherchez Bon Dieu
J’ai eu cent ans hier
C’est pas qu’j’ai pas prié, mais
Ca aurait tout l’air
Que Dieu m’a oubliée
Alors j’ai des gardiennes
Et des nouveaux visages
Des amis de passage
Payés à la semaine
Elles parlent un langage
Qui n’sera jamais le mien
Et ça m’fait du chagrin
D’avoir cinq fois leur âge
Et mille fois leur fatigue
Immobile à ma fenêtre
Pendant qu’elles naviguent
Tranquilles sur Internet
C’est vrai j’attends la mort
Mais c’est pas qu’je sois morbide
C’est qu’j’ai cent ans dans le corps
Et j’suis encore lucide
C’est que je suis avide
Mais qu’y’a plus rien à bord
Que mon passé déborde
Et qu’mon avenir est vide
On montre à la télé
Des fusées qui décollent
Est-ce qu’on va m’expliquer
Ce qui m’retient au sol
Je suis d’une autre école
J’appartiens à l’histoire
J’ai eu mes années folles
J’ai eu mes heures de gloire
J’ai eu un bon mari
Et tant de beaux enfants
Mais tout le monde est parti
Dormir au firmament
Y’a que moi qui veille
Qui vit, qui vit encore
Je tombe de sommeil
Mais qu’est-ce qu’elle fait la Mort ?
Linda Lemay
Si tu as des réponses à tes questions, fais le moi savoir... Je lui en ai posé dans d’autres articles et je n’ai jamais rien eu...
Il y a celui la aussi...
« Se raser la nuit, c’est renoncer à son oreille. »
Le plus énervant ? Les commerces qui laissent enseignes et rayons allumés, pour bien montrer une fois fermé ce qu’on y vend... Tu parles d’une pub ! Et bonjour en cas de besoin pour trouver un magasin ou une pharmacie VRAIMENT ouverte !
200 m2 de panneaux solaires par personne ? Tu en es sur ?
non parce que cela ferait...
200 * 6 000 000 000 (on est un peu plus mais on va pas chipoter...) = 1 200 000 000 000 mètres carrés. Soit 1 200 000 000 kilomètres carrés.
Mais la surface de la Terre est d’a peu près 510 000 000 km2. Dont 370 000 000 d’océans.
Si quelqu’un veut vérifier que je ne me suis pas trompé, parce que sinon, je crois que y’aura pas assez de place pour mettre tous les panneaux...
Sans compter qu’une fois le crédit de la maison ou de l’appartement remboursé, vous n’avez plus à payer que les charges (eau, électricité, taxes)...
Imaginez... A vous deux vous gagnez 3 000 euros. Disons 800 de loyer. Ou 800 de remboursement de crédit.
La différence ? Au bout du crédit, vous gagnez toujours 3 000 mais celui qui a acheté, il ne paye plus, alors que le locataire, il devra toujours sortir 800 par mois (et encore je suis gentil, je ne met aucune inflation...).
Et une fois à la retraite, vous devrez toujours sortir les 800 de loyer, mais pour 2 200 de revenus...
Et devinez qui s’éclatera aux Bermudes pendant que le vieux locataire devra se contenter de Paris-Plage ???
Ces arguments, c’est n’importe quoi.
Le prix des loyers est fonction de plusieurs facteurs : la localisation de l’appartement, la demande de logements en location, le taux de couverture de la demande par rapport à l’offre.
La localisation est un facteur clé. Pour un bien d’une surface identique, on aura forcément un prix différent selon qu’il se trouve dans un quartier bien coté, calme et agréable, ou bien à coté d’une zone industrielle ou d’une voie ferrée ou même d’une autoroute.
La demande de logements a aussi son importance : sur un marché sans grand besoin de logement, les loyers auront tendance à rester bas et à ne pas augmenter de beaucoup. En cas de forte demande en revanche, la hausse sera la règle. Evidemment, il existe des règles d’indexation pour limiter la hausse. Ces règles se basent en partie sur l’inflation du moment, et en partie sur les cours des matériaux de construction, tels que l’acier.
L’offre de logement a aussi son importance : sur un marché bien approvisionné en logements disponibles, là aussi les loyers auront tendance à ne pas beaucoup bouger. En cas de manque en revanche... Ce qui est rare est cher, c’est partout comme cela...
Certes, mais uniquement pour une vue spéculative.
Mais pour ceux qui veulent un logement et ne pas en tirer d’argent ?
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