Les commentaires de Taverne

article « au niveau du caniveau » selon l’expression coutumière de la droite de la droite.

Les socialos, c’est mieux : ils votent pour et des deux mains. Le TCE ? Hollande posait sur la photo tout sourire à côté de Sarkozy pour le « oui »’. L’expulsion des sans-abris obligés de vivre en caravane sur les terrains de camping ? Les socialos votent pour !

Absolument. Vous avez un kilo de farine d’un côté, un tas de gélatine d’un mètre soixante-dix de l’autre. Pourquoi allez-vous gâcher ce kilo de farine sur le tas gélatineux ? Sauf s’il y a des caméras bien sûr pour filmer votre geste...

Pour moi, le second tour sans Bayrou, ce sera « yes we can...à pêche ! »

L’homme est un cheval qui n’a plus besoin de cravache. (*)

Il court vers son maître au galop pourvu que ce maître brille et se montre brillant causeur.

(*) Ne cherchez pas l’auteur de cette citation, c’est moi...

Ce qui me séduit, moi poète, ce sont les actes désespérés, porteurs d’une certaine symbolique. Les ambiances aseptisées du type de celle du meeting du Bourget, je déteste absolument.

Surtout pas ! J’ai trop de succès avec les filles.

Ségolène Royal fut un temps la madone des sondages avec ses promesses fallacieuses. Aujourd’hui, elle est la personnalité politique la plus agaçante paraît-il. Je prédis le même sort pour Hollande s’il continue dans sa propagande et ses mensonges. Vous me direz, il s’en fichera s’il est élu...C’est une façon de voir les choses (trop tard...)

Un président PS, c’est l’assurance d’une politique qui s’opposera à près de 50 % des électeurs et, très vite, plus que cela encore. Car on sait qu’un fois passé l’état de grâce de quelques mois, les mécontents sont au moins de 60 %. Un gouvernement d’union nationale créera moins de déceptions et de dépression dans l’électorat.

La femme était peut-être insensée aux yeux des médecins, mais son acte ne l’est pas à mes yeux.

La véritable alternance est à recherche hors de l’UMPS. Et la seule alternance de ce type capable d’aboutir, c’est la voie Bayrou. Et je crois dire là aussi des choses sensées.

Je précise : « un sympathisant de longue date ».

J’assume tout ce que j’ai écrit. Ce sont les constats d’un citoyen qui garde les yeux ouverts. Pour votre gouverne, je ne suis pas tout-à-fait « dans le camp Bayrou ». Je suis un libre sympathisant de sa cause.

En 1995, le Conseil constitutionnel, présidé par Roland Dumas, rejette le compte de campagne de Jacques Cheminade pour quelques vétilles et encense la grosse tricherie de Balladur.

Plus fort que l’UMPS, tu meurs.

« de vitamine B6. » Ajoutons la B8 et ses cheveux lui repousseront. Enfin pas sûr...

« Ménestrel », pas ministre. Il est vrai que les mots se ressemblent...

Mais j’éviterai la pâte socialiste qui fait trop de grumeaux.

Le fromage de Hollande attend son prochain président, lequel a déjà le couteau à la main et s’y voit déjà. Taillons dans le gâteau, camarades. Nous avons les régions et les départements, prenons aussi l’Etat ! Servez-vous, mes amis !

« elle fait une fixation sur Martine Aubry. » Comme je la comprends ! Et ce n’est pas là une marque de déséquilibre. Je dirai même que c’est le contraire. Quand je pense que Martine Aubry a toutes les chances d’être nommée premier ministre et de décider de la politique du pays... Vous verrez que vous même ferez peut-être une « fixation » à ce moment-là, mais ce sera trop tard. Enfarinons-les tant qu’il est encore temps !

Comme dit mon boulanger, « si on les enfarinait plus souvent, on serait moins dans le pétrin ».

« Le mensonge, c’est maintenant ».

Hollande reprend la tactique de Royal qui avait annoncé sans jamais y croire (je cite de mémoire et donc dans l’à-peu-près) le triplement du SMIC, le doublement de l’allocation de rentrée scolaire et un tas de choses du même mauvais goût. Sauf que les grosses ficelles se vont vu imposer un régime, à l’image du candidat qui les formule...

Il vaut mieux commettre une maladresse, sans aucune conséquence, que de mentir au peuple comme le fait Hollande.

Du reste, il y aura toujours des lecteurs qui sont imperméables à une certaine forme de second degré.