Bien sûr, « la pensée sioniste sur les chambres à gaz », ça va loin.
Jamais rien en suffira, hein. Ni le témoignage de Rudolf Hoess, ni le roman de Robert Merle, ni les archives, ni les contradictions de la Vieille Taupe, ni la condamnation de Faurisson qui ne fut jamais historien.
Ni Shoah de Lanzmann, ni les procès de Nuremberg, ni le déni d’ex-négationnistes.
Il y aura toujours des antisémites.
Capables de dire « je ne suis pas antisémite, je HAIS Israël, c’est tout ! » 
Ou de dire « Je ne suis pas antisémite, je suis Sémite myself » 