@ Demian : je vous inspire... Vous m’imaginez immédiatement dominatrice. C’est votre truc, j’ai compris, mais inutile de le projeter sur moi
@ Shawford : je viens de publier, dans son intégralité, et parce que je l’ai jugé utile, un communiqué de presse de l’Association pour le droit à mourir dans la dignité (ADMD) qui, ce me semble, mériterait d’autres commentaires que ceux que vous ressassez...
Ceci n’est pas une injure.
@ Rocla : Je n’ai traité personne, nananèreuh... J’ai dit que l’on ne pouvait pas s’élever quand le plafond était trop bas. Si vous considérez qui que ce soit comme un plafond bas, je ne m’en tiens pas pour responsable.
@ DW : J’ai cité l’exemple de mon grand-père pour continuer à entrer dans le sujet, sujet qu’il est difficile d’autant plus d’aborder si l’on ne s’y implique pas. Et je me suis adressée à vous de cette manière parce que vous aviez déjà commencé vos invectives injustifiées.
@ Marsu : « La môme néant » est un bonheur. Et j’avais perdu les aphorismes de Lichtenberg... Merci !
Merci pour ce recadrage. Et une fois n’est pas coutume, ci-dessous une affaire récente. Où l’on découvre que la juste invoquée par ceux que je ne nommerai pas se montre - dans ce cas, comme dans d’autres du même ordre dont il faudrait que je retrouve les sources - bien plus humaine qu’eux :
" Par amour, Morten Jensen avait, en janvier 2003, aidé à mourir sa jeune épouse en fin de vie et confrontée à de terribles souffrances.
Ce 14 juin, l’avocat général de la cour d’assises d’Angers a requis à son encontre une peine de principe de 2 ans avec sursis après avoir rappelé aux jurés que, même par amour, l’euthanasie reste un crime aux yeux de la loi.
A peine 1/2h aura suffi à ces mêmes jurés pour délibérer et prononcer un verdict d’acquittement.
L’ADMD (Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité) se réjouit de cette décision qui va permettre à cet homme, qui a doublement souffert, d’affirmer à son fils qu’il n’est pas le meurtrier de sa mère.
Par ailleurs, l’ADMD prend acte d’un verdict d’acquittement lequel, s’il en était besoin, vient confirmer la totale inadéquation de la loi - incapable de distinguer l’euthanasie du meurtre -, avec le souhait de 9 Français sur 10 de voir autoriser l’aide active à mourir sous certaines conditions. Par humanité et compassion.
Alors que le Dr Laurence Tramois et l’infirmière Chantal Chanel viennent de voir confirmé leur renvoi devant une cour d’assises par l’arrêt rendu ce 13 juin par la Cour d’appel de Bordeaux, l’ADMD appelle une nouvelle fois à l’instauration d’un vrai débat national sur l’euthanasie.
Au regard de décisions aussi contradictoires que celles rendues dans « l’affaire » Humbert, celle de Saint-Astier, et aujourd’hui à Angers, il est en effet plus que jamais urgent de légiférer.
Afin de sortir de l’inégalité devant la loi et de l’inégalité devant la mort qui, en matière de fin de vie, continuent de prévaloir en France.
Il est grand temps que les hommes politiques se décident, avec courage, à se saisir de ce problème de société à propos duquel ils ne pourront continuer plus longtemps encore à faire l’impasse. Comme le précisait Mickaël Boulay, avocat de Morten Jensen, après le verdict d’acquittement de son client : « La loi est en fin de vie ». 15.06.2006 - Commnuniqué de presse ADMD "
Monsieur, je me suis simplement empressée de donner un lien qui mène à des souces d’informations, à un moment où des commentateurs s’interrogeaient sur le sérieux de ce digne journal qu’est Le Canard enchaîné
Si pour vous, ça procède d’un manque de sérieux, vous m’expliquerez à quoi ressemble la propagande, merci.
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