Danger, pollution intérieure
par Babar
mercredi 22 avril 2009
Pensez à aérer. 10 minutes chaque jour, c’est suffisant. A la maison, l’aération quotidienne et la ventilation garantissent un air intérieur plus sain. Tel est le message de la campagne de prévention et d’information initiée par le ministère de la santé et l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes). Cette campagne comprend un spot radio et une campagne de bannières sur Internet, mais surtout un guide et un site, www.prevention-maison.fr, afin d’informer les Français sur la nécessité de préserver au mieux leur air intérieur.
Maux de tête, irritations des voies respiratoires, allergies... On n’est pas plus à l’abri de l’air pollué à l’intérieur de son logement qu’à l’extérieur. La pollution n’est simplement pas la même. Mais elle existe néanmoins. Ainsi faut-il penser à aérer chez soi quotidiennement au moins une dizaine de minutes et veiller à ne pas obstruer les conduits d’aération.
Nous passons beaucoup de temps à la maison, aussi faut-il être vigilant surtout en direction des nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées ou malades, particulièrement vulnérables.
Il faut donc veiller à ne pas fumer chez soi, surtout quand il y a des enfants, mais sur le balcon, être attentif aux produits d’entretien ou de bricolage que l’on utilise, vérifier les appareils de chauffage à combustion, prendre garde aux acariens qui se nichent dans les tapis, notamment, soigner ses animaux domestiques, aérer le matin, après une douche ou un bain, après avoir bricolé, cuisiné, fait le ménage ou étendu le linge. Bref des mesures d’hygiènes élémentaires, mais qu’il est bon de rappeler.
C’est pourquoi le ministère de la santé et l’Inpes mènent cette campagne d’information tous azimuts : spot radio, guide papier et site web devraient permettre de sensibiliser une large partie de la population sur la pollution de l’air intérieur.
Maux de tête, irritations des voies respiratoires, allergies... On n’est pas plus à l’abri de l’air pollué à l’intérieur de son logement qu’à l’extérieur. La pollution n’est simplement pas la même. Mais elle existe néanmoins. Ainsi faut-il penser à aérer chez soi quotidiennement au moins une dizaine de minutes et veiller à ne pas obstruer les conduits d’aération.
Nous passons beaucoup de temps à la maison, aussi faut-il être vigilant surtout en direction des nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées ou malades, particulièrement vulnérables.
Il faut donc veiller à ne pas fumer chez soi, surtout quand il y a des enfants, mais sur le balcon, être attentif aux produits d’entretien ou de bricolage que l’on utilise, vérifier les appareils de chauffage à combustion, prendre garde aux acariens qui se nichent dans les tapis, notamment, soigner ses animaux domestiques, aérer le matin, après une douche ou un bain, après avoir bricolé, cuisiné, fait le ménage ou étendu le linge. Bref des mesures d’hygiènes élémentaires, mais qu’il est bon de rappeler.
C’est pourquoi le ministère de la santé et l’Inpes mènent cette campagne d’information tous azimuts : spot radio, guide papier et site web devraient permettre de sensibiliser une large partie de la population sur la pollution de l’air intérieur.