L’Individu-éthisme : une solution à la résignation ambiante

par Jean-Phi
samedi 5 novembre 2005

L’individualisme est une réalité. Le développement durable dans son sens large en est une autre. Propositions pour les concilier.

Des partis politiques "verts" au bloggeurs fous de citoyenneté, en passant par les ONG ou assos et organismes publics ou non, les mises en garde et suggestions environnementales, sociales ou tiers-mondistes font partie de notre quotidien, et c’est un bien. Si on fait le compte de toutes ces belles énergies, il s’avère malheureusement que ce nombre de personnes "conscientes et concernées" ne dépasse pas 10% d’entre nous, si tout va bien. Nous vivons aujourd’hui une vraie crise de motivation. La résignation règne en maître et peut être aisément représentée par le Roi Aquoibon Ier qui réduit ses pauvres âmes solitaires (nous) à l’inaction face aux défis du 21e siècle. La bonne nouvelle, il y en a toujours une, c’est que si nous sommes résignés, cela signifie par essence qu’il existe bel et bien une vraie envie de changement.

Plusieurs éléments sont responsables de cette résignation. Ils sont autant de solutions :

  1. Le sens du sacrifice, du partage, de la solidarité s’oppose à notre individualisme.
  2. Découragement. N’est pas l’Abbé Pierre qui veut !

Je passerai rapidement sur le problème de la presse qui nous enferme dans la mauvaise nouvelle, négatiogène. les journalistes souffrent aussi du syndrôme de la résignation. Pour ce qui est de s’inscrire dans la vie sociale de façon citoyenne et éthique, je propose une solution :

"L’INDIVIDU-ETHISME"

C’est nouveau, c’est une piste de réflexion à mettre sur la place publique, dont l’objectif est, je le rappelle, de combattre avec efficacité le Roi Aquoibon Ier. Ce pourrait être L’arme de Motivation Massive. Car il est nécessaire d’emmener le plus grand nombre possible de citoyens dans cette dynamique.

Pour conclure, sans provocation aucune, je propose un exemple clarificateur :

Les premiers ne peuvent pas être tous pré-jugés non bienveillants, ils sont trop nombreux, et Nicolas Hulot défend une trop belle cause. A méditer.

Toutes ces réflexions peuvent être trouvées sur www.smily.be, sur lequel il y a un sondage "Vous sentez-vous vecteur de changement ?".


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