DSK : La piste du dollar
par PROVOLA
samedi 2 juillet 2011
Le Dollar est l'arme absolue de domination des USA, Le FMI, le moyen de cette puissance, rien ni personne ne peut remettre en cause ce postulat intangible. Ni Strauss-Khan, ni Obama, ni Dieu, qui en plus est d'accord puisqu'il se pavane sur le billet vert, avec ce “In God we trust” qu'on peut y lire ; comme qui dirait :”Dieu béni les États-Unis”, et leur monnaie. Voilà bien pourquoi les USA ont les meilleurs économistes du monde : c'est tout simplement parcequ'ils ont la meilleure monnaie, la seule qui vaille en réalité, tout simplement.
Le fait qu'un Président du FMI, c'est à dire en charge de l'église, du dogme, évoque une éventuelle sortie de l'hégémonie du Dollar a peut-être déclanché la tempête du coté de la Federal Rserve.
En fait il faut peut-être revenir à certaines des déclarations de DSK datant de quelques mois qui montraient clairement combien il était convaincu que le dollar ne pouvait plus rester l'unique monnaie d'échange si l'on voulait réellement apporter un remède à la crise économique.
Cette perspective remettant en cause le leadership des USA, aurait pu faire peser une terrible menace sur la dette des USA qui s'il elle n'était plus garantie par la valeur universelle du dollar aurait rendu le pays en situation de faillite, entraînant en cela la Chine qui reste le principal créancier en dollar des USA.
Un rapport présenté en 2009 à New York par l’ONU, lors d’une séance spéciale, appelait à établir un nouveau système de réserve monétaire mondial et préconisait l’abandon du dollar, jugé trop instable, comme monnaie de référence
Ce rapport de l’ONU allait dans le sens de Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI, qui, lors d’une conférence donnée à Zurich au début du mois de mai 2009 , aavit appelé à la création d’une monnaie mondiale. M. Strauss-Kahn avait alors indiqué que « la crise est une opportunité pour pousser la création d’une monnaie mondiale et d’une banque centrale mondiale ». Dominique Strauss-Kahn, directeur du FMI (fonds monétaire international) s’était déclaré
“en faveur de la création d’une devise internationale pour prendre la place du dollar dans les échanges internationaux”.
Ces déclarations ont du faire grincer des dents outre-atlantique, il était donc vraisemblable que DSK se soit fait des ennemis au plus haut sommet de l'échiquier politique et économique de l'oncle Sam.
Alors comment éliminer discrètement ce petit impertinent de frenchy si ce n'est en le faisant plonger par son coté obscur ?
Comment se débarrasser de cet empêcheur de tourner en rond qui de plus allait avec de bonnes chances de succès se présenter à la fonction suprême en France un pays phare de la communauté européenne ? Dès lors qu'il aurait été élu, il n'aurait eu de cesse de traquer la suprématie du dollar et aurait pu convertir bon nombre de pays qui n'attendent qu'un signal pour s'enfoncer dans la brèche et se libérer du fardeau US.
Il fallait agir vite, au niveau du slip, ça allait marcher à tous les coups, avant la fin de sa mission à New York car en France, tout aurait été étouffé. Il fallait choisir une soubrette irréprochable et fragile avec un passé lisse, un parcours parfait de bonne travailleuse, sans défauts, tellement parfaite qu'on ne peut que croire sa version.
Tellement parfaite qu'on ne peut imaginer qu'elle ait déboulé dans la suite d'un hotel de luxe sans prévenir, qu'elle ait fait des avances à un pré-retraité, qu'elle se soit laissée aller à une dans du ventre improvisée, qu'elle ait conssenti un allumage de navette spatiale, qu'elle ait ensuite essuyé ses larmes de crocodile sur le tablier, qu'elle ait fait mine d'avoir vécu l'enfer, en revenant de la salle de bain.
Non tout cela bien sur, on ne peut pas l'imaginer…