Un « BID » BANG économique ?
par ACS
jeudi 28 mars 2013
Le monde et l’économie s’usent, et les Etats perdent leur souveraineté. On ne sait plus qui du peuple, des entreprises, dans banques, des Etats ou des communautés dirigent le monde. En fait, les principaux problèmes tiennent en trois points : l’usure bancaire, industrielle et démocratique. Prêt pour le « BID » BANG ?
Le « BID » économique
- L’usure Bancaire,
Le taux d’intérêt existe pour stabiliser l’économie dans la croissance. La rémunération du banquier est secondaire bien que primordiale dans le système car il doit assumer la stabilité économique de sa politique.
- L’usure Industrielle,
Le contrôle des ressources, des terres et des capitaux est crucial pour la paix et doit mettre en oeuvre la responsabilité sociale des propriétaires, des spéculateurs et des repreneurs d’entreprise.
- L’usure Démocratique
Les votes des électeurs sont pouillés par leur ignorance. Et ce qu’ils demandent c'est la liberté, l’égalité et la fraternité. Pourtant, dans un environnement mondialisé et le monde de politiques communautaires actuel l’opération devient très difficile.
Le « BID » BANG économique
La responsabilité des acteurs économiques vis-à-vis d’autrui doit être mise en place sans intermédiaires et dans un processus démocratique passif. Dans ce système, L’Etat n’emprunte pas à la banque mais estime pour les banques une taxe égale aux remboursements non honorés des clients des banques (la banque paie « deux fois » et est prélevée sur chaque intérêt - qui oscille autour de 1% dans le secteur industriel), pour l’entreprise, une taxe sociale égale aux nombres d’emplois perdus par le système global, et enfin pour le travailleur, une taxe identique à celle des entreprises (le chômage est financé « deux fois » et est prélevé sur chaque échange). Aucune autre taxe. Ces taxes peuvent varier d’un agent à l’autre suivant son taux d’intérêt pour la banque, et pour le travailleur, suivant son poids relatif aux autres travailleurs. La taxe aux entreprises est identique pour toutes. L’Etat redistribue ces fonds de la manière la plus efficace possible entre les banques, les entreprises et le peuple, et garantie sa souveraineté. Il s’agit de créer un nouveau type d’organisation. Une organisation capable de libéraliser durablement l’économie et de constituer un socle stable pour solidifier les communautés en paix.