« Crise Climatique » ou « Destruction du Vivant » ?

par Michel Donceel
samedi 7 novembre 2015

Insérer le débat climatique dans une perspective plus vaste devient urgent pour la survie de l'espèce.

On ne sait plus que dire sur ce qui se passe actuellement avec le climat, sauf qu'effectivement, il devient difficile de nier qu'il se passe quelque chose.

On parle ici, bien entendu, de la simple perception qu'un organisme vivant en relativement bonne santé peut avoir de l'enveloppe d'air dans laquelle il vit sa vie, qu'il respire, qu'il brasse, qu'il sent avec sa peau, sa chevelure, qui le fait parfois vibrer de joie ou d'autres fois l'accable de fatigue ou d'ennui.

On parle aussi, incidemment, de la qualité lumineuse de cet air.

On parle donc, ici, du "Temps-qu'Il-Fait", disons le TIF, pour notre époque friande d'acronymes, celui-ci a l'air particulièrement sympa.

Et ceci implique donc qu'on s'occupe davantage de la QUALITÉ du temps, du climat, que de sa QUANTITÉ, qui obnubile le débat habituel des Pour et des Contre avec des statistiques concernant un ou deux degrés de plus.

Le réchauffement est incontestable, mais le débat qu'il provoque rate complètement le coche et occulte le fait quequelque chose de beaucoup plus grave est en train de se produire.

Débat nul et non avenu.

Il devrait être clair pour tout le monde que la dégradation qualitative du climat coïncide entièrement avec le processus de destruction du monde (il serait même plus adéquat de parler de « destruction du Vivant », avec majuscule) en cours depuis maintenant deux siècles, avec ce qu'on a appelé ailleurs le "Choix du Feu" à la base de la "révolution industrielle".

Mais bien sûr, il a toujours été de bon ton de persifler à propos des paysans qui disaient "tous ces bidules qu'ils envoient en l'air ça va détraquer le climat", alors qu'il s'agissait là de l'expression intuitive d'une perception tout à fait réelle. Les paysans étaient proches de la Nature, avant que le Système ne les transforme en "exploitants agricoles".

Et vivaient, justement, au jour le jour, avec le "TIF", qu'ils percevaient comme la pulsation d'un être vivant. ( Ce que Lovelock confirma avec sa "théorie Gaïa", mais sans tirer, malheureusement, les conclusions les plus radicales de cette découverte - qui n'en est pas réellement une puisque les "Anciens" savaient. )

Quelle dégradation, au fait ?

On veut parler ici, et on y reviendra, de toutes ces dégradations parfaitement perceptibles, même si elles ne sont pas "scientifiquement mesurables" par de beaux appareils technologiques.

On parlera donc de ce temps oppressant, collant, qui revient de plus en plus souvent, et ce quelle que soit la température.

De ces journées sans lumière ou passent des nuées plus noires que de la fumée, où il faut écarquiller les yeux pour voir quelque chose, où le coeur est serré d'une angoisse diffuse, sans raison.

Et, au contraire, de ce soleil aveuglant, qui fait mal aux yeux, dont la lumière est blanche et brûlante, même si l'air est froid.

De ce soleil, d'ailleurs, qui jadis était doré et est "devenu" blanc.

De ces nuages difformes qui recouvrent le ciel comme des tissus cancéreux.

De ce ciel dont le bleu est de moins en moins vaillant, de plus en plus fade, comme délavé.

De cette chaleur étrange qui colle à la peau, et qui rend pénible chaque effort, même quand le thermomètre dit qu'il fait froid.

De ces pluies blanchâtres qui ne laissent nulle trace.

De tout ce qui, en définitive et si on voulait bien y prendre garde, ne cadre pas avec l'exclusivisme de la thèse « CO2 = réchauffement », même s'il est clair qu'il y a un rapport entre les deux, mais lequel ?

Et de proposer une autre approche.

En affirmant que rien, A PRIORI, ne permet de nier que l'ensemble des radiations, celles des centrales nucléaires et celles de tous les appareils fonctionnant dans la gamme des micro-ondes, puisse avoir un impact sur le climat.

Que le climat n'est, en définitive, que l'aura énergétique dans laquelle s'enveloppe Gaïa, et que cette aura est profondément affectée par l'ensemble des ces rayonnements électro-mécaniques.

Que rien ne permet de supposer qu'il suffit de "confiner" une réaction atomique pour qu'elle n'ait aucun impact sur l'ENSEMBLE de ce qui l'entoure, et ce à des très grandes distances. (On parle ici de CHAMPS d'énergie, toute aura pouvant être définie comme un champ.)

En effet, il paraît que même les scientifiques admettent l'existence de "particules" dépourvues de masse, qui peuvent donc passer outre à n'importe quel confinement.

Voici pour le Climat.

On y reviendra, bien sûr.

En espérant que, quand même, certains de ceux qui ne sont pas aveuglés par l'illusion scientiste qui a définitivement pris la place, depuis une cinquantaine d'années, de la science véritable, commencent à admettre que les choses ne sont peut-être pas aussi simples que l'affirment les POUR et les CONTRE.

Et que ceux-ci, d'ailleurs, ne font rien d'autre que jouer leur rôle dans la chorégraphie hollywoodienne mise en place par le Système, grand bien leur fasse !


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