Les relevés du taux de C02 pire que celle des températures

par pecqror
mercredi 13 janvier 2010

La NOAA des États-Unis admet ouvertement produire un enregistrement de CO2, qui "ne contient pas de données réelles." La façon dont les stations de température de la NOAA sont installées pour gonfler artificiellement les températures a été dévoilée durant ces deux dernières années. Les sites de mesure du CO2 ont des défauts similaires. Deux des cinq stations « de base » de la NOAA sont sous le vent de volcans en éruption. Toutes les cinq sont soumises à des sources de CO2 locales ou régionales.

Dr Andrew Manning, un des complices du Climategate, a travaillé avec le Dr David Keeling, fondateur de l’observatoire de Mauna Loa, où le CO2 atmosphérique est mesuré.

La station du Mauna Loa a produit des relevés qui correspondent à l’objectif prédéterminé de Manning en montrant la croissance constante des concentrations atmosphériques de CO2 depuis 1959. Cet enregistrement, mis en lumière par le film discrédité d’Al Gore Une vérité qui dérange, est connu comme la courbe de Keeling. Cette courbe gravée sur le marbre sur une plaque de bronze fixée à l’entrée au bâtiment de l’Observatoire de keeling.

Juste à 50 km de l’Observatoire, le cratère du Pu `u O` o du Kilauea envoie 3,3 millions de tonnes de CO2 dans l’atmosphère chaque année. C’est suffisant pour changer les concentrations locales de CO2 mais sans le volume de SO2 qui aurait des effets sur la température globale.

Les volcanologues ont mesuré des concentrations de CO2 aussi élevées que 48,9% (NdT : de l’air) au point chaud au sommet du Kilauea.

Si l’activité volcanique localisée affecte les mesures de CO2 au Mauna Loa, pourquoi le « réseau mondial » aurait-il les mêmes travers ?

Peut-être parce que toutes les stations de mesure du CO2 amosphérique – y compris les autres stations de référence de la NOAA au Pôle Sud, dans les Samoa américaines, à Trinidad Head (Californie) et au Point Barrow, (Alaska) – sont sujettes aussi à des influences locales pour le CO2, et dans certains cas à des influences régionales.

Le CO2 produit par la dépendance forte et croissante de la Chine envers le charbon sert à justifier des réglementations du CO2 aux États-Unis et en Europe. Le biais Pacifique de ces cinq localisations "de référence" est difficile à masquer. Si l’on cherche où se trouve la hausse de CO2, il suffit de se mettre sous le vent de la Chine.

Au lieu de cela, les lecteurs d’AP sont supposés faire confiance aux « chercheurs de Mauna Loa [qui] étendent leurs mesures grâce à leur « réseau de flacons » envoyés à des dizaines d’endroits dans le monde chaque semaine ou réalisées sur les navires de commerce de sorte que les gens puissent les remplir avec de l’air et de les renvoyer pour la mesure du CO2 et d’autres gaz. »

La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) annonce carrément la méthodologie à la base de son graphique (Voir ci-dessous) des teneurs mondiales en CO2 créé à partir des données du « Réseau des flacons ».

Au cas où des lecteurs n’auraient pas compris, la NOAA explique également(caractères gras dans l’original) :

Transformées, lissées, interpolées et extrapolées ? Les données d’extension ? Intégration de données ? Aucunes données réelles ? Effectuer des mesures atmosphériques qui faciliteront une conclusion prédéterminée ?
Tout cela semble très familier.

Courbe de BECK, courbe non linéaire et non prédéterminée réalisée à partir de 90 000 points de mesure à travers le monde.

 

 

 

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