Sauvons nos océans des plastiques !
par Jean-Yves Ouellet
jeudi 2 mai 2013
Depuis quelques années, 260 millions de tonnes de plastiques sont produites chaque année dans le monde. Un dixième du total (par estimation) des plastiques est fini dans les océans. En 2012, une baleine à bosse de 4,5 tonnes est retrouvée échouée sur une plage d’Espagne. Près de 17 kilogrammes de plastique obstruaient l’estomac de cette baleine. À cause d’un bouchon dans les plastiques, cette espèce marine est morte de faim. Aussi, une tortue, qui avait ingurgité beaucoup de plastique, se trouve avec des digestions lentes et qui dura un mois environ. Au total, environ 250 espèces marines comme les tortues, les dauphins, les baleines ou les raies, sont gravement en danger à cause des plastiques dans les océans. Maintenant, je me pose la question suivante, est-ce que les groupes humains ont raison de jeter des plastiques dans les océans ? Personnellement, je suis en désaccord avec cette pratique humaine. En premier, je vais illustrer les acteurs impliqués dans cette problématique. Deuxièmement, je vais indiquer les valeurs concernées pour ce problème de plasticité dans l’océan. Troisièmement, je vais mettre en lumière les pensées de deux philosophes sur ce problème environnemental. Dernièrement, je vais mettre en évidence les pensées de mes adversaires et je vais les contredire avec mes arguments contre ce fléau infligé à ces espèces marines.
Le premier acteur impliqué dans cette problématique est les espèces marines. Ces animaux sont pris avec des plastiques dans leur environnement de vie (océan) et qui mangent ces plastiques. Ceux-ci remplissent l’estomac des espèces marines comme des baleines ou des tortues et ces êtres vivants meurent de faim par beaucoup ou qu’ils ont de la difficulté à digérer. Le deuxième acteur impliqué est les gens, les entreprises, les usines, etc., qui jettent les plastiques qui produisent en pleine quantité dans l’océan après les avoir utilisés et constatés son inutilité. Ces eux qui sont responsables des malheurs, problèmes et disparitions des espèces marines de la planète. Le troisième acteur dans cette problématique est les environnementalistes ou les gens qui veulent sauver ces espèces marines pour sauvegarder la planète et qui apportent des explications scientifiques et des solutions dans les problèmes de plastique dans les océans.
La première valeur dans ce fléau est le non-respect de l’environnement, car l’être humain jette beaucoup de quantités de plastique dans l’océan. Cette action humaine émet des problèmes de santé aux espèces marines comme des baleines qui meurent à cause d’un bouchon qui bloque son estomac. La deuxième valeur dans cette situation est l’entraide des certains groupes humains envers les espèces marines parce que ces personnes essayent d’aider ces animaux à mieux vivre dans les océans avec des solutions comme de ramasser ces plastiques avec des filets ou des inventions. La troisième valeur est la survie parce que les espèces marines luttent pour leur survie et c’est eux qui subissent la mortalité par la dégustation de grosses quantités de plastique. Aussi, leur survie est menacée par l’activité humaine de jeter les plastiques dans l’océan pour sa non-utilité dans la tête de certains groupes humains concernés par ce problème.
Le premier philosophe Hans Jonas, par cette problématique, va se demander si les gestes pour réduire le plastique, par des environnementalistes ou des groupes humains sensibles à la cause de ces espèces marines en danger par des inventions, des filets de pêche, etc., vont sauver la planète qui a besoin grandement de cette aide pour sa survie. Aussi, selon ce philosophe, les êtres humains sont capables de s’autodétruire comme des groupes humains et des chefs d’usines qui jettent des plastiques dans l’océan pour nuire à la survie des espèces marines et même la planète. Puis, selon le rapport Brundtland présidé par la Norvégienne Gro Harlem Brundtland, il faut répondre aux besoins du présent de l’être humain sans compromettre ceux des générations futures. De plus, il ne trouve pas que les groupes humains qui jettent le plastique dans les océans ne répondent pas aux critères de développement durable, car ils compromettent les besoins des générations futures en détruisant leur seule planète où qu’ils puissent vivre par la saleté des plastiques dans les océans.
Selon mon adversaire François Galgani, océanographe à l’institut français de recherche pour l’exploitation de la mer, « Cette pollution des Gyres océaniques ne consiste pas en de gros amas de déchets, mais une multitude de micro-plastiques, d’un diamètre inférieur à 5 mm, en suspension à la surface ou jusqu’a 30 mètres de profondeur, et sur des étendues immenses et mouvantes. » Aussi, selon ce même océanographe, « par ailleurs, si ces débris sont très nombreux, en poids, ils ne représentent pas grand chose : moins d’une dizaine de milliers de tonnes et non plusieurs millions. » Mais, ce spécialiste de l’océan a oublié que ces plastiques prennent 1000 ans avant que celles-ci se dégradent et l’océan va se trouver sale et non en santé pendant plusieurs siècles avec ce problème pour la santé des animaux marins qui n’a pas mérité de souffrir de mortalité ou de mauvaise digestion par des mauvaises actions de l’humanité. Aussi, ces multitudes de micro-plastiques comme le dit Monsieur François Galgani font mourir des êtres vivants comme des baleines ou des tortues qui ont le droit de vivre en paix et en harmonie avec leur environnement en santé. Par exemple, « environ 1 million d’oiseaux et 100 000 mammifères meurent chaque année de l’ingestion de plastique. Plus de 267 espèces marines seraient affectées par cet amas colossal de déchet. » Puis, ces déchets sont un étendu de déchet entre 700 000 km2 et 2 000 000 km2 « soit entre une à trois fois la surface de la France » Pout en ajouter, ces déchets qui ne sont pas importants en poids selon l’océanographe François Galgani a une « concentration de 334 000 déchets par km2 (variant de 32 000 à 1 million de pièces par km2 » et une masse moyenne de 5,1 kg-km-2. » selon l’océanographe Charles Moore qui lutte contre ce fléau. Enfin, ces petits débits de plastique agissent « comme des éponges, fixant les polluants organiques persistants (Pop) dans des proportions plusieurs millions de fois supérieures à la normale, comme le DDT (dichlorodiphényltrichloroéthane, un pesticide) ou les PCB (polychlorobiphényles), des produits extrêmement toxiques. » Bref, selon moi, ce problème est vraiment important pour la survie des êtres vivants comme des baleines, des tortues ou des raies qui meurent par millions par des plastiques qui les étouffent même avec des petits plastiques comme l’indique François Galgani.
Pour conclure, les humains sont responsables des malheurs infligés aux espèces marines qui doivent vivre avec des déchets de plastique dans leur environnement de vie. Aussi, par les valeurs négatives et positives de ce problème, par l’illustration des pensées de deux philosophes ou penseurs et par mon opposition envers un spécialiste de l’océan, cela illustre que les animaux marins sont en danger et il faut les aider à préserver le plus longtemps possible leur environnement en santé pour le respect de leur vie. Aussi, il faut débarrasser de ces plastiques, car ils polluent les océans et il faut garder notre planète en santé pour le présent et pour les générations à venir. Si j’airais à choisir entre sauver la vie des animaux marins des plastiques ou de polluer la planète à jetant ces plastiques dans les océans pour faire mourir par million des êtres vivants, je choisirais de sauver ces animaux d’une vie difficile et vous ?