Second réferendum irlandais, où la perte de souveraineté des peuples Européens
par Ouallonsnous ?
lundi 5 octobre 2009
« La naissance et la perte de souveraineté des pays Européens est un processus qui a traversé trois stades principaux. »
* Le premier est celui de la fin des empires, et de la formation des Etats Nations issus des traités de Westphalie et qui prône l’identité nationale (l’état nation) comme identité première. Cette ‘nationisation’ des identités Européennes a neutralisé les conditions de la guerre de 30 ans qui a ravagé notre continent dans la première moitié du 17 ième siècle. Les traités de Westphalie mettant fin à une guerre civile européenne de 30 ans, et a vu l’éclosion des Etats Nations que nous connaissons depuis lors et qui gênent énormément les néo-colonialistes anglo-américain dans l’établissement de leur empire européen !
* Le second stade est celui de la régio-fragmentation. Au XXI iéme siécle, ce processus que l’on nous affirme comme éminemment politico-progressiste (les régions seraient le stade ultime de l’intégration politique européenne) est en fait le résultat d’un processus politique extérieur volontaire afin d’affaiblir l’Europe en la morcelant en entité qui de par leur petite taille n’ont plus aucune autonomie économique ni de souveraineté politique, ni bien sûr militaire…
Ces mêmes « lignes » politiques sont partagées par les commissaires de Bruxelles, agents zélés des intérêts Américains en Europe….
Evidemment cette Europe de Bruxelles est l’inverse de l’Europe puissante, pacifique et indépendante que nous voulons, extrémité occidentale de l’Eurasie et pendant de l’alliance orientale que constitue l’OCS (Organisation de coopération de Shanghai ).
L’union Européenne charnelle et réelle (et non légale, ce sera à nous Européens de lui donner une légalité traduisant sa légitimité) est néanmoins le seul objectif à défendre pour que les Européens maîtrisent leur destin et redeviennent acteur et non seulement spectateurs. »
A cela, si nous ajoutions que dans le processus de « réunification » européenne restaurant la souveraineté des peuples et pays européens, il aurait fallu, à la réunification allemande et à la chute du mur, poursuivre par la réunification avec la Russie, nous compléterions l’exposé du processus de perte de souveraineté des pays européens.
*Le troisième stade étant bien entendu l’imposition aux peuples européens de l’Europe de Bruxelles (mUE ou multinationale UE, ou europe colonie anglo-américaine, ce qui a le mérite d’être clair !).
Il suffit pour cela de réaliser que le référendum truqué irlandais du 2/10 n’est qu’une réédition d’un vote avec « préparation à l’afghane », enfumage, désinformation, lavages de cerveaux médiatiques, corruptions à tous les niveaux et bourrage d’urnes pour finir, les forces armées marine et aérienne, les forces « spéciales » de l’OTAN en alerte discrète mais répandue par la « rumeur » entretenue par les « ouistes » si le comptage des votes est contesté, accompagné depuis 18 mois du sabotage de l’économie. la différence du 1er référendum, non 53,4% au dernier oui 67,3%, étant de 20,7%. Notez la finesse d’avoir ajouté 0,7%, pour faire vrai, ils auraient pu arrondir !
Les conditions économiques se dégradant de plus en plus en Irlande, une augmentation du chômage très importante en punition du 1er vote, 20% des électeurs auraient retourné leur veste en 18 mois à peine !!!
Elle est pas belle la manip. des eurocrates ?
Je cite, lue sur Rue89 du 4/10 ;
« les nonistes dénoncent une « démocratie au forceps ». Déjà, en France et aux Pays-Bas, les gouvernements ont ratifié le Traité de Lisbonne par un vote parlementaire, de peur que leurs citoyens ne votent « non », comme ils l’avaient fait sur le Traité constitutionnel européen, voisin du traité de Lisbonne.
« Tous les moyens ont été mis en œuvre pour tenter de faire changer d’avis les Irlandais. A commencer par les moyens de communication, à coup de campagnes largement financées par les grandes entreprises comme Ryanair et Intel, qui ont donné des sommes énormes pour la cause du oui. »
Selon l’organisation ATTAC, le oui de vendredi ne traduit pas une adhésion enthousiaste à la façon dont est construite aujourd’hui l’Union européenne : C’est avant tout un « oui » obtenu « par la peur et l’insécurité provoquées par la gravité de la crise ».
Ne parlons plus de démocratie et de droits des peuples à choisir leur destin, la mUE n’est qu’une dictature néo-coloniale qu’il convient d’abattre par tous les moyens, le premier étant de s’en retirer en établissant un cordon sanitaire contre ses effets pervers pour la construction d’une organisation de coopération européenne indépendante capable d’anéantir définitivement la main mise colonialiste des anglo-américains sur l’Europe occidentale et l’Eurasie en construction !
« L’Europe a besoin du fabuleux potentiel que représente la Russie, tant le potentiel humain avec ses 140 millions d’habitants, que géographique avec ses 17 millions de Km² et le débouché sur le pacifique. Elle deviendrait ainsi un acteur de premier plan notamment avec le monde asiatique, qui en en plein développement.
· La Russie à également besoin de l’Europe et des Européens, tant pour l’acheminement de ses matières premières que pour ses technologies ou son capital humain, qu’elle pourrait utiliser afin de combler le dépeuplement à l’est de l’Oural. Enfin et surtout, elle a besoin de l’Europe comme d’un allié naturel, complémentaire car issu de la même civilisation.
En effet cette unité Euro-Russe (seule garante de paix et d’indépendance pour les peuples du continent) n’est pas seulement vitale, elle est souhaitable car les Européens d’Occident ou de Russie appartiennent avant tout à la même civilisation.
Comme le disait récemment Natalia Narotchnitskaïa (historienne spécialiste de l’histoire de la Russie au XIXe siècle) lors d’un colloque à Paris : « La vraie coopération entre la Russie et l’Europe pourrait cependant donner un nouvel élan à notre continent à l’aube du troisième millénaire. Les grandes cultures romano-germanique et russe-orthodoxe partagent un seul et même fondement apostolique, chrétien et spirituel. Les Européens, qu’ils soient Occidentaux ou Russes, ont donné au monde les plus grands exemples de la spiritualité latine et orthodoxe ».
· La Russie à également besoin de l’Europe et des Européens, tant pour l’acheminement de ses matières premières que pour ses technologies ou son capital humain, qu’elle pourrait utiliser afin de combler le dépeuplement à l’est de l’Oural. Enfin et surtout, elle a besoin de l’Europe comme d’un allié naturel, complémentaire car issu de la même civilisation.
En effet cette unité Euro-Russe (seule garante de paix et d’indépendance pour les peuples du continent) n’est pas seulement vitale, elle est souhaitable car les Européens d’Occident ou de Russie appartiennent avant tout à la même civilisation.
Comme le disait récemment Natalia Narotchnitskaïa (historienne spécialiste de l’histoire de la Russie au XIXe siècle) lors d’un colloque à Paris : « La vraie coopération entre la Russie et l’Europe pourrait cependant donner un nouvel élan à notre continent à l’aube du troisième millénaire. Les grandes cultures romano-germanique et russe-orthodoxe partagent un seul et même fondement apostolique, chrétien et spirituel. Les Européens, qu’ils soient Occidentaux ou Russes, ont donné au monde les plus grands exemples de la spiritualité latine et orthodoxe ».
Mais surtout, c’est essentiel et devrait être amélioré et conforté pour l’avenir de l’humanité, les européens ont su convertir à l’époque moderne (siècle des Lumières, révolutions française et européennes, leçons tirées des aventures internationales et coloniales des 3 derniers siècles), ces concepts spirituels latins, germains et slaves en règles de vie communes à tous, et permettant à tous de s’exprimer dans le respect des autres, à travers les lois de la république et l’application de l’égalité, de la tolérance, la laïcité étant ou nom codifiée, mais toujours omniprésente dans les lois qui régissent les différends états.
Alors que rien de semblable ou même d’humain n’existe dans la dictature du libéralisme marchand à laquelle on veut nous asservir.
Voilà pourquoi, l’avenir de l’Europe souveraine existera d’abord avec les pays états-nations de l’Europe et la Russie puis les pays de la partie orientale de l’Eurasie !
Voilà pourquoi, l’avenir de l’Europe souveraine existera d’abord avec les pays états-nations de l’Europe et la Russie puis les pays de la partie orientale de l’Eurasie !
Pour éradiquer la plus grave et dangereuse menace sur l’avenir de nos états-nations, de l’Europe et du monde libre, il est plus que jamais à l’ordre du jour de restaurer nos valeurs et nos souverainetés nationales en nous « réunifiant » avec un de nos plus grands peuples européens qui lui a su se libérer de la tyrannie de ses oligarques, et ajouteras à nos forces contre l’OTAN, bras armé du néo-colonialisme anglo-USraélien dont le siége officiel est à Bruxelles et les commanditaires à La City et Wall-Street.