Pourquoi courons nous aussi vite, que cherchons-nous ?

par Dorzan
samedi 13 août 2011

A l’instar d’une maladie, notre volonté imposée, ne serait-elle pas de faire imploser purement et simplement notre planète ?

À l’aube de ce vingt-et-unième siècle la population mondiale avoisine les 7 milliards d’individus. A la fin du dix-huitième les humains n’étaient que 7 à 800 millions, et à la fin du dix-neuvième, environ 1 milliard et demi. En un siècle la population mondiale augmentait de cinq milliards, elle progresse au rythme de plus de 100 millions par an, un milliard minimum, tous les 10 ans.

Combien d’humains peupleront la terre dans un siècle ?

 Mais qui est réellement l’être humain "homo sapiens", qui sommes nous ? Des animaux dotés d’intelligence suprême, pouvant répondre à tous les défis, ou seulement des êtres destructeurs….

Et si nous n’étions qu’une armée de bactéries programmée pour détruire la Terre… Embrigadées encore en couche, marchant à peine, relâchés au quart de siècle, nos chères têtes blondes, brunes, ou rouquines, ne seraient-elles pas des micro-organismes malfaisants ayant pour seul objectif, de consommer et consommer encore plus ? 

Le disque dur bien garni par ceux qui savent, ou qui croient savoir, devrait leur permettre de valoriser à l’excès leur capacité de nuisance. 


 A l’instar d’une maladie, notre volonté imposée, ne serait-elle pas de faire imploser purement et simplement notre planète ?

Imaginez la Terre dans un siècle, avec au minimum 17 milliards d’individus ! Imaginez la croissance nécessaire pour donner du travail, ou plus simplement pour les nourrir. Imaginez les immeubles, les routes à construire, imaginez l’espace, saturé d’ondes et de véhicules en tous genres ! Restera-t-il une seule contrée sauvage, n’ayant pas été contaminée par l’homme, sûrement pas !

Grâce aux armements et à la technologie toujours plus performants, on aurait pu penser que la destruction serait venue plus tôt. Mais cela aurait été trop facile, trop voyant, avec le fameux progrès, nous détruisons tout aussi efficacement, mais sous couvert de la course au bien-être des terriens.

Imaginons qu’à l’origine des temps, une espèce, une seule, est acceptée, ou soit poussée par une intelligence supérieure, à se multiplier pour détruire ce qui pourrait être qu’une erreur, suite au bing bang : la Terre. Oui, la Terre, une simple erreur de manipulation, et nous les humains, un poison, pour la réduire à néant.

Regardez nos agissements au nom du sacro-saint progrès. 

Nous traçons des routes, toujours plus de routes. Soi-disant, pour aller plus vite ? Mais pourquoi aller plus vite, nous ne savons pas ou nous allons ! Pour gagner du temps ? Mais pourquoi gagner du temps, nous travaillons de moins en moins et avons du mal à occuper notre temps libre ?

 Toutes ces routes, tous ces immeubles, tous ces produits que nous déversons, tous ces océans que nous pillons, ces sous-sols que nous saccageons, tous ces aménagements censés améliorer la vie des humains ( les centrales nucléaires, entre-autres), ne sont-ils pas autant de plaies que nous infligeons à la Terre, pour la tuer à petit feu , bien doucement, comme pour la faire souffrir encore plus.

 Et si les humains n’étaient qu’une maladie, des virus, une sorte de cancer inoculé, par une intelligence que nos cerveaux étriqués ne peuvent, ou ne veulent pas admettre, dans le corps de la Terre, avec pour simple et irrémédiable mission de la détruire.

 Et si les maladies qui nous entourent, et qui nous touchent, n’étaient qu’une réponse de cette Terre pour tenter d’endiguer cette tumeur maligne que nous sommes….

Voilà, ne vous en faites pas, je me trompe sûrement, tout va rapidement rentrer dans l’ordre, le monde entier veille au grain…

 PS : humains, homo sapiens : hommes de science, la science au service de l'homme pour détruire la planète Terre


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