25.000 euros par mois : qui veut aider Cyril Hanouna à boucler ses fins de mois ?
par Clémentine
dimanche 1er décembre 2013
Dans une interview au Journal du Dimanche relayée par le site du Point, l’animateur de D8 Cyril Hanouna confie avoir du mal à boucler ses fins de mois : "A la fin du mois, il ne me reste pas grand-chose", explique tristement le patron de l’émission "Touche pas à mon poste". Il faut dire que le pauvre homme ne touche que 25.000 euros de rémunérations mensuelles. Soit près de 18 fois le SMIC, mais trop peu apparemment pour mettre quelques sous de côté.
"Ça peut paraître beaucoup, mais par rapport à d’autres animateurs, c’est très peu", explique-t-il benoîtement. En effet, Hanouna fait presque figure de clochard du PAF, à côté de Benjamin Castaldi (105.000 € par mois), Nikos Aliagas (80.000 €), Laurence Ferrari (70.000 €), Laurent Ruquier (au moins 40.000 €), Julien Lepers (30.000 €)... et très loin du champion des champions : Michel Denisot (jusqu'à 200.000 €). Hanouna se situe seulement au niveau d'Ariane Massenet (25.000 €). Bref, pas top...
Notre animateur cathodique décrit d'ailleurs un train de vie quasi monacal : "Je joue au tennis, je ne pars qu’une fois par an en vacances et j’achète peu de fringues. Mon seul caprice, c’est les voitures. Le reste part dans les impôts, l’appartement près d’Europe 1 où j’ai une quotidienne et les nounous". On en verserait presque une larme...
Une page de soutien à Cyril Hanouna vient d'être créée sur Facebook, car les internautes sont généreux, et qu'on ne peut pas laisser un si brillant homme vivre aussi misérablement. Aidons-le !
Pour faire revenir Hanouna sur terre, rappelons-lui tout de même qu'il n'a pas inventé la voiture électrique, n'a pas découvert un remède contre le cancer, n'a même pas battu le record du monde du 100 mètres... n'anime pas Ce soir ou jamais (qu'il voulait virer de l'antenne), mais une daube télévisuelle... et que le salaire médian en France est de 1 700 euros.
Vous savez, celui des idiots qui composent votre public... et qui ne peuvent même plus partir en vacances du tout, ne peuvent parfois plus jouer au tennis ni à rien, et n'ont pas un bel appartement spatieux à deux pas de leur boulot, dans les quartiers chics de Paris... les ploucs.