La répression fait une nouvelle victime en frappant le professeur Christian Perronne qui a été démis de ses fonctions

par eau-du-robinet
dimanche 20 décembre 2020

 

Après l’affaire Fourtillan c’est le tour du professeur Christian Perronne, qui a une autorité internationale reconnue, professeur qui est un homme intègre, passionné et courageux, bref un homme qui a le mérite d’afficher ses convictions dans cette période difficile. Il a été convoqué le jeudi matin, le 17/12/2020, par Martin Hirsch directeur général des hôpitaux parisien, l’AP-HP, en lui annoncent l'enlèvement d'une grosse partie de ses prérogatives. A compter de ce jour, le Pr Christian Perronne n'est plus le chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches (AP-HP), dans les Hauts-de-Seine.

La cabale contre les médecins et les scientifiques continue.

Citation de cette source :
Martin Hirsch, directeur général de l'institution, vient en effet de mettre fin à ses fonctions "après avoir recueilli l’avis favorable du président de la commission médicale d’établissement de l’AP-HP, celui du président de la commission médicale du groupe hospitalier AP-HP Université Paris-Saclay et après avoir consulté le directoire de l’AP-HP", annonce l'institution dans un communiqué.
Fin de citation

On peut se demander sur l'ordre de qui ces personnes ont-elles pris cette décision, voire à se demander s’ils ont subi des pressions pour cautionner cette décision !
Et pourtant le professeur Perronne a le soutien d’un grand nombre de médecins de son groupe hospitalier !

Puis, beaucoup plus nombreux sont les médecins en France de soutenir le professeur Perronne qui a reçu énormément de messages de soutien des médecins généralistes, des médecins hospitaliers qui sont scandalisés par cette décision.
 

Le professeur Perronne vas déposer un recours devant le tribunal administratif contre la procédure de l'enlèvement d’une grosse partie de ses prérogatives.

Comme explique le professeur Perronne dans la vidéo suivante de France Soir :
« Effectivement, Martin Hirsch m’avait remis une lettre comme quoi j’étais démis de mes fonctions de chef de service, donc je ne suis pas démis de mes fonctions de médecin, ni de professeur d’université, mais sur des arguments que j’ai eu des propos publics qui déplaisait. On est rentrée dans un monde politique ou médiatique ou institutionnel qui est terrible. Comment on peut radier un médecin chef de service juste parce qu’il a eu des propos qui déplaisait. Pour moi c’est un grand scandale, c’est une atteinte directe à la liberté d’expression ! Si vous regardez, personne ne peut me mettre en défaut là-dessus, je ne jamais changé de discours depuis le mois de mars (2020) jusqu’à aujourd’hui. J’ai toujours tenu le même discours. Ça, ça dérange beaucoup, parce qu’on veut me faire taire … parce que j’ai conseillé beaucoup de gouvernements, etc. avec des actions très positives, j’ai travaillé à l’OMS, j’ai travaillé dans toutes les institutions françaises médicales, j’ai été président du collège des professeurs des maladies infectieuses… Je sais que ma parole dérange, et comme il n’ont pas d’arguments scientifiques … »
 

Les hommes politiques français et ledit conseil scientifique se substituant aux grands médecins voire professeur français, les méprisent tout comme ils méprisent les français ordinaires, agissent avec arrogance, font primer leur décisions obscurantistes qui mènent à s’interroger sur leur compétences dans la matière médicale.


Sans véritable logique base sur la science, en se substituant aux vrais scientifiques, des médecins de terrain, des professeurs qui ne sont pas corrompu par Big Pharma, ils empêchent ainsi un très grand nombre nombreux médecins de combattre avec efficacité cette crise sanitaire où les médias mainstream nous annoncent quotidiennement, d'heure en heure, depuis des nombreuses mois des chiffres concernant l'évolution du virus Covid-19 qui sont essentiellement basé sur des faux positifs et pas celui des vrais malades, chiffres qui sont très largement inférieurs. Tout ce cinéma politique pour justifier toutes ces mesures ultra-liberticides qui n’ont pas raison d’être. Tout est basé sur le répression et la désinformation voire manipulation de l'information, des français par les médias mainstream avec quelques rares exceptions.

Dans la pratique le pouvoir politique n’est pas du tout intéressé à combattre cette crise sanitaire, bien au contraire, il se nourrit d’elle, l’utilise pour imposer une avalanche de mesures liberticides, pour instaurer un nouvel état d’urgence, cette fois-ci sanitaire mais aussi permanent après celui de l’état d’urgence permanent terroriste, ceci pour resserrer encore plus l’étau sur nos libertés fondamentales.

En même temps l'état renforce la censure en votant des nouveaux décrets par exemple celui permettant à la police un fichage généralisé des français où sont enregistrées les opinons politiques, religieuses, etc. des citoyens.

Le passé historique nous a démontré où ce type de fichiers peut et va nous conduire !!!
Une police de la pensée politique … emprisonnement pour des opinons politiques qui déplaisent au pouvoir en place, internements en cliniques psychiatriques, refus d'emploi, etc.

Et voici une vidéo d’Europe 1

Voici une vidéo exemple qui reflète la médiocratie des médias mainstream français qui bat chaque jour son plein !

Et voilà la machine à broyer les gens, qui disent la vérité, vérité qui déplaît à ceux qui veulent nous enfermer dans la camisole du mondialisme, ceux qui défendent avant tout leurs intérêts financiers, qui s'est mise en route. Elle n’épargne plus personne se trouvent sur son chemin du profit, notamment celui de Big Pharma et du grand RESET.

La chasse aux "sorcières" des pointures scientifiques, qui ne partagent pas la vision anxiogène du gouvernement Macron voire du mouvement mondialiste, se poursuit !

Comme dit justement le professeur Perronne dans la première vidéo de cet article :
« Je pense que maintenant la France d’aujourd’hui est digne de la Russie de Staline. Quand on a plus le droit de s’exprimer ; je rappelle que la liberté de parole d’un professeur d’université est inscrite dans la loi de la république française … il y a une forme de dictature parce-que on vit dans une situation d’état d’urgence permanent, on ne peut plus s’exprimer, tous les collègues qui osent affronter un petit peu ce que racontent les autorités sont condamné, on met Fourtillan en psychiatrie, Raoult on l’attaque pour charlatanisme. On est où aujourd’hui ? On a plus le droit de s’exprimer ?  »

Je compléterai la dernière phrase par : On a plus le droit de s’exprimer .... On a plus le droit de soigner convenablement les gens en les privant de certains médicaments qui ont prouvé leur efficacité dans plein de pays du monde ?

Voici ce qui se passe en France avec les gens internés dans une clinique psychiatrique :

C'est un témoignage choc du fonctionnement des cliniques psychiatrique françaises, témoignage du professeur Jean-Louis Caccomo, docteur en sciences économiques, interné injustement durant 3 ans pour avoir osé dénoncer une affaire de détournement d’argent dans l’université où il avait enseigné ...

La répression est aujourd’hui l'arme essentielle que le pouvoir emploie contre la liberté d’expression.
Je tiens ici à attirer votre attention sur l’inquiétude évoquée dans cette interview de France Soir par le professeur Perronne qui avait dit :
« J’espère que la prochaine étape ce n’est pas que la police va débarquer chez moi pour m’envoyer en hôpital psychiatrique, parce-que avec ce qui s’est passé avec Fourtillan j’ai un peu peur et ma famille a peur aussi, on a plus de droit de parler librement  »
 

Puis on accuse le professeur d’avoir diffamé des personnes. Le professeur Perronne déni cette accusation et met au défi ceux qui portent cette accusation envers lui d’apporter des preuves soit un texte écrit soit une vidéo où il aurait diffamé quiconque.

Il annonce également qu’il va porter plainte au conseil de l’ordre contre un jeune interne, un étudiant de troisième cycle des études médicales, au moment des faits, il y à quelques mois, où l'interne avait publié des propos diffamatoires dans les réseaux sociaux en accusant le professeur Perronne d'avoir accusé ses confrères d'assassins sans aucun fondement.

 

Voilà bien venu dans le monde du grand reset vers lequel le pouvoir oligarchique et les corrompus nous conduisent !
Aucun des opposants des hommes politiques de E. Macron ne s’est prononcé à ce jour sur l’affaire Fourtillan, en tout cas à ma connaissance. Cautionnent-ils silencieusement cet internement en hôpital psychiatrique des gens sains d'esprit ?
Est-que c’est ça leur manière de défendre la démocratie voire les droits de l’homme ?

 

Cela me fait croire que les intérêts politico-financiers de la France priment sur la démocratie sur la liberté des citoyens ! Car si l’accusation du professeur Fourtilian qui avait porté plainte contre l’institut Pasteur pour mensonge et crime contre l'humanité en bande organisée s’avère être vraie, cela portera un préjudice important à la France et cela permettra certainement à dévoiler au grand jour le projet du grand reset ! On lui n'a pas laissé le temps de témoigner devant le tribunal... blocage de son compte bancaire, puis arrestation policière, puis internement en clinique psychiatrique, sa femme a disparu, personne n'a eu des nouvelles d'elle... ça sent mauvais cette histoire !


Je suis écœuré de voire que si peu de français se mobilisant pour défendre les droits de l’homme, ignorent—ils qu’il s’agit aussi de leurs propres droits, droits qu’ils sont en train de perdre !
 

Information importante :
Mardi prochain le 22/12/2020 il y aura une grande manifestation devant l’hôpital de Garches à 13H00 organisée par tous les confrères du professeur Perronne et par tous les services de cet hôpital qui le soutiennent ardemment.

 


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