C’est la dose qui crée le danger

par olivier cabanel
lundi 14 février 2022

 

Le concept est connu, mais, lors de la crise sanitaire qui nous préoccupe, face à tous ces morts suite parfois aux injections, la question mérite d’être posée à nouveau.

Tout le monde connaît l’histoire des pépins de pomme, lesquels, on le sait contiennent du cyanure, en faible quantité, et donc sans danger pour celui qui, après avoir croqué la pomme s’en prendrait aux pépins…

Sauf qu’un amateur de pépin de pommes voulant connaître plus de plaisir, eut la très mauvaise idée de les garder, afin de multiplier son plaisir avec une quantité plus grande.

Mal lui en a pris, il en est mort.

Pour être plus précis, il s’agit de l’amygdaline. Celle contenue dans les pépins est de 1 à 4 mg, selon la variété de pomme, et la quantité de cyanure qu’elle comporte est plus faible, mais elle est bien présente. lien

La quantité mortelle de cyanure peut se situer entre 50 et 300 mg, il faudrait donc manger entre 83 et 500 pépins de pommes, pour risquer la mort, ce qu’a fait notre amoureux de pépins de pommes.

Mais quel rapport avec la crise sanitaire en général, et la prise d’injection en particulier ?

Ils sont nombreux à s’interroger sur un fait précis : pour quelle raison des « vaccinés trois fois » peuvent-ils trouver la mort, et d’autres pas ?

Serait-ce une question de dosage ?

On sait déjà que, officiellement, une dose de Pfizer contient 30 microgrammes d’ARNm alors que le Moderna, pour sa part, en contiendrait 100

Comme l’écrit la rédaction du « Midi Libre » dans un article de début décembre dernier, : « c’est précisément ce dosage plus puissant chez Moderna qui implique des conséquences et à des effets secondaires un peu plus fort...avec notamment un risque de myocardite plus élevé pour les moins de 30 ans ». lien

On notera au passage la volonté du rédacteur de minimiser le danger, sans évoquer à une seul moment le risque de mort, s’en tenant à évoquer une simple myocardite…

Nos cousins canadiens avaient déjà confirmé de notables différences suivant les laboratoires : alors que le Moderna aurait bien un dosage de 100 microgrammes d’ARNm, le Pfizer n’en contiendrait que 30, précisant que le Pfizer pédiatrique se limiterait à 10 microgrammes. lien

Nous avons déjà là une partie de la réponse...mais peut-on s’en tenir là ?

Certainement pas, sachant qu’en France, c’est le Pfizer qui est généralement le plus majoritairement injecté...alors que le nombre de décès après injection ne cesse de grimper.

Aux dernières nouvelles, d’après « Marianne  », 62 % des décès étaient le cas de vaccinés. lien

Ajoutons qu’il y a toujours un risque d’erreur, car ce Pfizer a une double présentation : celui à capsule violette doit être dilué avant injection, alors que celui qui a une capsule grise peut être injecté tel que…lien

On imagine sans peine qu’une confusion entre les deux présentations pourrait avoir des conséquences graves...mais est-ce la seule raison ?

Au mois d’avril 2021, la « Voix du Nord  » évoquait une erreur (affirmant qu’elle était sans gravité), lorsque 140 personnes avaient été injectés avec de l’eau salée. Lien

Mais il y a mieux… si l’on peut dire.

On pouvait lire dans « Le Monde » une étrange information rarement reprise dans d’autres médias.

S’agissant des injections officielles, certaines données révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques.

Extraits.

« En effet, pour passer d’un stade clinique à un stade commercial, les fabricants ont dû changer leurs processus de fabrication (…) les vaccins utilisés lors des essais cliniques possédaient entre 69 % et 81 % d’ARN « intègre » (…) des données sur les lots fabriqués dans ces nouvelles lignes de production révélaient des pourcentages plus faibles, 59 % en moyenne. Certains lots descendaient même jusqu’à 51 %... ».

Information préoccupante si l’on songe qu’officiellement, le Pfizer aurait un pourcentage d’ARNm de 30 %...bien loin des 62 % évoqués plus haut.

D’autant que dans le même article, on apprend aussi que « certains premiers lots de matière première ne répondaient pas aux normes ».

Elément de langage très prudent qui, sur le fond, signifie que des lots de « produits non conformes » ont été tout de même injectés. Lien

Ces éléments d’information sont peut-être un début de réponse à tous ces problèmes sanitaires que connaissent aujourd’hui ceux qui ont été injectés 2 fois...voire 3 fois.

...ces fameux « effets indésirables », qui conduisent parfois à la mort de l’injecté.

Comme dit mon vieil ami africain : «  le poisson ne voit que le ver, pas l’hameçon  ».

l’image illustrant l’article vient de univ-angers

merci aux internautes pour leur aide précieuse

Olivier Cabanel

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