Ce qu’il aurait fallu faire...
par olivier cabanel
mardi 17 août 2021
Quand on a la responsabilité d’un pays de 67 millions d’habitants, fallait-il prendre le risque d’utiliser un vaccin expérimental, sans se poser la question des alternatives ?
Rappelons en effet que ces vaccins sont encore au stade de l’expérimentation, même si quelques médias, dont la crédibilité pose question, tentent de le contester. lien
Mais revenons à la question essentielle en s’interrogeant sur la pertinence qu’il y avait d’écarter les alternatives aux vaccins.
On sait aujourd’hui que ces alternatives existent, mais il semble qu’elles aient dérangé pas mal de monde, y compris celui des labos pharmaceutiques, qui entendaient bien profiter de la panique pour imposer leur solution, quoi qu’il en coûte, tout en dégageant toute responsabilité, en cas de problèmes.
Le gouvernement a fait de même, y compris les autorités sanitaires...
Mais venons-en à ces solutions, qui ont été écartées, parfois brutalement.
Il en a été ainsi pour la Chloroquine, comme l’on sait, alors que ce médicament, conseillé souvent pour guérir le paludisme était utilisé depuis près d’un siècle...
On doit ce médicament à l’écorce amère de l’arbre à quinquina, connue pour ses vertus fébrifuges, mais il faudra attendre 1820 pour que 2 pharmaciens français, Pelletier et Caventou en isolent un alcaloïde fondamental, la quinine...et il faudra attendre les années 60 pour que soient mis au point Chloroquine et Hydroxychloroquine, extraits de la quinine. lien
Or Le professeur Raoult a utilisé, avec succès, ces médicaments pour lutter contre le coronavirus, en insistant qu’ils étaient efficaces à condition de les utiliser tout au début de la maladie (lien)... et pour prouver le contraire, ces contradicteurs l’ont utilisé souvent lorsque le patient était en phase finale.
Ajoutons pour la bonne bouche que 3 des 4 chercheurs qui avaient signé l’étude dans laquelle ils contestaient l’efficacité de la Chloroquine, se sont finalement rétractés. lien
On peut être aussi tenté de s’étonner de cet acharnement mené par « le conseil scientifique », contre le Pr Raoult, mais ce serait oublier que ce dernier avait fait partie de ce conseil, et l’avait quitté, dénonçant des risques de conflit d’intérêt. lien
Mais il existe d’autres solutions, telle l’armoise, (artemisia annua) et s’il faut en croire l’institut Max-Planck, cette plante est efficace pour lutter contre le coronavirus.
En effet, les chimistes de cet institut de recherche, en collaboration avec des virologues de l’Université libre de Berlin, ont produit une étude, lancée en avril 2020, (lien) dont les conclusions sont claires mettant en évidence que cette plante pouvait être efficace contre le virus. lien
J’avais publié, en septembre 2009, un article qui mentionnait d’autres plantes, voire même des champignons, qui avaient une action positive pour lutter contre les virus, rappelant que, déjà, « la Chine faisait des stocks de plantes médicinales en prévision d’un tsunami viral », information diffusée préalablement par Olivia Recasens et Christophe Labbé. lien
Ne mettons pas de côté une pratique connue depuis des lustres, l’inhalation, sachant que ce virus meurt s’il subit une température de 70°, ainsi que l’affirment des chercheurs de l’université de Hong Kong : « Il ne résiste pas à des températures élevées et devient inoffensif en 5 minutes à 70°C ». lien
On peut aussi découvrir, dans « news medical sciences », un article qui mentionne une étude menée par des chercheurs italiens, le laboratoire de pharmacologie, et le centre hospitalier universitaire de Florence, prouvant l’efficacité des inhalations de vapeur, (lien) même si de nombreux médias affirment qu’il s’agit d’un fake...lien
L’étude assure que température de 65°C pendant 15 à 30 minutes, dénaturait les protéines du virus, recommandant ainsi les inhalations de vapeur.
La procédure consiste à inhaler pendant au moins 20 minutes, (5 cycles de 4 minutes) dans un délai de 1 heure, 4 jours consécutifs.
A découvrir aussi, cette courte vidéo qui évoque les dangers du graphène, et les solutions pour contrer ses effets dévastateurs, comme le glutathion.
Pas étonnant dès lors que 300 scientifiques aient signé une tribune critiquant les restrictions décidées par le gouvernement, s’inquiétant de la multiplication des effets secondaires liés à la vaccination, et appelant à changer en urgence de stratégie sanitaire...
C’était le 29 septembre 2020, et apparemment elle n’a pas eu beaucoup d’écho auprès du gouvernement. lien
Les figures de proue de cette contestation sont bien connues.
En effet, il semble que ce gouvernement ait d’autres stratégies, et s’il faut en croire Jean-Marc Chipot, porte-parole de « debout la France », un conseiller du gouvernement aurait déclaré, concernant les 20 millions de français qui résistent à la vaccination : « on va leur faire une vie de merde ». lien
Pire, le ministre de la santé s’est exprimé sur un des réseaux sociaux, déclarant qu’il étudiait la possibilité, en complicité avec le ministre de l’intérieur, d’interdire aux non vaccinés de participer aux manifs, en invoquant des raisons sanitaires...
Une autre polémique voit le jour, en Israël, ou la quasi-totalité de la population a été vaccinée, le virus semble s’en accommoder puisqu’il sévit malgré la double vaccination, au point que le gouvernement en envisage une 3ème. lien
C’est aussi ce qu’on peut lire dans les colonnes de Nice-Matin, s’interrogeant sur l’utilité de la vaccination, puisque, comme l’écrit le journaliste de la rédaction : « plus on vaccine et plus la part des vaccinés est touchée ». lien
Le même constat est fait au Royaume-Uni, (pays où l’on a beaucoup vacciné) puisque 59 vaccinés se trouvaient récemment parmi les 117 morts du variant Delta. lien
Le moment de donner la parole au Dr Peter Schirmacher, qui s’inquiète que des morts vaccinés puissent ne pas être déclarés. lien
Ce docteur est en effet surpris que de nombreux décès provoqués par la campagne de vaccination ne soient sans doute jamais signalé, faute d’autopsie.
Comme la règle générale n’impose pas une observation clinique, le médecin qui doit constater le décès ne pourrait donc pas faire le lien entre la mort du sujet, et la vaccination.
Quel imbroglio !
En résumé, des vaccins encore expérimentaux, manifestement inefficaces, quasi imposés aux populations sous la forme d’un chantage qui ne dit pas son nom, des gouvernements qui s’exonèrent de possibles sanctions, des scientifiques décrédibilisés parce qu’ils dérangent, des médecins écartés de la stratégie sanitaire, alors que d’autres solutions existaient... voilà le tableau provisoire de la gestion d’une pandémie, quasi terminée en métropole, et qui participe à la faillite d’une économie culturelle et ludique, avec en tête de proue des ministres prêts à aller encore plus loin dans la destruction d’une valeur essentielle de la République, la liberté.
En même temps, des médias traditionnels quasi aux ordres, reprennent en cœur les chiffres donnés par le ministère de l’intérieur, sans la moindre hésitation... 200 000 manifestants pour un pays, alors que plus de 200 cortèges ont défilé, mobilisant 5000 personnes en moyenne, soit au minimum 1 million de personnes dans la rue...
La presse traditionnelle, (le figaro en l’occurrence) a refait les comptes, et même si elle en semble assez loin, elle est encore plus loin des comptes du gouvernement, constatant une augmentation régulière du nombre de manifestants... lien
Comme dit mon vieil ami africain : « un mensonge répété cent fois ne devient jamais une vérité ».
Le dessin illustrant l’article est de karim
Merci aux internautes pour leur aide précieuse.
Olivier Cabanel
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