Gardasil : nouvelles salves de publicités trompeuses et/ou manipulatrices. Décodons les « fake news »

par delepine
vendredi 7 septembre 2018

 

Gardasil : trop d'affirmations fausses ! Après 12 ans de commercialisation, et près de 200 millions de vaccinées, il n’existe toujours aucune preuve que le Gardasil soit capable de protéger contre le cancer invasif du col de l’utérus, ni que la vaccination soit susceptible d’en réduire le risque. Le vaccin protège contre les infections des souches de papillomavirus qu’il contient (4 à 9 des plus de 150 souches répertoriées chez la femme), mais cette infection qui ne cause aucun symptôme gênant, guérit spontanément dans l’énorme majorité des cas.

 

La vaccination prévient les verrues génitales et certaines dysplasies prétendument précancéreuses. Mais contrairement à ce qui est constamment répété, les résultats préliminaires sur les cancers invasifs sont très angoissants, car d’après les relevés officiels des registres du cancer la vaccination est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif  !

 

 

Gardasil : nouvelles salves de publicités trompeuses et/ou manipulatrices. Les médias et le ministère de la santé au service du lobby pharmaceutique ? Décodage.

 

 par le DR G Delépine chirurgien oncologue et statisticien

 

 

 Le titre du quotidien du Médecin du 24 aout 2018, par exemple, « Cancers liés au HPV aux États-Unis : le col de l'utérus en baisse, l'oropharyngé en forte hausse par Charlène Catalifaud » laisse évidemment penser en lecture rapide que le miraculeux vaccin Gardasil serait le sauveur, et pourtant, il n’en est rien. Tentons à la mode du Monde de décoder les « fake news » qui se répandent dans les grands médias au sujet du Gardasil.

La question n’est pas anecdotique, puisque 8 députés ont déposé en juillet 2018 un amendement en vue de rendre obligatoire chez filles et garçons ce triste vaccin. Il y a donc urgence à décoder la manipulation et à informer largement, à commencer par les députés. [1]

 

Les informations trompeuses ou mensongères (« fake news ») mélangent habituellement quelques constatations véridiques à des affirmations discutables de propagande, afin de promouvoir une idéologie ou une marchandise. Les articles sur le Gardasil en sont remplis.

 

Quelques affirmations mensongères concernant le Gardasil méritent d’être analysées car elles sont régulièrement répétées.

 

1°) Le mirage publicitaire australien et sa sombre réalité.

 

Reprenant un communiqué de médecins payés[2] par le laboratoire qui se félicitaient du taux de couverture vaccinale élevé et promettaient un avenir débarrassé du cancer du col, la Montagne[3] a titré « L’Australie, où la couverture vaccinale atteint 80 %, est en passe d’éradiquer cette maladie  ! ». Mensonge repris par le Figaro[4] , LCI [5], Sciencepost[6], Madmoiselle [7], la dépêche[8] du midi qui rajoute « preuve de l’efficacité du vaccin anti-HPV, en particulier s’il est délivré aux garçons. » puis par France 5 et France Info[9] « grâce à la vaccination contre le HPV, le cancer du col de l’utérus sera bientôt éradiqué en Australie. »

 

Hélas ! Les résultats de la vaccination d’après les chiffres officiels du gouvernement australien [10] [11] sont aux antipodes de ces annonces fracassantes. Le seul succès de la vaccination est uniquement commercial, puisqu’environ 85% des jeunes filles en âge d’être vaccinées le sont (ce qui justifient les chants d’allégresse des actionnaires et de leurs affidés).[12]

 

Dans ce pays, depuis la vaccination (2007), le nombre de cancers du col a augmenté plus vite que sa population (762 en 2007, 793 en 2008, 820 en 2010, 859 en 2012, 865 en 2014, 885 en 2015, 906 en 2016, et 918 en 2017) et cette augmentation n’est pas la conséquence de changements démographiques, puisque l’incidence standardisée[13] a augmenté également passant de 6.8 en 2006 à 7.4 en 2014[14].

 

De plus, cette augmentation du risque de cancer du col affecte tout particulièrement les groupes d’âge qui ont été les plus vaccinés. Les femmes de 20 à 24 ans, vaccinées pour plus de 80% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 13 et 17 ans, ont vu leur risque de cancer augmenter de 114% en 7 ans ! (de 0.7 en 2007 à 1.5 en 2014). Les femmes de 25 à 34 ans (moins vaccinées, car seulement exposées aux vaccinations « de rattrapage ») ont vu leur risque augmenter d’un tiers (de 5.9 à 8 pour le groupe 25-29 et de 9.9 à 13.2 pour celles de 30-34).

 

Les femmes plus âgées et donc non vaccinées n’ont pas subi d’augmentation de risque ou ont vu leur risque diminuer grâce au dépistage systématique (- 17% pour les femmes de 55 à 59 ans) ! Il est infiniment regrettable que les journalistes se soient contentés de reproduire le chant de victoire des actionnaires du labo et de leurs médecins complices, sans vérifier la véracité des informations qu’ils ont diffusées.

 

Et que penser du Pr C. lorsqu’il publie son blog « An Australian success story : the HPV vaccine »[15], car il s’agit d’un chercheur australien qui ne peut pas ignorer cette catastrophe sanitaire ? Profession de foi aveugle en la vaccination qui abolit toute analyse scientifique ou cynisme d’un médecin qui aurait oublié le serment d’Hippocrate dont la première exigence est « primum non nocere » (d’abord ne pas nuire) ?

 

 

2°) le communiqué trompeur du CDC et sa reprise par le Quotidien du Médecin

 

Un communiqué du Center for Disease Control and Prevention (CDC) prétend que « la diminution du cancer du col de l'utérus de 1999 à 2015 représente une tendance continue depuis les années 1950 » et insiste sur les disparités selon les groupes (ethniques, régionaux et d’âge) afin de promouvoir la vaccination. Ce communiqué trompeur a été repris ans vérification par le Quotidien du Médecin.

 

En réalité, l’examen des chiffres officiels du National Center for Health[16] [17]montre que la diminution n’a été continu que de 1950 à 2007 : de 14 en 1975 à 6.67 en 2007, grâce au dépistage et avant la commercialisation du Gardasil. Depuis la mise sur le marché du vaccin (fin 2006) l’incidence standardisée du cancer du col dans l’ensemble de la population ne diminue plus (incidence 2015 : 6.7).

 

Et lorsque le CDC et le Quotidien du médecin parlent de disparité selon les groupes, ils oublient de souligner la discordance apparue depuis la vaccination et qui questionne fondamentalement son utilité : aux USA, les femmes de plus de 50 ans (qui ont échappé à la vaccination) bénéficient d’une diminution de 5% de leur risque (de 10.37 en 2007 à 9.87 en 2012), tandis que les femmes plus jeunes, qui regroupent les vaccinées, ont vu leur risque augmenter de 4% depuis la vaccination (de 5.24/100000 en 2007 à 5.47 en 2012).

 

Rappelons que Julia Gerberding, directrice du CDC de 1998 au 20.01.2009, a beaucoup œuvré pour obtenir l’autorisation accélérée de mise sur le marché du Gardasil [18], accédant ainsi aux désirs de la présidence des Etats-Unis sous Obama[19] et que son attitude très partiale pour le Gardasil a constamment été partagée par ses successeurs.

 

Le CDC et le Quotidien soulignent l’augmentation récente d’incidence des cancers ORL et anal et attribuent, à juste titre, cette augmentation aux changements de pratiques sexuelles[20], en particulier homosexuelles non protégées. Mais ils oublient de souligner que l’augmentation de l’incidence de cancer anal affecte uniquement les personnes immunodéprimées [21] et celles qui pratiquent le sexe anal passif (risque 60 à 90 fois plus élevé des homosexuels masculins passifs et encore plus ceux qui sont HIV positives[22]) et que le lien de causalité directe entre HPV et cancer n’a pas été non plus démontré, mais seulement suggéré par l’association statistique entre HPV et cancer.

 

Cette augmentation de fréquence leur sert pourtant d’argument pour promouvoir une vaccination chez les hommes, alors qu’il n’existe aucune preuve de son efficacité dans la prévention du cancer et que les premiers résultats sur le cancer invasif du col de l’utérus sont plus qu’inquiétants. Il en va de même des cancers ORL. Pas de lien de causalité directe démontré avec les HPV, mais présentation du Gardasil comme solution recommandée aux USA par le CDC, sans mentionner les risques potentiels.[23]

 

Il est attristant de constater qu’un journal destiné au corps médical colporte ainsi des nouvelles trompeuses, en reproduisant un communiqué du CDC, manipulateur, sans même vérifier et analyser les données officielles pourtant consultables par internet par tout un chacun. Dans quel but ?

 

 

3°) La prétendue efficacité de la vaccination contre le cancer invasif.[24]

 

Dans la presse écrite, le Figaro a ainsi successivement prétendu « une nouvelle version du Gardasil qui protège contre 90% des cancers du col de l'utérus »[25] et encore « si les recommandations de vaccination et de dépistage étaient suivies, le risque pourrait être réduit d'environ 98% ». Le Parisien Libéré proclame « un nouveau vaccin contre le papillomavirus rendant la prévention contre le cancer du col de l’utérus plus efficace ». Le Nouvel Observateur a donné la parole au docteur Monsonego[26] qui affirme que ce nouveau Gardasil assurera une « une protection à 90% contre le cancer du col  » et au docteur Jean-Charles Boulanger[27] : « l’efficacité de ce vaccin est voisine de 100% » sans permettre aux contradicteurs de s’exprimer ni préciser leurs liens d’intérêt de ces médecins violant ainsi la loi française. BFM TV réenchérit « le Gardasil 9 offre une protection contre la plupart des cancers du col de l'utérus  ». Mensonges et encore mensonges !

 

Ces affirmations sont fausses ! Après 12 ans de commercialisation, et près de 200 millions de vaccinées, il n’existe toujours aucune preuve que le Gardasil soit capable de protéger contre le cancer invasif du col de l’utérus, ni que la vaccination soit susceptible d’en réduire le risque. Le vaccin protège contre les infections des souches de papillomavirus qu’il contient (4 à 9 des plus de 150 souches répertoriées chez la femme), mais cette infection qui ne cause aucun symptôme gênant ,guérit spontanément dans l’énorme majorité des cas.

 

La vaccination prévient aussi les verrues génitales et certaines dysplasies prétendument précancéreuses. Mais contrairement à ce qui est constamment répété, les résultats préliminaires sur les cancers invasifs sont très angoissants, car d’après les relevés officiels des registres du cancer la vaccination est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif  !

 

Il est vrai que cet échec n’est pas évident, lorsqu’on ne considère que l’incidence globale (sur la population entière), car l’augmentation d’incidence chez les jeunes femmes vaccinées est en grande partie masquée par la diminution d’incidence chez les femmes plus âgées,non vaccinées. D’où une manipulation facile !

 

Ainsi, en Grande-Bretagne : les femmes de 20 à 24 ans vaccinées pour plus de 85% d’entre elles (alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans) ont vu leur risque de cancer augmenter de 30 % en 7 ans (de 3.1 en 2007 à 4.3 en 2014), alors les femmes de 25 à 34 ans (moins vaccinées car seulement exposées aux vaccinations « de rattrapage ») ont vu leur risque augmenter de 18% (de 17 à 20). Les femmes plus âgées, non vaccinées n’ont pas subi d’augmentation de risque ou ont vu leur risque diminuer (-13% pour les femmes âgées de 65 à 79 ans et - 10% pour celles de plus de 80 ans) en raison de la poursuite du dépistage par frottis probablement.

 

En Suède [28], l’incidence standardisée monde du cancer du col de l’utérus a augmenté progressivement depuis la vaccination passant de 9.6 en 2006, à 9.7 en 2009, 10.3 en 2012 et 11,49 en 2015 . Cet accroissement est presque exclusivement dû à l’augmentation de l’incidence des cancers invasifs chez les femmes de 25 à 49 ans (11 en 2006 versus 17 en 2015), et tout particulièrement des femmes de 20 à 29 ans en 2015 (augmentation de 66% de l’incidence de cancers du col), celles qui avaient entre 15 et 24 ans en 2010 et qui ont le taux de couverture vaccinale le plus élevé (85%) . A l’opposé, aucun accroissement de l’incidence de cancer invasif n’a été observé chez les femmes de plus de 50 ans, groupe qui n’a pas été concerné par le programme de vaccination.

 

En Norvège [29] [30], depuis la vaccination, le registre du cancer montre une augmentation de l’incidence standardisée du cancer invasif du col de l’utérus passée de 11 en 2007 à 12.2 en 2009, 13.2 en 2012 et 14.3 en 2015. Cette augmentation est due presque exclusivement aux jeunes femmes qui ont été vaccinées ainsi qu’en témoigne de plus la forte diminution de l’âge moyen de survenue du cancer du col passé de 48 ans en 2002 -2006 à 45 ans en 2012-2016.

 

 Ainsi, dans tous les pays qui ont atteint un taux de couverture vaccinale anti HPV élevée, les registres officiels du cancer révèlent une augmentation de l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus, qui apparaît 3 à 5 ans après le début de la campagne de vaccination et qui affecte exclusivement les groupes d’âge qui ont été les plus vaccinés.

 

Dans ces mêmes pays, les femmes plus âgées, qui n’ont pas été vaccinées, voient leur risque de cancer du col poursuivre sa diminution grâce au dépistage. De même, en France métropolitaine, pays à faible taux de couverture vaccinale, l’incidence du cancer du col continue de décroitre à un rythme comparable à celui de la période pré vaccinale[31], en poursuivant le dépistage par frottis régulier tous les trois ans.

 

Ces évolutions inattendues mais indiscutables, puisque officialisées dans tous les registres du cancer montrent que la vaccination est incapable de diminuer le risque de cancer invasif et qu’elle paraît même susceptible parfois d’en accélérer l’évolution naturelle. Elles annoncent une catastrophe sanitaire à l’échelle mondiale qui risque de se transformer en un grand scandale sanitaire d’ampleur inégalée compte tenu de l’extrême diffusion du vaccin (plus de deux cents millions de doses administrées) et du soutien aveugle dont il a bénéficié de la quasi-totalité des médecins experts, des sociétés savantes et des ministères de la santé.

 

Ainsi que le soulignent Susan Matthews et Frederik Joelving dans Slate[32] « Parfois, les vérités scientifiques sont réexaminées dans des laboratoires. Parfois, elles le sont dans les pages d’un magazine d’information. Quand c’est le cas, il relève aussi de la responsabilité de la publication d’être claire sur la manière dont les lecteurs doivent l’interpréter. Une des meilleures et des pires choses à la fois du journalisme qui aborde le sujet de la santé, c’est à quel point il recoupe les intérêts de ses lecteurs –tout le monde a un corps, et donc tout le monde a grand intérêt à analyser cette information et à évaluer si elle doit influencer ses choix en termes de santé. Les enjeux sont élevés et toujours compliqués par la difficulté à exprimer correctement la distinction entre santé publique et santé personnelle. »

 

Pour Le Dr Lemmens, spécialiste en bioéthique de l’Université de Toronto, la réticence à avoir une discussion franche autour de l’innocuité du Gardasil est contre-productive. « Nous faisons du tort à la science et nous faisons le jeu des anti -vaccins quand nous ne discutons pas publiquement des problèmes potentiels »

 

Espérons que le ministère arrêtera de faire du tort à la science et diligentera sans attendre des études par des auteurs indépendants sur l’efficacité réelle du Gardasil et les raisons des échecs observés, avant toute obligation vaccinale pour l’ensemble des jeunes filles et garçons.

 

 


[1] Notons qu’il est difficile de les informer directement car les mails adressés à l’Assemblée nationale sont régulièrement refusés. Ecrivez-leur à leur permanence locale.

[2] Dont S M Garland qui a des liens financiers importants avec MSD, Merck et GlaxoSmithKline, et a participé au HPV Advisory board meeting de Merck.

[3] C Pomel En finir avec le cancer du col de l'utérus en Auvergne La montagne Clermont Ferrand 07/04/2018

[4] P Kaldy L’Australie sur le point d’éradiquer le cancer du col de l’utérus Figaro 15/03/2018

[5] La rédaction de LCI Le cancer du col de l’utérus vaincu. Éradiqué.16 mars 2018 18 :29

[6] Brice Louvet L’Australie pourrait bientôt éradiquer le cancer du col de l’utérus Sciencepost 10 mars 2018

[7] Mymy L’Australie a peut-être vaincu le cancer du col de l’utérus, grâce à une méthode simple 9 avril 2018

[8] Vers l’élimination du cancer du col de l’utérus en Australie la Dépêche 21/03/2018

[9] La rédaction d'Allodocteurs.fr France Télévisions Cancer du col de l’utérus : la France à la traîne 20/03/2018

[10] Australian Institute of Health and Welfare 2014. Cancer in Australia : an overview 2014. Cancer series No 90. Cat. No. CAN 88. Canberra : AIHW

[11] Australian Institute of Health and Welfare & Australasian Association of Cancer Registries 2017.

Cancer in Australia : in brief 2017. Cancer series no. 102. Cat. no. CAN 101. Canberra : AIHW.

[12] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/effet-paradoxal-du-gardasil-206898

[13] On entend par incidence brute le nombre annuel de nouveaux cas habituellement exprimé pour 100000 femmes. Pour permettre d’éliminer les biais éventuels liés aux changements de démographie (vieillissement de population) on utilise dans les comparaisons l’incidence standardisée qui élimine ce biais en rapportant l’incidence brute à une population standard.

[14] Cervical screening in Australia 2018 : Table S6.2 : Incidence of cervical cancer, by age, 1982 to 2014

[15] An Australian success story : the HPV vaccine 9 January 2017 | Adjunct Professor Karen Canfell https://www.cancercouncil.com.au/blog/australian-success-story-hpv-vaccine/#PhkAGTIm0LYsMZWG.99

[16] SEER Cancer Statistics Review 1975-2012 National Cancer Institute Table 5.4 Cancer of the Cervix Uteri (Invasive)

[17] Cancer Stat Fats 2018 At a glance SEER 9 consultable à https://seer.cancer.gov/statfacts/html/cervix.html

[18] Elle a été depuis nommée Présidente de la division vaccins de Merck

[19] D’après Sophie Des Deserts dans l’Obs du 05 avril 2014 : « Hillary Clinton écrit en novembre 2005 au secrétaire d'Etat à la Santé pour lui demander d'approuver au plus vite le Gardasil (sans mentionner que le laboratoire sponsorise la fondation de son époux. »

[20] Daling JR, Weiss NS, Hislop TG, Maden C, Coates RJ, Sherman KJ, et al. Sexual practices, sexually transmitted diseases, and the incidence of anal cancer. N Engl J Med 1987 ; 317(16) : 973–7.doi :10.1056/NEJM198710153171601

[21]Grulich AE, van Leeuwen MT, Falster MO, et al. Incidence of cancers in people with HIV/AIDS compared with immunosuppressed transplant recipients : a meta-analysis. Lancet 2007 ;370(9581) :59-67.

[22] Silverberg MJ, Lau B, Justice AC, Engels E, Gill MJ, Goedert JJ, et al. Risk of anal cancer in HIV-infected and HIV-uninfected individuals in North America. Clin Infect Dis 2012 ; 54(7) : 1026–34. doi :10.1093 cid/cir1012

[23] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/fake-news-a-propos-du-cancer-anal-204663

[24] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-alerte-risque-imminent-d-206314

[25] Pauline Fréour : un vaccin encore plus efficace contre le cancer du col de l'utérus Le Figaro 19/02/2015

[26] Consultant rémunéré de Merck, Sanofi Pasteur MSD, Gen-Probe and Roche Diagnostics dont le Gardasil et les tests diagnostiques pour les HPV représentent une source importante de revenu

[27] Le vaccin contre le cancer du col de l'utérus est une évolution fantastique et efficace L’Obs 28-03-2013

[28] LARS ANDERSSON Increased incidence of cervical cancer in Sweden : Possible link with HPV vaccination Indian Journal of Medical Ethics Online First Published April 30, 2018

[29] WHO Regional Office for Europe 2018

[30] Cancer in Norway 2016

[31] Jéhannin-Ligier K, Dantony E, Bossard N, Molinié F, Defossez G, Daubisse-Marliac L, Delafosse P, Remontet L, Uhry Z. Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017. Rapport technique. Saint-Maurice : Santé publique France, 2017. 80 p. Disponible à partir des URL : www.santepubliquefrance.fr et http://www.e-cancer.fr/

[32] Les essais cliniques du Gardasil ont-ils passé sous silence des effets secondaires ? Susan Matthews et Frederik Joelving Traduit par Bérengère Viennot Slate 4 janvier 2018

 


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