Injectés en danger
par olivier cabanel
vendredi 4 février 2022
Longtemps le pouvoir, disant s’appuyer sur les conseils scientifiques, a affirmé que c’étaient les non-vaccinés qui étaient le plus menacés…allant jusqu’à les rendre responsables de la situation sanitaire.
aujourd’hui, des enquêtes démontrent le contraire.
La base de données officielles de la DREES (Direction de la Recherche, des Études de l’Évaluation) dès la 2ème semaine de janvier, affirme que les non-injectés seraient 46 % des décès après hospitalisation …
Sauf qu’il y a une omission de taille : S’il faut croire le site « santé non censurée », on découvre que, sous la plume de Thibaut Masco, le DREES ne fait pas de distinction entre le « Delta », et « l’Omicron »…
ça s’appelle « mentir par omission ».
Car si l’on considère que le « Omicron » est très actif sur le territoire national (et ailleurs), on constate un brusque changement au profil des non-vaccinés : 8 % de ceux-ci ne représentent plus que 31,1 % des décès...ajoutons que ces décès posent problème, comme il n’y a pas d’autopsies réalisées, on ne sait pas si les morts le sont du vaccin (sang s’épaississant, thromboses, AVC…) ou du virus ?
Conclusion : aujourd’hui, ce sont les vaccinés qui sont majoritaires dans les hôpitaux.
On est bien loin du message officiel qui pointe du doigt « ces irresponsables qui refusent la vaccination"
C’est ce que prétend « The Herald », un quotidien écossais, en se basant sur le rapport de la PHS (santé publique écossaise). Et il n’est probablement pas le seul : au Pays de Galle, (et ailleurs) c’est identique.
Allons un peu plus loin, ce même Thibaut Masco, affirme, preuves à l’appui, que malgré les 6,334 milliards de doses injectées, le nombre de cas diagnostiqués positifs ont continué à grimper, concluant logiquement que « le vaccin ne freine pas l’épidémie ». lien
Ce qui n’est pas surprenant quant on veut bien se souvenir que tous les français qui se sont fait injecter n’ont été que des cobayes puisque ces pseudos vaccins sont toujours en phase de future validation.
Il y a hélas plus inquiétant…
Regardons cette courte vidéo dans laquelle on peut découvrir John O’Looney, directeur d’une entreprise de pompes funèbres, à Milton Keynes, en Angleterre, une grande ville de 230 000 habitants..
Toutes les personnes qui ont voulu la partager sur Facebook se sont fait censurer..et fort heureusement, le site crowdbunker.com, s’est protégé contre la censure, ce qui permet de vous la proposer.
Extraits : « des infirmières m’appellent, des policiers m’appellent, et tous me disent la même chose : « c’est un scandale, un mensonge total, dans nos médias, on dit que nos hôpitaux sont remplis de personnes non vaccinés, c’est une invention totale, c’est exactement le contraire, 9 patients sur 10 qui sont là, plein de caillots, sont vaccinés (…) il ne s’agit pas que de personnes âgées, ce sont des personnes dans la vingtaine, la trentaine, la quarantaine (…) et j’ai noté une augmentation d’ 500 % par rapport à chacune des 14 dernières années, et toutes ces personnes sont vaccinées... ».
la vidéo est d’une trentaine de minute, et il mentionne aussi une réunion qui s’est tenue à Westminster, en présence de 18 scientifiques notoires dans laquelle a été affirmé que les enfants injectés seront stérilisés à 70 %, car, après l’injection, le système immunitaire sera affecté, et se retournera contre les enfants...
sauf que cette vidéo est contestée…
c’est France Info qui s’y est collée, et elle affirme que les affirmations du directeur des pompes funèbres seraient « fantaisistes ».
Selon John O’Looney, le nombre de décès aurait explosé au début de la campagne outre Manche, ce qui serait démenti par la réalité : le nombre de décès aurait explosé.
France Info propose alors un graphique pour appuyer son affirmation...sauf que, si le graphique montre bien que la courbe des décès a commencé en octobre, elle a bien continué à grimper jusqu’après janvier...alors que la vaccination, qui avait commencé en janvier, s’était prolongée jusqu’à juillet.
Mais quid de l’objectivité d’un site (France Info) qui, depuis le début a toujours martelé, contre toute évidence qu’il n’y avait « aucun lien entre le vaccin et des problèmes de santé grave ». lien
D'ailleurs ce n’est pas tout…
un autre graphique, paru chez « Challenges » nous dit autre chose, et démontre que les décès aurait commencé bien plus tard… en février, et non en octobre...alors que la vaccination avait commencé en janvier.
ce qui n’empêche pas France info de conclure qu’il s’agit d’un fake, et que John O’Looney se serait inspiré du célèbre film « hold-up », affirmation un peu légère. lien
Remarquons tout de même que France Info ne contredit pas pour autant les informations données par John O’Looney, au sujet des caillots dans le sang, des thromboses, des AVC et des morts, lesquels ne peuvent être imputés au virus.
D’ailleurs le même France Info avait admis dès le mois de juillet que les vaccins pouvaient provoquer des myocardites, tout en minorant l’info, assurant que : « les effets seraient bénins »...lien
Passons aux bonnes nouvelles…
le ministre de la santé tente une prudente marche arrière, laissant sous entendre que le pass pourrait être supprimé avant juillet...tentant probablement d’améliorer l’image du futur candidat présidentiel..d’autant qu’en Europe, les restrictions se lèvent un peu partout, grâce à la recherche permanente de dialogue entre les citoyens, leurs représentants et les autorités...sauf dans certains pays...suivez mon regard.
La Suède n’a jamais confiné, n’a pas rendu les injections obligatoires, et n’a pas pour autant comptabilisés plus de morts qu’ailleurs : 15 000 pour une population de 9 millions d’habitants (ratio de 0,0016). lien (à comparer avec le ratio français de 0,002)
au Danemark, les restrictions fortes on été contestées par les citoyens, et entendues : l’état n’est pas resté dans un état d’urgence permanent. lien
En Finlande, le gouvernement a mis en place un calendrier d’allègement des restrictions des le 1 février. lien
La Norvège est sur la voie d’une sortie de crise même si le taux d’infection reste élevé. lien
L’Irlande à supprimé les restrictions, et le test négatif n’est plus demandé à l’entrée dans le pays. lien
Le Royaume-Uni à choisi de « vivre avec le virus », et les Pays-Bas sont sortis des restrictions. lien
Quant à l’Autriche et à l’Allemagne, leurs dirigeants restent sur la défensive, même si 100 000 médecins allemands ont fait savoir aux autorités qu’ils s’opposaient à une obligation vaccinale. lien
L’Espagne prépare sa sortie de crise, et veut traiter la Covid comme une simple grippe, et en Italie on se tourne vers un assouplissement des mesures. Lien
Ceci dit, notre gouvernement doit aussi s’inquiéter de toutes ces doses qui risquent de ne plus se vendre…
comme dit mon vieil ami africain : « les bonnes nouvelles marchent moins vite que les mauvaises ».
Le dessin illustrant l’article est de Péhel
Merci aux internautes pour leur aide précieuse.
Olivier Cabanel
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