Médecine de guerre

par Erik Gruchet
vendredi 6 mai 2011

« Il est plus difficile de casser une croyance que de briser un atome » Albert Einstein

Un monde harmonieux où la connaissance et la compréhension directe par chacun du fonctionnement de son corps et des causes de sa désorganisation (la maladie) ne serait pas économiquement rentable car il serait impossible aux marchands du temple de faire leur beurre sur le dos des humains éveillés. Fort de ce concept, les contrôleurs et grands argentiers de la planète ont toujours falsifié à leur profit les réalités de la science objective, les forçant à passer par la moulinette de leurs objectifs de rentabilité commerciale.

En médecine moderne, le point de bascule se fit à la fin du 19ième siècle par le détournement des travaux médicaux d’Antoine Béchamp, docteur ès-Sciences, docteur en médecine, en chimie et en pharmacie par le très ambitieux chimiste et biologiste Louis Pasteur. Le méticuleux Béchamp prouva par toute une vie de recherche médicale et d’observations histologiques la présence en toute forme de vie et donc en chaque être humain de micro-organismes qu’il baptisa « microzymas ». Ils sont visibles à partir d’un grossissement de 750 et curieusement Louis Pasteur a interdit à ses collaborateurs de dépasser les 450. En fonction de la nature du milieu environnant, en particulier de son pH, ils sont susceptibles de bâtir de toute pièce des virus, des bactéries, des cellules voir des tissus fibreux et membraneux. Cette découverte révolutionnaire impliquait que la cause de la maladie n’était pas une agression d’éléments vivants autonomes et étrangers à l’individu mais qu’au contraire elle était la réponse interne la plus appropriée des assemblages en virus ou en bactéries de « microzymas », assemblages destinés à faire face à un chantier important dans l’organisme pour rétablir l’équilibre du milieu intérieur et assurer la survie. C’était la perturbation de ce milieu intérieur, le changement des « humeurs » comme on les appelait autrefois, c’est-à-dire en terme contemporain des stress oxydatifs liés essentiellement aux peurs ou à des empoisonnements plus ou moins artificiels qui étaient la cause première et non l’attaque d’une vie exogène. Le retour à un milieu intérieur équilibré provoque naturellement la réversibilité du processus !

La différence peut sembler anodine de prime abord quand au résultat observé, mais c’est sur elle que repose toute la stratégie médicale et sociale en générale. Soit nous sommes en guerre contre le monde extérieur et des armes de destructions massives (antibiotiques, bombes…) sont nécessaires pour le combat, soit nous sommes en symbiose avec la vie et les déséquilibres sont naturellement compensés par l’intelligence de vie qui amène à la conscience, de façon visible à travers la maladie ou les violences, la concrétisation de ces choix. Une fois le problème compris, le stress résolu et la leçon enseignée la guérison est spontanée pour autant qu’on ne l’arrête pas par une chimie toxique.

Louis Pasteur et Robert Koch firent une interprétation erronée de la réalité se basant sur l’observation figée en laboratoire de l’évolution d’une maladie à un temps T. Ils découvrirent qu’effectivement pour une maladie donnée (en réalité une forme particulière de déséquilibre ou de stress non résolu comme nous le verrons plus loin avec les travaux du docteur Hamer) correspondait une « espèce » de bactérie précise et toujours la même. Ils postulèrent que le milieu intérieur était toujours stérile et sain et que la cause du désordre était l’invasion étrangère. On retrouve là d’ailleurs un parallèle intéressant avec certaines idées politiques très arrêtées… Cette idée réductrice fit sa fortune et celle de tous les laboratoires pharmaceutiques qui concoctèrent des arsenaux de combats de plus en plus toxiques au point que les patients aujourd’hui meurent guéris !

Béchamp fut enterré et pasteur porté aux nues par la finance mondialisée qu’il avait contribué à enrichir. Dans un ultime sursaut d’intégrité, sur son lit de mort Louis Pasteur avoua : "Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout".

Plus récemment l’exemple du docteur Hammer est édifiant sur le pouvoir des Lobis en place. Docteur en médecine, chef de service en oncologie à l’hôpital universitaire de Tübingen en Allemagne et cancérologue réputé , il fut déchu de son droit à l’exercice de la médecine et finalement emprisonné à Fleury Merogis pour avoir affirmé et démontré par la pratique sur 6500 patients que le cancer pouvait être guéri et non seulement combattu.

Ces études cliniques l’amène à comprendre qu’un cancer particulier résulte toujours d’un même type de choc émotionnel, il établit alors une cartographie de chaque cancer en rapport avec les chocs ressentis. Avec l’analyse systématique des scanners du cerveau de ses patients il observe la trace visible du choc émotionnel qui perdure autant que le stress et la localisation précise de ce foyer dans le cerveau correspond toujours au type d’organe touché de sorte que l’analyse des scanners permet dans 100% des cas de trouver l’organe touché par le cancer. Cette triple corrélation entre un cancer particulier, un choc émotionnel particulier et la localisation visible d’un foyer réactif dans le cerveau l’amène à tester avec des patients volontaires une nouvelle thérapie basée sur la conscientisation et la résolution de la situation conflictuelle et du choc émotionnel qui lui est lié, de façon à ce que le cerveau agisse sur l’organe ciblé pour engendrer la guérison. C’est ce qu’il observe de façon quasi systématique sans autres traitements de chimiothérapie, de radiothérapie ou de chirurgie. Dans la phase de guérison naturelle qui suit la fin du sur-stress ou la résolution du conflit il observe cliniquement l’intervention d’un micro organisme particulier. Pour chaque organe particulier, en fonction de sa provenance embryologique (endoderme, mésoderme ancien, mésoderme nouveau, ectoderme) correspond un micro-organisme particulier (bacilles, champignons ,virus, bactéries) . Ils agissent comme des « éboueurs » du milieu intérieur et comme « recycleurs » des structures pathologiques. Ils sont donc des adjuvants indispensables à la guérison alors que la médecine d’école s’efforce de les combattre. Cette dernière donnée corrobore tout à fait les travaux oubliés du docteur Béchamp cité plus haut.

Résultat d’une vie de recherche et de travail pour le docteur Hamer et dont les conclusions s’opposent aux intérêts des puissances pharmaceutiques en place : procès, déchéance de son droit à exercer la médecine et emprisonnement ! Il n’est pas acceptable que la guérison suive naturellement la prise de conscience dans un monde ou le contrôle et la peur sont les armes de l’exploitation du plus grand nombre par les plus puissants.

A voir absolument les trois courtes vidéos du film de Jean-Jacques Crèvecœur sur le Dr. Hamer dont les références figurent ci après : http://www.youtube.com/watch?v=pMRT... http://www.youtube.com/watch?v=EwV9... http://www.youtube.com/watch?v=3ZDm...


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