Scandale du vaccin INFANRIX Hexavalent
par Daničle PIERRA
mardi 8 mars 2016
J'ai compilé, pendant des jours, des informations glanées sur le net et ai croisé celles-ci avec le plus de méthode possible. Le livre du Professeur Michel Georget, agrégé de biologie sur les vaccinations, m'a beaucoup aidée dans ma quête d'un certain éclairage sur l'épineux et stressant problème du vaccin Infanrix hexavalent. Je n'ai d'autre légitimité que celle d'une Mamie qui a des petits enfants très jeunes et qui est soucieuse de leur bien-être. Il n'est pas nécessaire d'être un professionnel de santé, pour se faire un avis, comme il n'est pas nécessaire d'être politologue pour glisser un bulletin de vote dans l'urne.
Nous sommes tous concernés !
Un scandale indéniable : "la prise en otage, la vente forcée"
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Le vaccin DT Polio (Diphtérie Tétanos Polio) dit tétravalent est obligatoire. Son coût est de 14 €uros.
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On assiste à une pénurie de ce vaccin organisée, ou pas, par les laboratoires pharmaceutiques. Les labos qui fabriquent ces vaccins, GSK (Glaxo Smith Kline) et Sanofi Pasteur, évoquent un changement de calendrier vaccinal dans plusieurs pays, qui a fait grimper la demande et des difficultés dans la production de vaccins.
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Un autre vaccin de remplacement, l'Infanrix, dont le coût est de 39 €uros, devient donc par "vente forcée", imposé. Il couvre six maladies (diphtérie, tétanos, polio, hib coqueluche, hépatite B).
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Bizarrerie de calendrier : Depuis 2014 le vaccin pentavalent (qui couvre 5 maladies : diphtérie, tétanos, polio, hib coqueluche) a aussi disparu du circuit.
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Aberration : il est illégal d'imposer ce vaccin comme il est illégal de le refuser.
Les risques
L'Infanrix Hexa est un vaccin combiné qui regroupe des vaccins importants en une seule prise. Les risques sont d'origines diverses :
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Les risques liés au sujet que l'on vaccine. Les vaccinations de routine et de masse se font généralement sans examen préalable (aucune investigation n'est faite auprès des tout petits).
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Les risques liés à la partie vaccinante : le vaccin contre l'hépatite B est soupçonné d'un lien avec la sclérose en plaque. Le journal "le Monde" du 5 juin 2015 pointe du doigt la valence contre l'hépatite B, et souligne qu'il est étrange d'immuniser les nourrissons contre cette infection transmise par voie sexuelle. Or, ce vaccin est accusé à tort ou à raison de provoquer des maladies.
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Les risques engendrés par la réaction immunitaire, comme un choc incontrôlé (choc anaphylactique).
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Les risques de contaminations.
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Les risques liés aux additifs (adjuvants, inactivateurs, conservateurs, stabilisateurs et autres excipients). Dans l'Infanrix, on trouve entre autres, du formaldéhyde et des sels d'aluminium. D'après le Professeur Joyeux, ces deux substances sont dangereuses et pourraient provoquer la myofascite à macrophages (c'est à dire : syndrome associant douleurs musculaires, articulaires et fatigues chroniques).
Le formaldéhyde (autrement dit, le formol)
En juin 2004, le centre international de recherche sur le cancer a classé cette substance en catégorie 1, c'est à dire, cancérogène avéré chez l'homme.
L'aluminium
L'aluminium est utilisé comme adjuvant car il est un puissant stimulateur du système immunitaire. Cependant, des découvertes récentes révèlent aussi ses propriétés neurotoxiques. Un autre adjuvant, sans risque et qui a fait ses preuves depuis des dizaines d'années (le phosphate de calcium) a été retiré progressivement. L'aluminium est normalement éliminé par les reins, sauf chez les nourrissons dont la fonction rénale n'est pas encore bien en place. La barrière hémato-encéphalique des bébés n'est pas complètement formée et est donc davantage perméable aux substances toxiques dont l'accumulation serait facilitée par son mode de transport dans le sang. Un bébé de 15 mois qui reçoit son quatrième vaccin héxavalent de routine, reçoit 100 fois la dose d'aluminium qui ne devrait être excédée dans son sérum sanguin (source : Jean Pillette docteur en médecine, membre de l'Européan forum for vaccine vigilance).
Madame la Députée Européenne Michèle Rivasi, Professeur agrégé en SVTU, a réclamé un moratoire sur tous les vaccins contenant de l'aluminium, demande précédemment formulée par un groupe d'études de l'Assemblée Nationale, en application du principe de précaution. L'Académie de médecine avait reconnu que l'aluminium pouvait pénétrer dans le cerveau, mais s'était déclarée hostile à tout moratoire. La conférence de presse organisée le 12 novembre 2012 était édifiante ! Elle s'intitulait : "nocivité des sels minéraux dans les vaccins, du soupçon aux certitudes". Madame Michèle Rivasi et les chercheurs français dont M. Romain Ghérardi (neurologue et directeur de l'INSERM), le professeur François Authier (neurologue, responsable des tests diagnostiques) ainsi que les chercheurs étrangers Christopher Exley, Christopher Shaw, Yéhuda Shoenfeld (directeur d'une unité de l'INSERM) étaient conviés. Or, malgré la reconnaissance du problème par l'Académie de médecine, malgré de nombreuses publications scientifiques internationales, l'ANSM (agence du médicament, anciennement AFSSAPS) vient de refuser tout financement à l'équipe INSERM de l'hôpital Henri Mondor (Créteil) qui travaille depuis 18 ans sur cette question. POURQUOI ?
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Profits, obscurantisme et intérêts politiques :
- Monsieur le Professeur Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008, se désolait : "ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins... , j'enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts pharmaceutiques, des intérêts politiques". En un mot, on risque de tuer ou de rendre malade nos enfants pour de le profit.
- Monsieur André Cicolella, Président du réseau environnement santé a dénoncé, à l'AFP du 12 novembre 2012, la "position obscurantiste des autorités sanitaires qui tendent à marginaliser les experts".
- Des documents obtenus par le Professeur Lucia Tomlijenovic du neural dynamique research groupe révèlent que les compagnies pharmaceutiques et les autorités de santé, connaissent les multiples dangers associés à ces vaccins, mais ont choisi de ne pas les divulguer.
- Le docteur Richard Horton, rédacteur en chef du journal médical mondialement connu "the lancet", a récemment déclaré : "une grande partie des résultats de recherches publiés sont au mieux, sujets à caution, si non, complètement faux".
- Souvenons-nous de la découverte, lors du scandale du médiator, du "club Hippocrate", qui réunissait une centaine de députés, club financé par GSK (source : site bigpharma et conflits d'intérêts).
- En 2009, Madame Marisol Touraine, appartenait au club "avenir de la santé", un groupe de pression financé par le labo GSK fabriquant du vaccin Infanrix (source : wikipédia).
- La liste des membres du club "avenir de la santé" est interminable (ministres, députés et sénateurs) La firme tient tout le monde ! Source : le site "le club avenir de la santé", avec la liste complète des noms.
- L'ancienne ministre de la santé, Michelle Barzach, a été présidente du labo GSK.
- Depuis novembre 2012, le conseil d'Etat, a reconnu à 6 reprises le lien aluminium vaccinal et myofascite à macrophages. La maladie peut se déclencher 10 ans après la vaccination.
La vaccination a éradiqué beaucoup de maladies. Je ne suis pas une personne anti-vaccin, bien au contraire, je suis reconnaissante à la science de ces bienfaits. Cependant, je suis persuadée que l'attitude des laboratoires, toujours plus cupides, conjuguée à l'obscurantisme, a abouti à notre méfiance, voire à notre défiance. Le principe de précaution qui devrait prévaloir est bafoué, pire encore, on assiste à une opposition farouche et suspecte des grands laboratoires et du pouvoir. N'oublions pas que sur 675 personnes siégeant à l'agence du médicament, 415 (soit 62,4 %) déclarent avoir des intérêts dans l'industrie pharmaceutique et cosmétique. Souvenons-nous de la découverte, lors du scandale du Médiator, du "club Hippocrate" qui réunissait une centaine de députés. Ce club était financé par ... les laboratoires GSK ! (source : site big pharma et conflits d'intérêts).
Je suis atterrée par ce que j'ai lu sur les conflits d'intérêts, les compromissions, les personnes corrompues, achetées, le mépris affiché envers les experts qui ne partagent pas l'avis du "politiquement correct".
Je suis atterrée par le dévolu jeté par les laboratoires sur les plus faibles, les moins instruits, au fin fond de l'Afrique, auxquels il est facile d'arracher un pseudo consentement éclairé pour des essais thérapeutiques.
Je suis, sans réserve, pour un vaccin contre le manque d'humanisme.
Espérons que le gouvernement et la ministre de la santé, Madame Marisol Touraine, entendront nos interrogations prégnantes et notre légitime colère. Le dernier rebondissement en date (le 15 février 2016) est la saisine du conseil d'Etat par Maître Bergel Hatchuel, mandatée par des citoyens signataires de la pétition du docteur Joyeux. C'est le dernier épisode rocambolesque de cette mauvaise farce après un recours gracieux resté lettre morte et .... une perte de dossier par les services du ministère de la santé !
Infanrix hexa : le document confidentiel accablant du site Initiative Citoyenne sur la mort subite des nourrissons sur deux ans, après vaccination (lien ci-dessous)