Un an d’errements
par olivier cabanel
mercredi 3 février 2021
Voilà un an déjà qu’une sale bête appelée coronavirus, puis rebaptisée « covid-19 » s’est invitée dans nos vies, provoquant un tsunami, tant sur le plan social, que sur le plan économique, et un bilan provisoire s’impose.
Tout a commencé par les déclarations rassurantes d’Agnès Buzyn, avant que les choses ne commencent à se gâter...même si elle rétropédalât ensuite, expliquant, 4 jours avant les élections ( le 11 mars ndlr) « qu’elle n’avait pas entendu beaucoup de scientifiques dire que ça allait être grave ».
Ce qui est faux, puisque dès le 30 janvier, l’OMS décrétait l’urgence sanitaire mondiale... confirmé par Gabriel Leung, président de la chaire de santé publique à l’Université de Hongkong, estimant que 60% de la population risquait d’être touchée si aucune mesure forte n’était prise. lien
Passons et commençons par les masques...
Il y en avait des millions, qui finalement ont disparu, et puis on a appris que de toute façon, ils ne servaient à rien (lien), puis, virage à 180°, qu’ils étaient indispensables...
Olivier Véran, digne successeur d’Agnès Buzyn, a lui aussi, changé diamétralement de discours, passant du « masque pas utile » au « masque obligatoire ». lien
Puis, on a appris qu’ils étaient polluants, non recyclables, qu’ils ne disparaissaient qu’au bout de 450 ans... et qu’ils produisent des microparticules cancérigènes... que nous allions fatalement ingérer. lien
Les masques sont aussi dangereux pour d’autres raisons, car on inhale fatalement une partie du CO2 expulsé.
Contre toute attente, la revue « Sciences et Avenir », sous la plume de Camille Gaubert affirme le contraire...lien
Elle est démentie par le Dr Margareta Griez-Grisson, titulaire d’un doctorat en pharmacologie, et spécialiste en neuro-toxicologie : « la ré-inhalation de l’air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène et une saturation en dioxyde de carbone ». lien
D’ailleurs, comment expliquer la mort de 2 adolescents chinois que l’on avait obligé à courir masqués, et qui après un malaise, sont morts.
Il y a eu d’autres cas similaires, mais les autorités chinoises ont prudemment attribué ces morts à « un arrêt cardiaque ». lien
Et puis, en haut lieu, on a préféré affirmer qu’ils étaient « morts du virus ».... lien
Quittons ces masques que de plus en plus de français assimilent à des baillons, (lien) et allons voir du côté des tests...
Les « RT-PCR » dits classiques, consistant à l’introduction d’un long coton-tige enfoncé profondément dans le nez.
Puis sont venus les tests antigéniques, moins fiables que les précédents, mais dont le diagnostic est beaucoup plus rapide.
A suivi le test dit salivaire, destinés la plupart du temps aux enfants, et aux personnes âgées, mais ils sont jugés moins fiables que les « classiques ».
Il faut aussi évoquer les tests sérologiques, qui sont un prélèvement sanguin, destinés surtout à découvrir la présence, ou non, d’anticorps, ce qui permet de déduire que vous avez été en présence du virus, mais que vous y avez résisté...jusqu’à quand... ça, c’est la question qui reste posée. lien
La Chine est allé plus loin en choisissant maintenant des tests anaux, imposant à des candidats au voyage, des analyses particulièrement invasives, mais parait-il plus fiables : il s’agit d’introduire des écouvillons de 3 à 4 cm dans le rectum, pas de quoi encourager la découverte de l’empire du milieu. lien
Sauf qu’un certain Kary Mullis vient semer le trouble au milieu de tout ça : Il est l’inventeur du test PCR et explique clairement que son test ne permet pas de dire si vous êtes malade, ou pas. lien
Encore mieux, le docteur Peter El Baze, ex médecin attaché des Hôpitaux du CHU de Nice est formel : « sur le plan médical, (...) les PCR n’ont plus aucun intérêt sauf si on restreint le CT (Threshold Cycle) à 30 au maximum ». lien
Encore plus étonnant, l’expérience d’un pharmacien qui, déposant une goutte de Coca-Cola sur un test, le rend positif. Lien
En haut lieu, on explique que l’acidité de la boisson dégrade le test en détruisant ses composants... ce qui ne remettrait pas en question l’efficacité du dépistage (lien) mais ce qui revient à penser que, si pour une raison ou une autre, le « testé » a une quelconque acidité dans les narines, cela ne modifierait-il pas la fiabilité du test ?
Quittons ces tests douteux, et penchons-nous sur les fameux vaccins, pour lesquels c’est un peu la foire d’empoigne...
Voilà un labo qui a reçu des milliards, Pfizer en l’occurrence, qui a reçu l’autorisation de la Haute Autorité Sanitaire (lien), qui s’est engagé à fournir des millions de doses, et qui brusquement décide de revoir sa chaîne de production... limitant ainsi le nombre de doses disponibles.
Créer le besoin en annonçant une possible pénurie, ou en créant un sentiment d’urgence, est une vieille technique commerciale (lien) qui a fait ses preuves...
Dans ce cas précis, ça a été le cas, puisque les français qui majoritairement refusaient la vaccination, ou du moins s’en méfiaient, (58%) ont inversé la tendance en quelques jours. lien
Ont-ils raison pour autant ?
Pour s’en convaincre, il est intéressant d’écouter cet échange, entre le journaliste Éric Coriolan, et le Dr Talarmin de l’institut Pasteur.
En un peu plus de 4 minutes, le journaliste prouve qu'il faut arrêter la vaccination, et dans la foulée, des experts chinois appellent à suspendre la vaccination des personnes âgées suite à plusieurs décès en Norvège. lien
Mais il y a plus troublant.
Faut-il y voir un élément de cause à effet ?... toujours est-il que l’on constate que « plus il y a de vaccinés, plus le nombre de morts augmente ».
En effet, les pays qui vaccinent le plus sont Israël et le Royaume Uni... or si on observe leur courbe de mortalité Covid, comme on peut le constater ici : lien
Bien sûr, ça peut être une simple coïncidence, ou pas... mais ça pourrait aussi inciter les uns et les autres à plus de prudence, surtout quand on sait que le fabricant a dégagé toute sa responsabilité du produit qu’il vend... lien
Et quid du confinement, l’arme que le gouvernement a déjà utilisé 2 fois, sans très grand résultat, autre que couler l’économie du pays, et de conduire des humains à la plus grande détresse, voire au suicide... alors qu'il menace de le faire une 3ème fois ?
Et puis il y a tout de même 500 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes qui se déclarent atterrés par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.
De Laurent Toubiana, à Emmanuel Krivine, en passant par Jean-François Toussaint, ou Dominique Eraud, il y a du beau monde parmi tous les signataires.
Ils dénoncent une dramatisation anxiogène, comme celle propagée par le président du « conseil scientifique » qui affirmait : « la 2ème vague sera plus forte que la première ».
Ces « 500 » dénoncent du catastrophisme destiné à affoler les populations, et affirment qu’il s’agit d’une manipulation qui est surtout politique, réclamant : « qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leur mission de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle ». lien
Alors que Macron et son gouvernement se félicitent de leur gestion de la crise sanitaire, les faits devraient les appeler à plus de modestie, d’autant qu’un sondage récent les place en mauvaise posture : sur 98 pays, la France occupe la 73ème place. lien
Mais pouvait-on faire mieux ?
Oui affirment de nombreux médecins... ils sont 30 000 à avoir signé une tribune, déplorant que l’on n’ait pas fait appel à eux dans la gestion de cette pandémie, expliquant que l’hospitalisation n’est pas toujours la panacée, qu’il y a des remèdes connus et efficaces lorsqu’ils sont pris au début de la maladie. Lien
L’un d’eux, Gérard Maudrux, rappelle que l’ivermectine peut guérir en 48 heures, avec un taux de réussite de 99,8%. lien
Sur ce lien, une étude portant sur les bienfaits de cette molécule.
Un avocat, Me Teissedre, a été saisi par 500 médecins, lesquels demandent qu’on les laisse travailler : à ce jour, les docteurs qui prescrivent ce médicament sont poursuivis...et l’avocat a porté l’affaire devant le conseil d’Etat. lien
L’affaire suit son cours, (lien) et comme dit mon vieil ami africain : « le singe ne voit pas la bosse qu’il a sur le dos ».
Le dessin illustrant l’article est de CRichard
Merci aux internautes pour leur aide précieuse
Olivier Cabanel
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