Actualités impertinentes de la langue française, juillet 2018

par Dictho
jeudi 2 août 2018

 Le sentiment de désintérêt pour la langue française prédomine en dehors des entreprises commerciales qui en ont fait leur chasse gardée.

Trouvez la faute

 Pour découvrir de nombreuses fautes des médias, choisissez un des dictionnaires du Dicthographe (en cliquant sur une lettre) puis écrivez Trouvez la faute (Rechercher dans ce site).

31 juillet 2018

C'est nous qu'on gagne

Le slogan du réseau des Alliances Françaises : "Ici, on parle la langue des champions !"

30 juillet 2018

Pour vendre la France, parlons anglais !

La loi du 4 août 1994, dernier rempart contre le globish qui ridiculise notre langue, est en danger ! Philippe Berta, député de la 6e circonscription du Gard, entend obtenir qu'elle soit modifiée et qu'on n'ennuie plus les maires et les collectivités en leur demandant de parler français. En savoir plus : Défense de la langue française.

Le Québec défend-il plus la langue française que la France ?

 Je vais référencer dans le Dicthographe, les nouvelles rubriques de l'Office québécois de la langue française. Par contre, il ne semble pas y avoir eu de nouveaux termes publiés au Journal officiel de la République française par la Commission d'enrichissement de la langue française depuis le 12 juin (France Terme).

27 juillet 2018

Le Figaro, expert en langue française

 Lu dans le Figaro, rubrique Langue française, dans un article qui ne fait pas l'unanimité vu le nombre de commentaires : "tous la redoute" . Comme à l'habitude, cette faute ne sera pas corrigée.

17 juillet 2018

Beaucoup s'en foutent

 Lu dans La Toupie : Remerciements pour tous les pays du monde qui se sont entendus pour ne pas polluer les derniers jours de la coupe du monde et son lendemain de fête par une quelconque actualité : guerre, attentats, politique, économie, faits divers... Félicitations à nos médias d'information qui ont fait preuve d'une imagination débordante pour combler le vide ainsi créé et tenir la France en haleine jusqu'à l'orgasme final. Deux bémols cependant. Lire la suite.

14 juillet 2018

Et lisez l'Élysée

Voici une partie des problèmes (fautes de syntaxe, d’orthographe, pléonasmes, bourdons, lamartinisme) que nous avons rencontrés lors de la lecture de la transcription sur Elysee.fr du discours de M. Emmanuel Macron du lundi 9 juillet 2018 devant le Parlement réuni en congrès à Versailles. À découvrir dans "Les médias me rendent malades".

8 juillet 2018

Les médias et le peuple

 Titre lu dans Les médias me rendent malades : "Au cœur de l’usine qui fabrique vos pièces de monnaie". Avec ce commentaire : Une très agaçante et trop récurrente pratique journassotière, vos au lieu de nos. Parce que toi le journassot tu n’utilises pas ces pièces de monnaie ? et tu ne paies qu’en billets de 500 euros ?

5 juillet 2018 

Fautes académiques

 Voici le titre d'une rubrique de l'Académie française : Écoutes ! et regardes ! Cette manie cacographique de mettre en évidence une faute pour ensuite expliquer la bonne façon d'écrire est anti-pédagogique.

 Cette académie critique également l'emploi de S.N.C.F. pour La S.N.C.F., Crédit agricole pour Le Crédit agricole, ce qui me semble sans intérêt alors que des organismes publics utilisent des noms à consonance peu française. Par exemple, l'association Avenir de la Langue Française nous apprend que la Poste a décidé d'appeler sa nouvelle banque en ligne "My French Bank" (sic ! ) . Cette association ajoute qu'outre la bêtise et le manque d'imagination d'une telle appellation, on peut s'étonner qu'une société dont le capital est entièrement détenu par l'État se permette ainsi de piétiner la langue de son pays.

4 juillet 2018

Le pourquoi du comment

 Lu dans Les médias me rendent malades : « Le pourquoi du comment », expression pourtant presque aussi risiblement fautive que « à l’insu de mon plein gré » ou que « la goutte d’eau qui a mis le feu aux poudres », est passée dans l’usage sérieux, comme nous le remarquons depuis plusieurs mois. L’avocat en employant cette expression risible ne risibilise-t-il pas son client et son affaire ? n’est-ce pas bouffonner sur un sujet grave ? 


Lire l'article complet, et les commentaires