Islamophobie, une légende des Mille et une nuits contée par des fondamentalistes

par moderatus
vendredi 14 février 2020

 

L’islamophobie, comme veulent nous le faire croire les islamistes de tous bords, ne désigne nullement la haine des musulmans ou le racisme anti musulmans. L’islamophobie, est un mot inventé par les Frères Musulmans qui conduit à interdire toute critique de l’islam, donc au premier chef le blasphème qui n'est pas un délit en France.

 

Cette définition dévoyée du terme islamophobie est une arme redoutable pour assimiler à du racisme anti-musulman un esprit critique, légitime, à l’égard de l’islam, comme à l'égard de toutes les religions. Certains sont tombés dans le panneau ou ont récupéré la situation.

On en arrive à des comportements extrémistes haineux comme c'est le cas pour MILA cette gamine de 16 ans, qui est menacée de mort et qui doit comme sa famille être protégée par la police. Ce n'est pas un cas isolé en France, où de nombreux citoyens sont constamment sous protection policière pour avoir l'outrecuidance de commettre ce qui est considéré par certains comme un pécher mortel, un délit qui n'en est pas un en France, puisque aboli depuis la révolution française, le délit de blasphème. C'est à dire qu'ils font passer les lois religieuses avant celles de la république.

 

 

« On ne peut pas être raciste envers une religion »

Cet ''Humoriste'' qui a traité Jésus de Pédé et pire, n'a pas été menacé, le parquet n'a pas sursauté. Pourquoi cet affolement, ce déchaînement de haine et ces menaces de mort quand il s'agit de l'islam de la part de fondamentalistes ?

Serions-nous adeptes du blasphème à deux vitesses ?

Alors oui, cette gamine est grossière, énervée et énervante, mais elle n'a fait que blasphémer, doit-on la condamner à mort ?

Alors non, je ne suis pas MILA comme un sondage à la noix le demandait, car je ne parlerai de cette façon d'aucune des religions, mais je revendique le droit au blasphème et à la critique des religions et je condamne fermement la violence verbale et physique envers ceux qui veulent être critiques.

Ce qui est gravissime et que la justice laisse passer sans réagir, c'est que certains qui se prétendent des représentants du culte musulman affirment et font croire aux croyants que les menaces de mort sont normales en cas de blasphème, et cela en contradiction avec les lois de la république française.

 

 

Droit au blasphème

 

Laissons ces procédés barbares à l'Iran et au Pakistan qui condamnent à mort ceux qui sont dits blasphémateurs, les droits divins étant supérieurs à celui des hommes.

 

Mais dépassons le cas de cette jeune fille,

Par ce procédé et ce terme impropre, les islamistes dont les manœuvres sont multiples, veulent faire croire que sur notre sol les musulmans sont montrés du doigt, stigmatisés, victimes d’agressions verbales et physiques répétées, en vertu de ce qui serait alors du racisme anti musulman.

Le message qu'ils veulent faire passer est le suivant :

« Musulmans, La France est raciste, la France ne vous aime pas, ses lois visant l'islam sont liberticides, votre refuge est la religion, rejoignez-nous, nous serons une force capable d'imposer la pratique de notre religion telle que le veut le coran »

L'islamisme il faut le rappeler est un courant de l'islam faisant de la charia la source unique du droit et du fonctionnement de la société dans l'objectif d'instaurer un jour, un État musulman régi par les religieux.

 

Alors cherchons la vérité.

 

La communauté musulmane est-elle victime d’agressions en grand nombre verbales ou physiques ?

Quelle est la réalité sur les actes commis contre la communauté musulmane et ceux commis contre les autres communautés !

 

La réponse est claire à travers les chiffres officiels donnés par les organismes incontestés , tant par la CNCDH que par le Ministère de l'intérieur.

Bilan 2018 des actes racistes, antisémites, antimusulmans et antichrétiens

Actes anti musulmans : 100 actes

Les actes antimusulmans atteignent cette année, avec 100 faits, leur plus bas niveau depuis 2010.

 

Actes anti sémites : 541 actes

Les actes à caractère antisémite ont fortement augmenté en 2018. 541 faits ont été constatés l’an dernier contre 311 en 2017.

Pour évaluer ce gouffre de différence, sachons que les juifs sont moins de 500,000 en France et que leur nombre est en constante diminution.
 

Actes anti chrétiens : 1063 actes

Le nombre d’actes antichrétiens est stable sur l’année avec 1063
 

Sur la profanation des lieux de culte on a des chiffres

Mosquées 40 atteintes

Synagogues 37 atteintes

Églises 628 atteintes 

 

A la lecture de ces chiffres officiels incontestables, on se rend compte qu'on est devant un racisme imaginaire et une manœuvre des islamistes afin de radicaliser la communauté musulmane.

 

La première responsabilité n'est pas celle des Fondamentalistes Islamistes, mais du pouvoir, qui laisse s'étendre, sans rien faire, ce poison de la radicalisation. Pour quelles raisons obscures, idéologie ? Lâcheté ? Électoralisme ?, un mélange des trois ?

Responsabilité énorme aussi de nombreux politiques qui pour des raisons souvent bassement électoralistes pactisent avec des mouvements musulmans radicaux.

« LE POINT » vient de sortir une enquête explosive en citant des noms et des faits précis.

Enquête au titre sans ambiguité 

"ces politiques qui ont vendu leur âme"

 


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