L’islam radical est-il à long terme l’unique vrai danger pour la France ?
par moderatus
jeudi 25 août 2016
SI LE RADICALISME, DAECH, N’ÉTAIENT QUE DES LEURRES UTILISES PAR NOS DIRIGEANTS
Je vais prendre des risques, je vais prendre le contre-pied des merdias, des politiques, de l'idiovisuel, de tout ce que l'on nous raconte depuis des années : « le danger c'est les extrémismes et la radicalisation », une fois réglés ces problèmes, la tranquillité, le vivre ensemble, l'harmonie seront au rendez-vous.
On peut avoir une approche différente, si on se projette dans le long terme. Houellebecq lui l'a osé comme Zemmour, Rioufol, Onfray, les merdias les ont rendus muets.
En combattant Daech à l'extérieur, chez nous, en chassant 3 imams sulfureux, en interdisant le Burkini, et autre pratiques ? réglerons nous nos problèmes comme on veut nous le faire croire ? Je crains que ce soit FAUX !
J'ai l'impression que l'on nous vend du vent.
La radicalité en vérité est paradoxalement un frein à l'expansion de l'Islam en France.
Elle réveille les consciences, provoque des peurs, des inquiétudes car elle met en lumière un risque de conquête longue et silencieuse.
Je crois que les meilleures armes pour l'islam de France sont des armes pacifiques.
LE TEMPS ET LA DISCRÉTION
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notre dénatalité contre leur fécondité
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'Le ventre de leurs femmes' refusant la pilule et l'avortement
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Leur désir d'expansion et leur attachement exclusif à leur culture et à leur religion.
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La TAQIYA, technique de discrétion qui permet aux Musulmans d'adopter tant qu'ils sont en minorité ou en danger un profil religieux souple, en abandonnant même certaines de leurs pratiques, le Coran le permet.
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Notre naïveté maladive.
Nous, de renoncements en compromis, de compromis en compromissions, de compromissions en soumissions.
Nous, refusant tout réalisme, continuons une politique d'immigration folle, bradant sans contrepartie la nationalité Française à certains qui ne la demandent même pas (Cf. une loi récente passée sous silence conférant par décret aux Algériens vivant en France, nés en Algérie avant 1962 la nationalité Française) bien sur souvent pour de basses raisons électoralistes, mais avec au bout l'abandon de notre culture, de nos lois, de notre identité dont l'affirmation est considérée comme raciste, xénophobe contraire aux droits de l'homme.
La dictature de « pas d'amalgame, pas de stigmatisation, de pas de bouc émissaire, d'attention, Islamophobie » ont désarmé toute velléité de protection et de survie de nos valeurs et de défense de notre culture.
Il était pourtant juste, impérieux, salvateur d'exiger des immigrés que nous avons invité ou qui se sont invités chez nous pour partager notre quotidien, une condition sine qua non à leur venue.
'A ROME VIS COMME LES ROMAINS'
Les pans de ta culture ou de ta religion qui sont incompatibles avec nos lois, nos valeurs, notre culture il faut les oublier et les bannir de tes pratiques, sinon choisis un autre lieu de vie.
La nationalité Française ne te sera accordée que plus tard si tu as respecté ces règles.
Mais non, les doux rêveurs qui gouvernent en France et aussi dans de nombreux pays Européens ont décidé que le multiculturalisme serait la poudre de perlimpinpin qui devait apporter harmonie, concorde et bonheur.
Le gouffre entre les cultures et les religions ne leur a pas donné le vertige. Aujourd'hui on se retrouve donc avec des communautés qui ne se supportent pas, qui s'agressent et certaines qui veulent imposer leur culture, puisque notre résistance est ridicule faible. (Cf. logique du 'CAIDAT 'reconnue par le procureur de la République de Bastia dans l'affaire de la rixe de Sisco).
Regardez ce qui se passe aussi avec la communauté chinoises qui est victimes d'agressions répétées, mais on n'en parle pas beaucoup, supprimer les mots suppriment les maux.
L'immigration étant une richesse affirment nos dirigeants, ils acceptent et encouragent les migrations d’où qu'elles viennent, sans précautions, et sans discernement. Le gros de cette immigration étant Musulmane, suite à une politique migratoire découlant de la colonisation et de ces sacrés accords d'Evian respectés que par la France, et aussi vu le chaos que nous avons semé dans les pays Musulmans et que nous continuons d'entretenir.
Un exemple récent de l'inconscience de ceux qui nous gouvernent alternativement de gauche comme de droite, en 2011 Mayotte île de l'océan indien a été déclaré département Français. 250.000 habitants, 95% de Musulmans, avec des compromissions incroyables, une polygamie endémique, et la justice aux mains de juges Musulmans les 'Cadis'. En plus une vague migratoire comorienne, sauvage, énorme et non maîtrisée, bien sur, qui fait que cette île devient une poudrière, mais personne n'en parle ou ne s'en émeut.
Quel destin nous attend ?
Le nombre étant en démocratie le facteur décisif notre avenir semblerait tracé.
Les quartiers de non droits, c'est-à-dire ceux où nos lois ne sont plus appliquées en sont les prémices ainsi que les ballons d'essai que sont le port du voile ou de la Burqa, le rejet de la mixité dans les lieux de baignade et dans les établissements de soins.
On nous fait peur avec le bruit des bottes, pour éviter de nous méfier du silence des babouches.
Maintenant c'est un choix de société, certains acceptent cela sans crainte ni regret.
Dans la célèbre émission de Ruquier , « on est pas couché mais à à plat ventre ».
Moix répondait à Morano qui s'inquiétait de l'expansion de l'Islam :
''L'islam sera la religion majoritaire en France, c'est dans l'air du temps et c'est une bonne chose''.
Si comme les politiques, la majorité des Français souhaite cette évolution, ou l'acceptent comme inéluctable, ainsi soit-il, mais au moins que nos gouvernants arrêtent de prendre le peuple pour un ramassis de demeurés.
Mais en écrivant la fin de mon article, j'ai la surprise d'entendre des voix importantes qui rejoignent mes interrogations.
Dans les programmes en vue des élections, des voix qui il n'y a guère prônaient le multiculturalisme à tout crin, la réussite de l'intégration, la beauté du vivre ensemble ont changé de ton.
Mes propos ne sont plus aussi subversifs, il y a bien un problème. Mes interrogations sont reprises et par des ténors de la république.
Dans un entretien fleuve accordé à L’Express, le premier ministre VALLS aborde la question de l’islam en France pour lequel il prône pour demain « l’assimilation », rien que ça !
Ses propos :
« L’élection présidentielle va se jouer sur en autre la place de l’islam ».
« Nous devons bâtir un islam français, européen, occidentalisé, avec nos traditions et nos valeurs ».
On va peut être demander aux Musulmans de ne plus être tout à fait Musulmans ? Vous croyez que ça va peut marcher ?
Entre ceux qui veulent toujours plus de concessions à leur culte et à leurs culture, et nous qui voulons les limiter à nos traditions et nos valeurs, le vivre ensemble risque d'être tumultueux.
Ces propos de Valls confirment donc le constat que l'Islam présent depuis de nombreuses années chez nous, n'est pas en harmonie avec nos traditions et nos valeurs.
Aveu d'échec terrible pour lui et ses prédécesseurs et avenir préoccupant.
D'autres candidats à l'élection présidentielle, dont Sarkozy dans son livre programme, prônent l'arrêt du regroupement familial, arrêter le flot d'immigration afin d'intégrer ceux qui sont déjà là, ce qui suppose que l'intégration ne s'est pas faite, et que une immigration pléthorique est un frein à l'intégration.
Boudiou ! c'est une révolution des esprits.
Auraient-ils enfin compris que, dans l'intérêt général et celui des Musulmans eux-mêmes, il faut réduire le flux de migrants afin d'avoir une chance de les intégrer ?
Donc si on se risque à parler d'un problème posé par l'Islam en France, c'est aujourd'hui avéré et donc acceptable ?
Rien n'est moins sûr, mais le politiquement correct et le déni de réalité ont du plomb dans l'aile.