Le véritable danger n’est pas le terrorisme, mais l’islam radical !

par moderatus
vendredi 30 octobre 2020

 

L'arbre du terrorisme ne doit pas cacher la foret de l'islam radical. Le terrorisme n'est que l'écume des vagues, c'est difficile de dire cela après la barbare décapitation de notre professeur Samuel PATY, et après cet attentat, dans une de nos églises à Nice qui a causé la mort de 3 personnes dont celle de deux femmes, dont une aurait été décapitée. Ce terrorisme est la résultante en France d'un islam radical sur des cerveaux radicalisés et manipulables. Il est barbare, il frappe les esprits, mais il ne met pas en danger définitif notre identité ni l'avenir de notre nation.

Le danger radical, celui qui veut et peut tuer la France, au delà de ce terrorisme dont l'islamisme est le terreau, qui va commettre des actes atroces spectaculaires et enflammer quelques esprits, c'est le lent travail de termite de l'islam radical qui sape les bases de notre démocratie, qui envahit nos services et administrations, qui avec l’aide de certains de nos élus, avec leur complicité au moins passive abat la laïcité, notre culture, nos règles de vie, notre état de droit et notre identité.

C'est cet islam radical et non le terrorisme qui fera que la France ne sera plus demain la France.

 

 

Les experts islamistes du prosélytisme et de la contamination de notre société, ne sont pas pressés, ils savent que nous avons pour l'instant renoncé à les combattre véritablement.

A la limite, les actes terroristes, même s'ils peuvent susciter des vocations, les dérangent paradoxalement et ils peuvent sincèrement les condamner, car ils mettent à jour leur travail souterrain et freinent leur progression. Il font figure pour eux « d'empêcheurs de conspirer en rond »

 

Nous avons renoncé à combattre l'islamisme,

quand nous avons renoncé au génie français qui grâce à l'assimilation faisait des immigrés des Français de cœur,

quand nous avons fait de nos frontières des passoires,

quand nous avons établi le regroupement familial et quand nous sommes tombés dans la repentance compulsive, donnant de notre pays une image répulsive.

Comment faire aimer notre pays si on le de déteste nous mêmes.

Quand on se qualifie par je ne sais quelle motivation auto destructrice, d'être un pays de criminels contre l'humanité , un pays sans culture, un pays sans arts.

Quand on laisse des minorités destructrices nous accuser de racisme systémique et de post colonialisme.

Comment en ayant comme doctrine absurde d'augmenter depuis des décennies sans aucun contrôle une population venant de pays aux cultes et aux cultures se situant à des années lumières des nôtres, espérer ne serait-ce qu'une intégration minimum. Impossible !

Notre erreur n'a-t-elle pas été aussi d'accepter et de favoriser une immigration musulmane trop importante, compte tenu des difficultés d'adaptation de certains pratiquants de l'islam aux règles de la république et à la laïcité.

Quand nous voyons les réactions unanimes du monde musulman vis à vis de notre liberté d'expression, notre droit à la caricature et au blasphème, on peut craindre sans se tromper qu'elles aient des influences sur les populations françaises issues de ces pays.

Les derniers sondages réalisés sont alarmistes.

Hassan II roi du Maroc parlait il y a 20 ans comme Zemmour aujourd'hui.

 

Hélas, notre pays va se fracasser sur l' iceberg des communautarismes, celui de la haine de certains Français issus de l'immigration envers le pays d'accueil et celui de certains politiques devenus islamo compatibles. Pour nombre d'observateurs, la guerre civile est une conséquence probable.

Mais si le diagnostic est maintenant fait par le pouvoir, les mesures sont ridicules et insignifiantes par rapport à l'enjeu. Le mot principal facteur de nos maux n'a même pas été prononcé.

 

Immigration !

 

Comment guérir nos maux si l'on a peur des mots.

Nous renonçons à combattre l'islamisme quand nous n’adaptons pas notre état de droit à la situation de guerre que nous subissons. A situation d’exception, il faut un état de droit adapté. La constitution nous y autorise, elle qui a même prévu un Article 16 quand la situation l'oblige.

 

Alors réduisons de façon drastique cette immigration. Si on se refuse à la contrôler afin de concentrer nos efforts d'intégration sur les immigrés et descendants d'immigrés qui sont déjà sur notre sol, et qui pour certains refusent les lois de la république au profit des lois religieuses, si on ne s'attache pas à faire éclater cette ghettoïsation, pour essayer de réparer les déchirures intérieures, si on ne chasse pas de notre territoire tous ces prêcheurs de haine et hors la loi qui se réfugient dans ces quartiers difficiles, alors inexorablement la libanisation de notre pays se produira.

Une immigration pléthorique et incontrôlée constitue un authentique cheval de Troie pour des islamistes désireux d'implanter leur idéologie.

 


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