Notre école est devenue la cible privilégiée des islamistes
par moderatus
mercredi 17 février 2021
L'étude récente faite par l'Institut Jaurès est sans appel, elle confirme toutes les études précédentes qui vont dans le même sens. Elle a réalisé, avec l'IFOP, un dispositif d’enquête ambitieux, appelé « Observatoire des enseignants » sous l’égide de Yannis Roder, professeur d’histoire-géographie dans le secondaire et directeur de l’Observatoire de l’éducation de la Fondation Jean-Jaurès, en lien avec Jérôme Fourquet et François Kraus.
L'islamisme n'est plus seulement dans le séparatisme qui est déjà une réalité dans certains quartiers mais dans la conquête.
En visant les écoles, l'islam radical s'implante dans les cerveaux les plus malléables et prépare ses troupes radicales pour demain.
Le bilan de cette étude est alarmant mais ce n'est que la réalité, et
« La réalité c'est ce qui refuse de disparaître même quand on cesse d'y croire et qu'on la nie »
L’assassinat du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty le 16 octobre 2020 par un terroriste islamiste à Conflans-Sainte-Honorine a remis en lumière de façon macabre la réalité que vit une partie des enseignants de France depuis plusieurs années maintenant, faite de violence, d’autocensure, de situations de conflit dans les classes liées à l’enseignement de certaines matières ou le traitement de certains sujets, ou encore de manque de reconnaissance ou de manque de soutien pour le travail accompli.
« Une des informations de cette première partie d’enquête qui nous apparaît également importante tient au fait que tous les territoires semblent aujourd’hui concernés par ces formes de contestation : écoles, collèges et lycées, territoires urbains et ruraux, et ce quelle que soit la région.
Sur une très large majorité de sujets, les professeurs exerçant dans les banlieues populaires rencontrent de plus en plus de difficultés »
Les chiffres :
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49 % des enseignants interrogés affirment s’être déjà autocensurés dans leur enseignement des questions religieuses durant leur carrière afin de ne pas provoquer de possibles incidents dans leur classe, soit 13 points supplémentaires depuis 2018.
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80% des enseignants ont été confrontés à des revendications liées à des croyances ou des pratiques religieuses.
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59% ont observé des formes de séparatisme religieux (cantines scolaires, absence des filles en cours d'éducation physique et certificats de complaisance pour ne pas aller à la piscine,de demandes à ce qu’aucune viande ne soit servie avec les légumes dans les assiettes d’élèves (35 %) ou encore de refus d’entrer dans des lieux à caractère religieux (type église) lors de sorties scolaires (28 %).Devant la,multiplicité des problèmes, devant le manque de soutien de la hiérarchie dont le mot d'ordre est « Pas de vagues » , devant le laxisme du pouvoir, les enseignants s'auto censurent.
On ne parle même pas des insultes, menaces et agressions que les professeurs subissent au quotidien de la part d'élèves et de parents d'élèves.
Il faut absolument sauver l'école de cette emprise mortifère afin qu'elle redevienne un sanctuaire le ciment de notre vivre ensemble, et le ferment d'une seule communauté, la communauté Française.
Pour se faire, pour lutter contre le communautarisme, le séparatisme, et l'islamisme qui en est le promoteur, une seule solution semble possible, parce qu'elle a déjà fait ses preuves.
l'ASSIMILATION.
Pour les immigrés, ceux qui arrivent ou ceux qui sont déjà là, et certains depuis longtemps, il y a trois comportements différents.
-Une attitude conflictuelle qui consiste à vouloir imposer au pays d'accueil les règles culturelles ou cultuelles du pays d'où l'on vient, ou d'où sont venus leurs parents.
C'est au pays d'accueil de s’adapter, non à l'immigré.
-Une attitude plus souple, qui consiste à se soumettre en apparence aux lois de la république, mais tout en cherchant à contourner ces lois ou à négocier leur souplesse. On continue à maintenir ses traditions au sein d'une diaspora. Un communautarise bancal, une intégration en demi teinte.
-Ou alors ce qui se pratiquait il n'y a guère, l'assimilation. Devenir un membre de la communauté que l'on a rejoint. On adopte son histoire, ses mœurs, un respect scrupuleux des valeurs, des rites et des usages de cette société, quitte à supprimer de son bagage culturel et cultuel ce qui est en contradiction avec les lois et les mœurs de ce pays. ''A Rome fais comme les romains'' dit-on !
Aznavour disait
« Je suis devenu français d'abord dans ma tête, dans mon cœur, dans ma manière d'être, dans ma langue, c'est à dire que j'ai abandonné une partie de mon Arménité pour être français. Il faut le faire ou partir »
J'ajouterai il faut le faire « ou ne pas venir »
Le rôle des parents dans cette trajectoire d'assimilation est et a été essentielle.
La tradition Française contrairement aux systèmes anglo-saxons. est assimilationniste, non communautariste.
Pour réussir à assimiler de nouveau, il faudra réduire considérablement la voilure de l'immigration afin de concentrer nos efforts sur ceux qui sont déjà là et chasser de chez nous cette cinquième colonne islamiste. On ne peut continuer à regarder et constater sans agir comme on le fait depuis 30 ans.
Einstein disait
« le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. »
c'est l'attitude de ceux qui se refusent à voir et à combattre l'islamisme. Par idéologie, par aveuglement, ou par calcul électoral.
Il faudra aussi arrêter la repentance compulsive, et redonner à nos concitoyens le respect et l'amour de notre nation.
Il faut de la volonté, du courage et l'amour de la France de la part de ceux qui voudront mettre en place les mesures nécessaires et au long cours. Pour faire aimer la France, il faut d'abord l'aimer soi même, c'est une évidence, qui échappe à certains politiques.