Que les couples sans enfants lèvent le doigt

par Réflexions du Miroir
samedi 13 novembre 2021

"Avoir un enfant est une question de choix"....

Oui, mais...

"On ne naît pas parent, on le devient... ou pas" lisais-je dans un article.

Sujet qui pourrait être une suite par un lien plus ou moins ténu aux billets "Sorcières, tremblez, elles sont de retour" et "Confiance en l'argent dans le temps et dans l'espace ?".

Le voici comme entrée au plat de résistance... 

Bon appétit et je sens que s'il a été préparé aux petits oignons que les retours de flammes seront constitués de sucre, de sel et de poivre...

"On a trop tendance à penser que regretter d'avoir mis au monde un être humain ne peut exister. Pourtant le livre "Le Regret d'être mère" et les nombreux témoignages de parents anonymes publiés sur la Toile, prouvent le contraire tout comme un sondage en 2012, confirmait que 13% des parents regrettaient leur choix.

On a toujours martelé que l'instinct maternel est plus fort que tout, que m'horloge biologique est le lot de toutes les personnes dotées d'un utérus, mais aussi donner la vie biologiquement est le seul et unique acte qui confirment la valeur perçue comme femmes Autant de croyances qui tendent à rendre persistance l'idée selon laquelle une femme serait faite pour être mère, qu'elle aurait d'emblée les clés pour prendre soin d'un enfant et qu'elle n'aurait donc pas besoin de préparation particulière puisqu'elle aurait cela "dans le sang". 

Certaines femmes militent activement pour la responsabilisation de la parentalité en faveur d'un vrai parcours qui à toutes les personnes de se demander réellement, si elles ont envie d'avoir un enfant.

En 2021, la famille, les amis, les collègues et la société encouragent à embrasser corps et âme le modèle de famille nucléaire composé de papa, de maman et, idéalement, deux enfants souvent de sexes différents. A tel point qu'on ne se pose pas assez la question, qu'on ne se demande jamais vraiment si on en a réellement envie.

A l'inverse les personnes qui désirent ne pas être parents, doivent généralement répondre à un "pourquoi" inquisiteur, souvent accompagné d'un "tu changeras d'avis", "tu es encore jeune", "tu vas finir ta vie seule", "pense à celles qui ne peuvent pas en avoir", "mais toutes les femmes veulent des enfants, enfin".

Des questions et réponses rarement bienveillantes s'en suivent, avec des remarques condescendantes et désobligeantes.

"Pourquoi en veulent-ils d'ailleurs ?" serait la question adéquate mais qui, ne reçoit pas de réponse et fâche le manque de réflexion sur le sujet.   

La conclusion est toute trouvée "c'est normal" alors que les bébés convenances créent des "bébés erreurs".

La famille n'est pas innée et n'est qu'un modèle construit socialement qui répond à des besoins économiques et politiques.

Avoir un enfant n'est pas le seul moyen de réussir sa vie. 
Il est temps de réfléchir au statut de mère, sérieusement.

D'un côté, on encense la parentalité, on considère qu'une femme n'est pas complète tant qu'elle n'est pas mère et on rabaisse les femmes qui décident de ne pas le devenir en disant que leur ultime salut est d'enfanter. 

De l'autre, une femme sait qu'avoir un enfant, c'est se voir refuser des promotions, être mis au placard parce qu'une femme doit être auprès de ses enfants le soir. alors que c'est souvent se précariser.

En Belgique, 47,5% des femmes salariées le sont à temps partiel et, parmi elles, 24% ont dû adapter leur travail pour garder leurs enfants.

A l'inverse, 11% des salariés hommes ne travaillent pas à plein temps.

Perte d'identité aux yeux de la société d'être une mère seulement qui doit se sacrifier pour les enfants pour être perçue comme une bonne mère.

Les femmes qui témoignent, ne regrettent pas leurs enfants, mais regrettent ce qu'implique sociétalement, professionnellement ou personnellement le statut de mère de famille.

Il est impératif d'écouter ce discours pour offrir une meilleure considération des femmes qui éduquent gratuitement les adultes de demain, sans aucune rétribution. 

La parentalité doit être réfléchie, pour devenir, enfin, un vrai choix".

La littérature et les réseaux sociaux ne sont pas en reste à ce sujet.  

Le blog de "Childfree", un livre "Sans honte" et un compte Instagram "Je ne veux pas d'enfant" de Bettina Zourli compte plus de 27.000 abonnés en abordant les thèmes liés aux droits des femmes et la déconstruction du patriarcat, de l'envoi de nudes à la précarité menstruelle".

Le livre de Corine Maier "No Kid : quarante raisons de ne pas avoir d'enfant" avec humour, acidité et provocation, ajoute une autre couche en disant qu'il s'attaque à l'un des tabous les plus intouchables de notre société l'enfant. Mais ce livre est destiné surtout aux parents et pas à aux couples qui doivent prendre la décision de prendre un enfant dans le couple.

27% de la population s'identifie comme "childfree". 

La part de couples sans enfants augmente

La crise sanitaire et le confinement ont fait chuter la fécondité fin 2020 et début 2021.

La fécondité est plutôt stable depuis 40 ans, mais alors que les années 1990 et 2000 avaient été marquées par une remontée des naissances, la tendance est à la baisse depuis 2010.

Il y a bien sûr, la fille-mère, la mère célibataire qui n'a pas de mari ou qui n'a plus de mari pour des raisons de divorce ou d'abandon de la paternité. Le terme est donc aussi péjoratif que désuet. 

La femme mariée qui se retrouve seule avec des enfants sur les bras, après une rupture, intensifie les problèmes d'organisation de la maison. 

Les "accidents" de rencontres ou de "parcours " sans mariage, avec les grossesses non désirées qui en reviennent, ne sont pas non plus des exceptions. 

Enfant, j'ai fait partie d'une suite au divorce. Donc je connais, le problème.

"Mes papas viennent de Mars, mes mamans de Vénus et moi de Pluton" est un billet qui en parle avec un peu d'humour qui n'a pas été totalement en ligne avec son contenu. Il y a beaucoup de manières d'en sortir ou de rester dans l'inconfort.

Mais je n'ai pas vécu cette mutation d'un côté à l'autre des membres du couple. 

Mon autobiographie "L'envie dans le regard" n'est qu'un des multiples aspects de résolution au problème "enfant présent".

Ma mère m'a dit tout de go que "si la pilule avait existé à son époque, je ne serais pas là".

J'ai pardonné à ma mère de ne pas s'être occupée de moi. A l'âge de 20 ans, elle avait vécu les années de la 2ème guerre mondiale et quand celle-ci est terminée, elle a voulu s'amuser et pas avoir un pouchinel dans le tiroir avec les responsabilités accompagnatrices.

Mon cas, n'est qu'un exemple parmi d'autres.

Entre 20 et 25 ans, on n'apprend pas à être parent. On le subit parfois dans la joie, parfois avec remords. 

Pour avoir ce que j'ai écrit dans le billet "L'esprit de famille", il faut en avoir eu une bien définie et bien construite. 

Avant de lancer le débat est presque ouvert, en 2014, un Café serré de Thomas Gunzig ouvrait le bal des gens biens ou biens (podcast).

Il remettait cela cette semaine dans une de ses plumes (podcast).

On est toujours emprunt de sensibilité ou de réelle fermeté de prises d'opinion et de décisions, mais c'est toujours sur une planche savonnée qui est penchée dans le mauvais côté. 

Si les êtres vivants dans la nature poussent à procréer, le mariage religieux pousse les nouveaux couples à avoir des enfants avec les mots "Multipliez-vous" sans assumer ce qu'ils proposent à ses ouailles.

Sans aide de personne, je me suis construit à la seule force de mon cerveau et de ma sensibilité avec l'humour en prime. Pas d'enfant, pas de crainte de laisser derrière moi, le risque d'un futur désenchanté et sans saveur pour ceux qui suivent.

Souvent, on fait assimiler des connaissances aux jeunes pour obtenir le diplôme comme carte de visite qu'ils n'auront parfois jamais plus à utiliser que pendant un temps cours. 

On me souffle les paroles : "Il existe un mouvement féministe qui dit que faire un enfant peut être assimilé à un meurtre écocide. Les femmes se réveillent... Facebook a vu arriver de nombreuses pages réservées aux femmes sans enfant, où elles ne se taisent pas ou plus. Le plus gros groupe anglophone s'appelle “No kids, no problems” et le plus connu en France, “Je n'ai pas d'enfant, et alors ?” a été lancé par un couple antinataliste belge et rigolo. Les belges sont à nouveau dans le coup"

Ne pas avoir d'enfant, c'est vivre pour soi sans égoïsme pour autant.

Cela ne veut pas dire qu'on n'aime pas les enfants des autres et qu'il ne faut plus en avoir.

Un film de fiction qui suit, montre le problème de ne plus avoir de progéniture. 

Avoir des enfants, c'est souvent espérer avoir un bâton de vieillesse pour les parents. Le problème est qu'ils n'auront peut-être aucun contact autre que celui qui se présente sur écran avec des enfants partis à l'autre côté du monde.

Il est certain que le sujet de ne pas avoir d'enfant, est relié à l'article sur "Les Sorcières ont bon dos", mais le livre parle exclusivement des sorcières modernes.  

Il y a un chapitre entier avec le titre "Le désir de la stérilité ? Pas d'enfant une possibilité" dans le livre "Sorcière" de Mona Chollet. 

Trois titres de sous-chapitres sont "Un élan vers d'autres possibilités", "Alchimie subtile du non-désir d'enfant", "Le dernier bastion de la nature".

La vie professionnelle n'est plus réservée qu'aux hommes.

A 50 ans, avec un bonne assise, elles peuvent devenir des cougars.

Avant 1348, l'Eglise était indifférente à la natalité et poussait même à l'abstinence puisque la chaire était tellement "faible" qu'il fallait la préservée contre la femme. Suite à la période de la grande peste, à la fin du 16ème siècle, c'est un revirement complet.

Jean Bénédicti est un nataliste sans frein.

Au 19ème siècle, les natalistes ont un objectif de protection de la race, de la paix sociale, de l'intérêt national en contrant l'immigration qui est un danger pour l'identité et le pouvoir même si cela va à l'encontre de l'humanité.

De plus, il faut des soldats pour la guerre.

Le nationalisme s'installait dans les esprits pendant les siècles suivants.

En France, 4,3% de femmes et 6,3% d'hommes ne veulent pas d'enfants. Un record européen avec l'Irlande pour désirer l'infécondité définitive.  

En 2013, on avait atteint un plancher en remontée à 18% dès 2018 quand l'effet de la crise finance s'était amoindrie.

La précarité, les raisons économiques, les pressions sociales sont les raisons principales à 90% contre 10% de propagande familiale subjective. 

J'ai écrit : "Aujourd'hui, le Covid et les problèmes liés au climat vont dans le même sens du rationnement, de la rationalisation d'éléments qu'on ne voulait pas voir."

 

On ne nait pas parent, on le devient souvent pour faire comme tout le monde. 

Combien de couples ne se disloquent pas à cause des enfants ?

Bébés, ce sont les petits ennuis de perturbation de sommeil des parents qui touchent les couples.

Plus grand, à l'adolescence se sont les conflits ente générations qui sortent.

Les parents tentent de vivre leur vie en laissant leurs enfants à la charge de leurs propres parents. Avec humour, cela devient l'histoire des grands-parents relatée dans "Les voyages forment la jeunesse et le jeûne".

Jean Yanne écrivait "Il faut des enfants quand on est vieux, parce qu'on les emmerde pas longtemps".

Oui, mais la période des emmerdes s'allonge bien plus sur plusieurs générations.

Il ne faut pas oublier que c'est la femme qui le porte en son ventre et en subit le plus d'inconvénients, le bébé jusqu'à la naissance.

 Si l'on exclut en 1973, le film amusant : "L'Événement le plus important depuis que l'homme a marché sur la Lune". 

J'ai trouvé quelques articles qui en parlent sans trouver de statistiques pour évaluer l'évolution dans les relations de couples avec ou sans enfants.

Les enfants au cœur des séparations du couple conjugal | Cairn.info

Couple : désaccord au sujet de l'éducation, que faire. (coolparentsmakehappykids.com)

Les enfants sont au milieu d'un jeu de quilles en créant la zizanie dans le couple dont ils ne comprennent pas les ressorts et qui posent des questions sans réponses jusqu'à l'arrivée à l'âge adulte.

Des souvenirs me sont revenus en mémoire comme cet article "Mes papas viennent de Mars, mes mamans de Vénus et moi de Pluton" dans laquelle j'écris une lettre à Stéphanie, l'héroïne malgré elle d'une séparation chantée par Michel Delpech.

L'attachement des femmes pour leurs enfants crée des compétitions dans leur couple.

Une compétition entre la mère et la fille entraînant la jalousie, a été le sujet du livre de Amélie Nothomb dans "Frappe-toi le cœur".

Cette jalousie devient exacerbée quand le père préfère sortir au bras de sa fille au détriment de son épouse un peu défraichie par l'âge.

L'homme a parfois la réputation d'avoir le cerveau entre les jambes. Mais depuis #MeToo, cette réputation de cavaleur s'est transposée progressivement chez la femme même si elles crient au scandale du viol.

La croissance ou la décroissance, des options à la mode.

Comment éviter la croissance quand la population augmente exponentiellement ?

 

Anecdotes :

1. Récemment, mon épouse et moi, sans enfants, pensaient acheter en cadeau, des habits pour des nouveau-nés.

Les tailles à prévoir, les couleurs à choisir en fonction du sexe de l'enfant.

Tout entrait en ligne de compte.

Une fois, aidée par une vendeuse, nous voici à la caisse.

La caissière trouvait que ce que nous achetions était tellement mignon au moment de l'emballer.

- C'est pour votre petit-fils, demanda-t-elle.

- Non, nous n'avons pas eu d'enfants et donc pas de petits-enfants. C'est pour offrir.

- Dommage. C'est si mignon. 

- Oui mais pourquoi dommage ? Vous n'êtes pas sans savoir que beaucoup de couples se déchirent après quelques années (une moyenne de sept ans, parait-il) et ce sont les enfants qui pâtissent du divorce. Ils se retrouvent entre deux feux. Nous sommes mariés depuis près de cinquante ans et nous le sommes toujours.

Je n'ai assisté qu'au début de la conversation. Je ne connais pas la réponse qu'a faite la caissière. Elle ne m'a pas été rapportée par mon épouse. Je l'ai remerciée pour cela.

2. En Belgique, les plus petits vont à la rencontre de Saint Nicolas dans les grandes surfaces, accompagnés de leurs parents. Cette année, il n'en est plus question. Il faudra prendre rendez-vous. Plus de file d'attente pour le rencontrer. Plus de prises de ces petits enfants sur les genoux de Saint Nicolas. Tout évolue au rythme du Covid. 

 

Philosophie

Dernièrement, j'écrivais "Quand il n'y a plus d'adéquation entre les moyens et sa politique, cela finit toujours par coincer et nuire aux belles idées philosophiques établies par la logique et l'expérience. Je compense une espèce de perte de confiance grâce à la philosophie, à l'éclectisme et à l'humour".

On en arrive à la partie de la philosophie de Malthus qui date du début du 19ème siècle qui prêche par sa doctrine politique prônant la restriction démographique .

À l'origine doctrine hostile à l'accroissement de la population d'un territoire ou d'un État et préconisant la restriction volontaire de la natalité, le mot « malthusianisme » désigne aussi par extension toute attitude réservée devant la vie et le développement.

Le paradigme du numérique dans lequel l'homme s'est engouffré sans pouvoir assumer les conséquences de ce qu'il a entrepris, est un nouveau risque d'explosion.

On ne consolide plus rien. L'avance en avant dans le développement est devenue tellement importante que le temps de soupeser les résultats d'un développement dans le temps imparti, est devenu incontrôlable. 

En chimie, on dirait que l'homme est comme un gaz parfait qui prend tout l'espace qu'on lui donne même s'il ne sait qu'en faire pour l'exploiter au mieux.

Au 18ème siècle, au temps de Malthus, ne comptait qu'un milliard d'habitants en 1800. La population mondiale a été multipliée par sept et demi en 2017 en franchissant le seuil de 7 milliards et demi.

L'excédent des naissances, trois fois plus nombreuses que les décès, augmente la population mondiale. Cet excédent apparaît il y a deux siècles en Europe et en Amérique du Nord lorsque la mortalité commence à baisser dans ces régions, marquant les débuts de ce que les scientifiques appellent la transition démographique. Il s'étend ensuite au reste de la planète, lorsque les avancées de l'hygiène et de la médecine et les progrès socio-économiques atteignent les autres continents. Dans les prochaines décennies, il est dit que la diminution de la fécondité est en baisse, mais cela fait tout de même 2,5 enfants en moyenne par femme aujourd'hui dans le monde, contre le double en 1950.

Penser pouvoir agir sur le nombre des hommes à court terme est illusoire. L'obtenir par une hausse de la mortalité ? Par une émigration massive vers la planète Mars ? Par une baisse drastique de la fécondité et son maintien à un niveau très inférieur au seuil de remplacement (2,1 enfants) pendant longtemps. Cela se passe dans une grande partie du monde, les hommes ayant fait le choix d'avoir peu d'enfants tout en leur assurant une vie longue et de qualité.

En Occident, des allocations familiales sont, à charge de la communauté, octroyées en fonction du nombre d'enfants pour supporter et/ou encourager les naissances. Plus elles deviennent nombreuses, plus elles ont besoin d'espace en nombre de chambres.

L'adoption, par contre, ne crée pas cette augmentation de population. Elle évite les malheurs des enfants laissés pour compte à autrui. 

Pour raccrocher ces idées à l'article de la semaine précédente, il faut que subsiste une légère inflation. À un niveau modéré, elle est associée à plusieurs avantages pour permettre aux entreprises d'ancrer leurs anticipations de hausses des prix à moyen et long terme et contenir la production à des niveaux acceptables en tenant compte de la détérioration des objets par le temps.

Tant que la croissance reste soutenue comme le disent actuellement les économistes, pas de problème dans l'immédiat. Les hommes meurent comme les objets et, en espérant un mieux, renaissent sous d'autres formes de sagesse.  

Dans le monde du vivant non humain, la régulation des naissances se réalise presque automatiquement. Toutes les portées nombreuses n'arrivent pas à l'âge adulte. Elles sont décimées par des prédateurs ou par la faiblesse des parents à nourrir toute la portée. Les animaux les plus âgés, meneurs de troupeaux pendant leur force de vie, s'effacent à la moindre faiblesse devant un plus jeune compétiteur qui veut prendre la relève.

Tellement de choses à dire sur ce sujet délicat.

 L'autiste Asperger, Josef Scovanec a écrit le "Bonheur d'être différent". 

Il avait peut-être d'excellentes raisons de l'être.

Avoir des enfants, un choix, une option ou une acceptation concertée ? 

 

Allusion

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