Remigration volontaire par HIJRA et remigration forcée

par moderatus
jeudi 12 novembre 2020

 

Le terme remigration est un néologisme pour désigner le retour forcé ou non des immigrés non Européens dans leurs pays d'origine.

Quelles seraient les raisons et les modalités de cette remigration ?

 

Le flot migratoire qui s'écoule chez nous depuis des décennies venant du Maghreb et de l'Afrique, nous a frappés d'un cancer islamiste qui étend ses métastases partout dans le pays et dans toutes nos institutions.

 

Il faut arriver à corriger corriger dans le calme, le temps et les règles démocratiques, les erreurs de 40 ans, d'une immigration incontrôlée pléthorique, qui a conduit à une impossibilité d'intégration, à la création de communautés de plus en plus exigeantes et sécessionnistes qui conduisent notre pays à la libanisation et au chaos.

Le nombre et les diversités ethnoculturelles et cultuelles sont la cause de cette situation.

Le projet est radical mais au pays de Mila, du professeur Samuel et des 120 attaques au couteau par jour, quelles sont les alternatives ?

 

Remigration volontaire ou HIJRA

il est vrai que ces lois vont toucher en priorité les musulmans qui sont la  communauté immigrée la plus nombreuse en France. Alors on parle d'islam modéré qui est un fantasme français, depuis des décennies. On veut un islam modéré de France, une sorte de religion sur-mesure.

Erreur, on ne peut parler de religions modérées c'est presque un oxymore, par contre on peut parler de musulmans modérés.

Mais il faut se rendre à l'évidence, personne n'a le droit de toucher au Coran pas plus qu'à la Bible pas plus qu'à la Thora, pas une ligne pas un mot, ce n'est ni en notre pouvoir ni une démarche acceptable. En plus, difficulté supplémentaire, on est confrontés en l'absence d'un chef élu de la religion musulmane susceptible de réformer les prescriptions qui sembleraient à certains obsolètes ou inadaptées à notre époque.

 

Par contre on peut et l'on doit demander à tout immigré ancien ou récent, d'où qu'il vienne, d’adapter ses pratiques cultuelles et culturelles aux règles lois et valeurs du pays d'accueil, donc de renoncer à la partie culturelle et culturelle qui est en contradiction avec notre état de droit et empêche le vivre et le construire ensemble. L'islam est plus qu'une religion c'est aussi un projet politique.

 

Il est bien entendu que si certains immigrés veulent vivre leur religion et pratiquer leurs coutumes de manière intégrale et en contradiction avec les modalités du pays d'accueil alors il faut qu’ils pratiquent la HIJRA, c'est à dire l 'émigration vers des pays qui eux sont compatibles avec leurs pratiques culturelles et cultuelles. Ils n'ont pas leur place en France.

 

Mais pour que cette HIJRA qui se pratique déjà, et des fois à l’intérieur du pays où certains salafistes se retirent dans des contrées reculées en campagne et vivent en communauté en marge de certaines lois, soit une réalité efficace, il faut stopper tout compromis et toutes compromissions qui permettent à ceux qui prétendent vivre un islam radical car authentique, chez nous de le faire impunément en contradiction avec notre démocratie, nos lois, nos valeurs.

 

Remigration forcée.

Après réduction du flot migratoire au goutte à goutte,

il faudra mettre fin au droit du sol, au regroupement familial, à la double nationalité pour consolider la réforme.

Pour réduire le nombre d'individus vivant sur notre sol, causant des problèmes, il faudra : expulser tous les sans papiers, les déboutés du droit d'asile, les fichiers S étrangers convaincus de radicalisation, les binationaux déchus de la nationalité française.

 

Vider nos prisons des 20.000 étrangers qui rendent les conditions d'incarcération inacceptables et inhumaines, en révisant sans faiblesse et rapidement, les conventions d’extradition.

Les radicalisés de nationalité française, devront être inculpés d’intelligence avec l'ennemi et subir les peines prévues dans ce cas.

Il faudra aussi prévoir la déchéance de nationalité pour les binationaux coupables de délits graves.

La volonté du peuple de France est claire.

89% des Français sont favorables à l’expulsion des fichés S radicalisés et d'accord pour la déchéance de nationalité et l'expulsion pour acte grave.

Va-t-on enfin écouter le peuple ?

Expulsion bien sûr pour tous ceux qui prêchent ou militent pour une religion prioritaire par rapport aux lois de la république.

« Dura lex sed lex. »

 

Seules de telles mesures seraient susceptibles de freiner la progression islamique qui peut conduire à la violence et parfois au terrorisme. On ne peut plus continuer à voir la moitié des jeunes musulmans sous influence salafiste, préférer la charia à notre démocratie.

 

Seules de telles mesures seraient susceptibles de renverser la vapeur, permettraient de s'occuper vraiment de cette jeunesse des quartiers difficiles en y concentrant tous les moyens et toutes nos forces.

On ne pourra jamais régler les problèmes des banlieues et offrir à la jeunesse de ces quartiers la possibilité d'un avenir meilleur et celle de se réconcilier avec leur pays, si l'on continue à laisser une immigration pléthorique et clandestine envahir ces territoires, et rendre par le nombre la solution impossible.

Ni notre économie, ni notre police, ni notre école, ne sont en mesure de supporter les conditions des pressions migratoires actuelles.

 

Mais hélas, à la question simple, « Ces mesures seront elles adoptées ? » La réponse est NON, pas sous ce quinquennat et pas avec un pouvoir qui nous accuse de crime contre l'humanité et avec un ministre qui est allé en Algérie se recueillir sur les tombes des ''martyrs du FLN''. On est là dans la repentance et la soumission compulsives et non dans l'action.

Il est évident que pour réussir dans cette entreprise, il faudra être convaincu de son bien fondé au niveau du sommet de l'état et en convaincre les tenants de certains courants politiques qui souvent pour de basses raisons électoralistes ont une autre vision du problème !

 


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