« Vos enfants ne sont pas vos enfants » : le dossier officiel de la fabrication du consentement en Allemagne

par MilleFeuille
jeudi 24 novembre 2011

Aux prises avec des décisions de justice non signées par les Juges, avec des avocats qu’il est impossible de remercier, même s’ils ne font pas leur travail, avec des expertises mensongères, qu’il est très compliqué de réfuter, le parent étranger d’un couple mixte en instance de divorce en Allemagne a la surprise de voir se dessiner peu à peu les mécanismes d’un modèle de propagande permettant de faire accepter les situations les plus absurdes à l’entourage et aux organismes en charge de l’enfance. Pour finalement être complètement écarté.

Noam Chomsky(1) décrivait en 1988 dans son livre : « La fabrication du consentement, de la propagande médiatique en démocratie » « un « modèle de propagande », véritable outil d’analyse et de compréhension de la manière dont fonctionnent les médias dominants. Ils font la lumière sur la tendance lourde à ne travailler que dans le cadre de limites définies et à relayer, pour l’essentiel, les informations fournies par les élites économiques et politiques, les amenant ainsi à participer plus ou moins consciemment à la mise en place d’une propagande idéologique destinée à servir les intérêts des mêmes élites ».

Même si heureusement des articles, des reportages paraissent ici et là sur les séparations choquantes imposées à des parents aimants, avec toutes les souffrances inutiles qu’elles engendrent, compromettant le bon développement psychologique de l’enfant, en Allemagne les spin docteurs ne rencontrent pas beaucoup de résistance quand ils imposent leur vision déformée et nationaliste de l’intérêt supérieur de l’enfant. Certaines personnes se sont-elles rendus compte du problème ? le 24 mars 2010 le philosophe et linguiste Noam Chomsky recevait le prix Erich Fromm à Stuttgart pour « savoir parler le langage de la raison, qui est à même d’interpeller la conscience des puissants et de ceux qui font l’opinion, rendant espoir aux gens sans pouvoir et aux esprits critiques » selon le Jury du prix.

La propagande a toujours existé, surtout en temps de guerre réelle ou froide, l’Allemagne en a peut-être été la cible après la défaite, devenant à son tour victime et ainsi de suite. Fabrice Virgili, historien relate dans son livre « Naître Ennemi »(2) la bataille démographique menée par la France, mettant en place toute une logistique pour ramener les Bébés français nés de soldats ou travailleurs français ou même de femmes françaises parties travailler en Allemagne pendant la seconde guerre mondiale, l’estimation se situait aux alentours de 200 000 bébés. L’auteur cite le Général Koenig, Commandant en chef français en Allemagne dans son rapport du 10 mars 1946 sur « le problème démographique allemand » qui évoque aussi le projet de « développement d’une propagande anticonceptionnelle en Allemagne » pour réduire le nombre de naissances, mais qui aurait été abandonnée. La recherche et le transfert des enfants français menés en parallèle n’ont pas été simples non plus, les procédures souvent longues, car déjà les familles allemandes cachaient les enfants et niaient leur origine.

Actuellement, la propagande ne passe pas toujours par les médias et en s’adressant directement aux interlocuteurs est au cœur des décisions en Allemagne.

Stuttgart, 15 novembre 2011 – le froid est mordant, quand en fin de matinée je vais chercher notre diablotin à la garderie du Jugendamt, où les éducatrices sont les parfaits récepteurs et relais de cette propagande, habiles aussi à alimenter les disputes dans les couples. _Depuis plus de 2 mois, notre fils pourrait aller à l’école maternelle franco-allemande mais je n’arrive pas à obtenir la signature de son Papa, qu’il nous faut, car nous avons l’autorité parentale conjointe, même si lui se passe de mon accord pour l’amener à l’autre garderie. En attendant je bataille, le temps libre est occupé par l’envoi de courriers et les prises de contacts, alors qu’il y a aussi la pression d’un déménagement à préparer et même d’un logement à trouver. Contrainte de reporter un entretien d’embauche, l’opportunité m’échappe finalement dans le chao des démarches._ En sortant j’attrape le courrier dans la boîte aux lettres, c’est une enveloppe du Tribunal familial, qui n’a pas traîné cette fois, j’ai déposé ma requête vendredi 11 et j’ai déjà la décision en date du lundi 14. Là où ma première demande de quitter le territoire allemand pour rentrer en France avec l’enfant avait nécessité 7 mois avant de s’enliser devant la réponse vaguement menaçante de la Juge : « si je persiste à vouloir partir avec l’enfant, l’intégralité du droit de garde sera transféré au Père, si j’abandonne l’idée, je reste celle qui m’occupe au quotidien de l’enfant et le Papa a un droit de visite ». Aussi clairement énoncé, cet avertissement a nécessairement entraîné l’abandon de la procédure.

Cette fois, c’est une décision de justice, même s’il n’y a pas de signature manuscrite de la Juge, juste son nom imprimé. Ma requête est rejetée et je dois payer les frais de procédure. Depuis un an j’essaie de retirer l’enfant de la garderie du Jugendamt dans un groupe en surnombre, où il ne se sent pas bien pour le mettre dans un petit groupe d’enfants de son âge à l’école maternelle franco-allemande. Le dossier prouvant que c’est dans son intérêt et aussi dans le nôtre (prix, horaires, etc…) est complet, ma lettre de démission de l’autre garderie, les attestations de parents, qui le connaissent depuis tout petit, relevant, qu’il a longtemps pleuré avant de s’habituer à cette garderie et qu’il s’intéressait moins aux autres enfants après, un écrit du Consulat faisant valoir l’intérêt pour l’enfant d’aller à cette école maternelle bilingue, où sa double culture serait respectée, ont été joints aux explications fournies au fonctionnaire, qui a noté la requête.

Basé sur une expertise psychologique partiale et mensongère, qui reprend dans le langage approprié, presque chaque accusation rancunière et vengeresse de mon ex-mari, sans tenir compte des témoignages, que j’ai pues joindre au dossier et encore moins de mes explications, la décision parle d’un risque de retrait social, qui est vraiment inexistant que ce soit avant ou après la naissance, ayant toujours été active au sein d’une association, qu’elle soit simplement dans le secteur des loisirs ou même de type engagée. Autre détail irritant, outre l’absence de signature, l’expert cité par la Juge comme auteur du rapport est juste celui qui a relu le document et pas un des deux psychologues rencontrés. Même si pour un juriste allemand ce n’est peut-être pas recevable, une expertise restant difficile à contester si le Juge a ses habitudes avec le Cabinet, la décision montre une nouvelle fois la discrimination, que subit le parent étranger. Le parent allemand surtout s’il est fonctionnaire peut dire ce qu’il veut, c’est obligatoirement digne de confiance et ce sera pris en considération. D’autant plus, s’il est conciliant et sert l’objectif d’éliminer le parent étranger, qui n’a pas une idée assez conforme à l’intérêt national et que cela ne le gêne pas de laisser les autres prendre des décisions concernant l’éducation de cet enfant binational, qui est pourtant lui aussi visiblement instrumentalisé par tous ces protagonistes « bienveillants » à des fins idéologiques ou intéressées.

(3) Le document de travail de la Commission des pétitions, qui recense les plaintes énoncées dans les nombreuses pétitions reçues fait état de parents, déclarés inaptes à s’occuper de leurs enfants du fait de prétendues incapacités physiques ou mentales. Souvent ce jugement péremptoire est dû à une expertise, qui est devenue en Allemagne une industrie, un marché lucratif, dénoncé par certains experts comme le DrWerner Leitner (4). Différents reportages font état de ce problème en suivant le combat juridique des parents lésés, étrangers ou allemands cette fois. Pourtant les expertises accusatrices, qui tendent à dénigrer un parent ne sont vraiment pas dans l’intérêt de l’enfant, dont le prétendu bien-être est quand même invoqué pour déclencher toute la procédure et peuvent être sources de détresses et de grandes souffrances morales. Mais là aussi le résultat obtenu correspond visiblement aux objectifs en Allemagne d’écarter un parent, apparemment considéré comme superflu, pour avoir un pouvoir de décision sur l’avenir de l’enfant et le maintenir en Allemagne. 

Recourir à l’argument pour convaincre les autres intervenants, selon lequel le parent insoumis parce qu’étranger présenterait une prétendue menace, un éventuel risque, évitable seulement si on le marginalise en contrôlant qui il voit pour ensuite l’écarter s’il fait une « faute » est une tactique courante, puisque c’est ce qui permet d’introduire peu à peu toutes les mesures possibles et imaginables de surveillances de la population, que ce soit par le biais des communications, des fichiers digitaux, des courses dans les supermarchés mais implique qu’on surveille tout le monde et qu’on cède des libertés(5). L’enfant perd lui une partie de sa liberté de circulation et ne peut plus maintenir un contact régulier avec les membres de sa famille, qui sont en France.

A nouveau face à l’arrogance et au mépris, parfois maquillé de pseudo indulgence, pour tenter de montrer que le parent étranger exagère et a tort de monter sur ses grands chevaux, puisque ces obstacles constants seraient surtout pour le bien de l’enfant et aussi le sien, il est difficile de trouver des relais en Allemagne pour faire reconnaître son point de vue, à plus forte raison si toute cette bataille rend difficile la recherche d’emploi et menace les moyens d’existence. Il faut vraiment essayer d’obtenir du soutien en dehors des frontières. Si on finit par être obligé de faire appel à une avocate rémunérée par l’état, il faut s’attendre à avoir quelqu’un de très conciliant et passif, qui se conforte à l’idéologie dominante et fera le minimum. 

Même si elle n’envoie pas les copies de ses déclarations à la partie adverse, ce n’est apparemment pas une raison suffisante pour mettre fin à son mandat, d’ailleurs quiconque a signé une demande d’aide juridictionnelle ne peut plus changer d’avocat, sous peine de devoir rembourser la somme que celui-ci recevra automatiquement de l’Etat pour traiter le divorce. Comme le système est bien rodé, ce n’est pas loin d’être un piège à parent déstabilisé par un divorce, qui ne connaissent pas bien les mécanismes du droit allemand.

Puisque nous sommes sur un média participatif, je me ferai aussi l’écho de ce type de médias en Allemagne. Car sur le plan juridique les anomalies citées ont été relevées par d’autres. Un article du code de procédure civil allemand (ZPO) rend normalement obligatoire la signature du Juge sur les décisions, pourtant elle manque très souvent, il en va de même pour les décisions du Tribunal familial. Des mouvements de citoyens de tous horizons, ingénieurs, juristes, souvent parce qu’ils ont été confrontés à l’arbitraire, ont analysé les traités, la constitution depuis la 2ème guerre mondiale et surtout depuis la réunification après le départ des alliés et mis à jour un problème kafkaïen (6). Ces innombrables blogs, télévisions en ligne, associations assertent, que l’Allemagne ne serait plus un état mais une entreprise, les citoyens confient leur sort à une entreprise d’intérêts privés. Divers questions et considérations complexes ont empêché la signature d’un traité de paix avec les alliés après la réunification, qui définirait clairement le champ d’application du droit en Allemagne. Cette absence de traité fait que le pays serait toujours sous le droit de l’occupation et empêché de réaliser certains actes. C’est l’Allemagne même qui n’a pas souhaité jusqu’à présent discuter des termes de ce traité. Cet état de fait, non enseigné et pas connu de tous expliquerait les anomalies du système judiciaires observés.

Comme déjà signalé, tous ces imbroglios se passent dans l’indifférence la plus totale du bien être psychologique de l’enfant, pourtant au centre des préoccupations soi-disant et sans cesse invoqué comme prétexte à toutes ces chicaneries. En fait, plus il sera clivé, puisque le parent étranger entre peu à peu en conflit plus ou moins larvé avec le personnel de la garderie et autres lieux clés de la petite enfance, mieux ce sera pour engendrer un syndrome de Stockholm et peut-être un terrain favorable au rejet du parent étranger plus tard, le moment venu (PAS ou autre). 

(7) L’historien et sociologue allemand Hans Peter Bleuel fait dans son livre « être enfant en Allemagne » un constat sévère. Partant d’une déclaration d’une commission pour l’éducation qui préconisait d’évaluer l’humanité de la société par rapport à la possibilité pour ceux qui n’était pas encore capable de faire valoir leur droits de les voir quand même respectés, il montre que les besoins des enfants sont considérés comme une question négligeable par rapport aux vraies grandes questions, l’indifférence de ces adultes approche la maltraitance et consiste à faire passer avant tout leur confort. Sans le cautionner entièrement il cite le pédagogue anglais Peter Ward, qui va jusqu’à dire que les allemands sont le peuple le plus hostile aux enfants, qu’il connaisse, qui dès la toute petite enfance annihilent de génération en génération le courage de se prononcer des enfants, rendant les allemands peu apte à vivre dans une démocratie. C’était en 1973, depuis l’enfant est paraît-il au centre de toutes les préoccupations mais c’est là aussi une nouvelle violence, qui vise à mieux l’instrumentaliser pour le profit de ces mêmes adultes égoïstes. Puisque ce prétendu souci de l’enfance n’est pas corrélé à un plus grand bien-être des enfants, qui devrait passer normalement par le soutien aux familles avant tout. Au contraire, ils sont de plus en plus nombreux à devoir être enlevés à leurs familles considère le Jugendamt(8), ce sont les seuls chiffres en hausse, car l’indice de natalité n’augmente pas.

Bien sûr il y a des voix dissidentes, mais les jardins d’enfants conçus par Fröbel ne sont plus le modèle dominant, ils cèdent le pas au souci d’efficacité, à la gestion des effectifs et des places à créer pour accueillir plus d’enfants. L’écoute et les besoins du tout petit ne sont plus au centre, la démarche encore malhabile il doit suivre le mouvement, l’embrigadement revient au devant de la scène.

Les parents ne sont pas mieux traités, surtout s’ils sont d’origine étrangère. Pourtant en plein débat sans cesse renouvelé sur intégration versus assimilation des études américaines reprises par Boris Cyrulnik(9) dans son récent rapport « suicide chez l’enfant, attachement et société » ont clairement prouvé que le pire modèle d’accueil serait le rejet, la marginalisation des parents, qui crée selon lui, une socialisaton archaïque, générant de la violence et l’apprentissage de la loi du plus fort avec pour conséquence dépressions, addictions, délinquance, voire suicide chez les jeunes. Même si les parents essaient de serrer les dents en espérant, que l’enfant bien intégré n’aura pas les mêmes soucis, les études montrent que l’enfant souffre obligatoirement de cette situation. Tandis qu’une situation, qui préserve la dignité des parents et reconnaît la double culture entraînera toujours une amélioration du bien-être et de la santé pour tous, parents, enfants et leur entourage.

Tous ces dysfonctionnements révélés soudain aux parents, qui se séparent d’un conjoint allemand ne sont souvent connus, que de ceux qui vivent un de ces moments éprouvants, qui ne devrait pourtant pas forcément dégénérer en drame. Malheureusement il y a en l’état actuel des faits un processus destructeur à l’œuvre en Allemagne, beaucoup d’interlocuteurs de plus ou moins bonne foi, du couple en crise, selon qu’ils sont victimes ou non de la propagande, ou qu’ils appliquent mécaniquement des procédures, provoquent un effet domino de mesures ou de renforcement de l’idée de prétendue menace, que présenterait le parent étranger pour l’enfant, qui va peu à peu noircir son image, parfois l’isoler et entraîner des pertes financières, qui rendront difficile une issue de la crise. Ces enfants binationaux, qui pourraient s’épanouir dans leurs deux cultures doivent être amputés d’une partie de leur identité, avec des conséquences psychologiques éventuellement graves pourtant scientifiquement reconnues. Pourquoi hypothéquer leur avenir ? ça ne peut servir que des intérêts immédiats à très court terme et pas la Société. Quelle est cette tendance à dépenser autant de moyens dans l’éviction de prétendues menaces, qui pourraient être bien mieux alloués ?

 

Parents et enfants victimes et leurs associations, qu’il est possible de contacter pour des informations ou pour envoyer des témoignages

Association de Marie Galimard Geiss, http://erwinetastrid.fr

CEED (Conseil européen des enfants du divorce) http://www.youtube.com/user/CEEDeurope

Emission télévisée du samedi 19 novembre « Avenue de l’Europe » à voir en ligne

Le reportage suit un Papa, qui essaie de faire valoir son droit de visite accordé par un Tribunal français mais, qui ne rencontre que des refus. Les petits dialogues avec la Police entre autres à Francfort sont représentatifs de l’arrogance et du refus d’accorder des droits au parent étranger. http://info.france3.fr/avenue-europe/

Journaux, rapports, experts

(9) Rapport Boris Cyrulnik « suicide chez l’enfant, attachement et société », qui analyse les études de Michel Tousignant et Sam et Berry sur l’intégration et l’assimilation.

(3) Document de travail de la Commission des pétitions du Parlement européen, concernant les allégations de mesures discriminatoires et arbitraires prises par les autorités en charge de la jeunesse dans certains États membres, en particulier par le Jugendamt en Allemagne. Extrait du point 4 page 6 :

« Plusieurs parents pétitionnaires affirment que le Jugendamt leur a retiré leurs enfants sans avertissement préalable au motif d’une incapacité physique ou mentale empêchant les intéressés d’assurer leur éducation. Au lieu de se baser sur des faits, les autorités fondent fréquemment leurs décisions sur des avis et des préjugés subjectifs. »

(http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//NONSGML+COMPARL+PE-418.136+04+DOC+PDF+V0//FR&language=FR)

(8)http://www.faz.net/aktuell/gesellschaft/familie/statistisches-bundesamt-gerichte-entziehen-haeufiger-sorgerecht-1539002.html (en allemand)

27.05.2008 D’après les statistiques fédérales les Tribunaux retirent de plus en plus souvent le droit de garde aux parents En comparaison avec l’année précédente, le nombre a augmenté de 10% en raison de signalements pas toujours justifiés.. par Katrin Hummel

(8’)http://www.faz.net/aktuell/gesellschaft/familie/jugendaemter-in-der-kritik-wegnehmen-ist-das-einfachste-1511280.html (en allemand)

Le Jugendamt face à la critique, enlever les enfants est plus simple

17.03.2008 Le sort des enfants maltraités ou tués émeut toute la nation. Mais on n’entend pas assez parler de ceux, qui sont séparés de leurs parents par un souci déplacé ou non justifié.

(4) Dr Werner Leitner est un expert psychologue, qui fait un travail sur les expertises juridiques et a montré, que bon nombre d’entre elles étaient bâclées, peu scientifiques, on trouve parfois même des copiés / collés dans 2 expertises de 2 personnes différentes. Il réexamine les expertises sur demande et il est intervenu dans de nombreux cas particuliers et a expliqué le problème à la télévision, qu’il s’agisse pour ces cabinets de faire des économies en sous-traitant à des débutants peu qualifiés ou de faire du profit avec ce marché juteux en réalisant des expertises non justifiées. http://www.wernerleitner.de/gut.html

2 extraits d’émissions télé du 26/10/2011, la première de 30 min. et l’autre d’une minute ZDF ZOOM

http://www.zdf.de/ZDFmediathek/beitrag/live/1321472/ZDFzoom-im-Livestream#/beitrag/video/1476038/ZDF

Sur les dégâts, que peuvent faire une expertise et comment se passe les décisions de droit de garde.

 http://www.zdf.de/ZDFmediathek/beitrag/live/1321472/ZDFzoom-im-Livestream#/beitrag/video/1477004/Trennung---so-konfliktarm-wie-möglich

Il vaut mieux une expertise tournée vers une solution pour la famille, qui ne cherche pas à faire ressortir les problèmes et les défauts d’un parent pour pouvoir l’écarter. L’enfant en sera moins traumatisé.

(2) « Naître ennemi, les enfants des couples franco-allemands nés pendant la seconde guerre mondiale », Fabrice Virgili, éd. Payot 2009

(7) Livre de Hans Peter Bleuel « Kinder in Deutschland » dtv juin 1974

(1) La citation sur la remise de prix à Noam Chomsky est extraite de cette page : http://www.3sat.de/dynamic/sitegen/bin/sitegen.php?tab=2&source=/kulturzeit/ themen/143123/index.html

Extraits du livre de Noam Chomsky en français : http://www.noam-chomsky.fr/la-fabrication-du-consentement/

Médias participatifs ou critiques

(6) http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/deutschland/michael-grandt/deutschland-hat-noch-immer-keinen-friedensvertrag.html

Article : l’Allemagne n’a toujours pas de traité de paix (en allemand)

(6’)http://bewusst.tv/2011/01/der-weg-in-die-selbstverwaltung/ (en allemand)

Interview d’un spécialiste de ces questions (anomalies juridiques, Allemagne comme entreprise privée), qui est entré dans un mode de gestion autonome indépendant. Des plaintes déposées à la Cour pénale internationale par des particuliers constitués en gestionnaires autonomes ont été jugées recevables, alors que la CPI ne traite que les plaintes d’Etats et non de particuliers.

http://www.lafauteadiderot.net/L-Allemagne-et-la-Grece-une (en français)

L’Allemagne refuse de payer des dédommagements à la Grèce alléguant que le Traité de paix avec les alliés n’a pas encore été signé.

(5) http://www.youtube.com/watch?v=RBnOtgbP4P8&feature=related

Professeur Albrecht (juriste) sur la transformation de l’Etat de droit allemand en état de surveillance.


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