Ces étranges causes perdues

par Jean-Pierre Petit
lundi 12 septembre 2011

On dit que la Vérité ne triomphe jamais, mais que les imbéciles finissent toujours par mourir.

On veut bien le croire. Mais le temps passe, qui finit par se chiffrer en décennies. Soi-même, on regarde son extrait de naissance, on calcule son âge, et on se dit " combien d'années me reste-t-il pour continuer à me battre pour plus de vérité, moins de mensonge".

Ces combats n'ont de sens que si des hommes et des femmes vous suivent. Le choses ne peuvent basculer que lorsqu'une fraction suffisamment importante de la population est acquise à une contestation de mensonges. Sinon les actions ressemblent à des charges de Don Quichotte contre les Moulins à Vents.

Nos moulins à vent modernes, nous les connaissons, ce sont nos médias, qui nous mentent, nous abrutissent, ce sont nos revues "de vulgarisation scientifiques", qui ne savent plus trop quoi inventer pour donner l'impression que la Science avance, alors qu'elle... recule.

Ces jours-ci je suis allé à la Maison de la Presse du supermarché voisin de mon domicile. Sur la gauche, sur le présentoir, l'actualité du jour. Sur toutes les couvertures des magazines : Dominique Strauss Kahn et sa milliardaire d'épouse, Anne Sinclair. Quelques jours plus tôt, on évoquait "leur calvaire". Maintenant c'est "la renaissance".

L'employée de cette maison de la Presse, captant mon regard, a eu cette remarque :

- Vous croyez que ça m'amuse de voir étalée sur toutes les couvertures, depuis des mois, cette histoire-là !

On dit que la presse abrutit les gens. Mais si la plèbe ne s'intéressait pas aussi à l'affaure Strauss-Kahn, les magazines n'en feraient pas leur couverture depuis des mois. Ils le font parce que le dossier est vendeur. Cette histoire détourne aussi l'intérêt des gens vers le futile, pour que le peu d'intérêt dont ils disposent ne soit pas captés par des choses importantes. En un mot, on les désinforme.

Je ne sais pas s'il faut être optimiste ou pessimiste face à ce que tout nous voyons se développer dans le monde. Bien sûr, sans Internet, nous serions totalement désinformés. La désinformation par voie de médias ne date pas d'hier. Elle est de tous les temps, et on serait bien naïf de penser qu'elle n'est pas une composante forte de l'action politique contemporaine.

Je citerai la façon dont Hitler s'y est pris pour envahir la Pologne avec le soutien massif de la population allemande.

Vous savez peut-être qu'après le conflit de 14-18 le centre de l'Europe a fait fait l'objet d'un redécoupage en règle. Le sud de l'allemagne (les Sudètes), région frontalière avec le sud de la Pologne, comportait une partie importante de populations polonaises. Il existait à l'Est de cette région un émetteur radio diffusant ses programmes à l'aide d'une haute tour en bois (qui reste la plus haute tour en bois d'Europe).

La tour de Gleiwitz, clé de l’invasion de la Pologne par les Nazis

Les Nazis montèrent une opération de désinformation en habillant des détenus avec des uniformes polonais. Ceux-ci, drogués, furent amenés sur les lieux, puis truffés de plomb. Les morts ne parlent pas, c'est bien connu. La presse allemande diffusa alors la nouvelle comme quoi un commando d'extrémistes polonais s'était emparé de l'émetteur de Gleiwitz, et s'apprêtait à diffuser un message radion, incitant les Polonais des Sudètes à se révolter contre le pouvoir Nazi, et à renverser Hitler. Le National Socialisme était en danger. Voir " l'opération Himmler ". Hitler trouva alors le prétexte de lancer "une opération défensive contre les menaces que l'état polonais faisait planer sur l'Allemagne. Et tous les Allemands y crurent.

 

Un dessin qui aurait tout aussi bien pu illustrer le dossier du numéro de septembre de Science et Vie

 

J'avais commencé à écrire un livre retraçant de nombreuses histoires de ce genre. Mais j'ai fini par laisser le manuscrit en plan, voyant l'insuccès de la publication de l'Ambre et le Verre (ventes, maintenant : moins d'un exemplaire par jour !).

De nos jours, qu'est-ce qui est vrai, qu'est-ce qui est faux ? Où se trouve la frontière entre les mouvements populaires et la manipulation par des puissances étrangères ? Bien malin qui pourrait le dire. Nous vivons une époque étonnante. Il se passe des tas de choses, de par le monde. Beaucoup se déroulent dans la plus complète indifférence.

Je viens de discuter avec un couple qui rentre du Japon. Elle, est japonaise. A l'Est, rien de nouveau. Toute la population japonaise est anesthésiée. Le drame de Fukushima est pratiquement oublié, refoulé, occulté. Il y a une raison simple : cette région, nommée Tohoku, qui représente tout le nord est du Japon, est "le jardin potager du pays". Il est également impossible de déplacer une ville comme Fukushima (300.000 habitants), ni même de traiter les terres contaminées.

 

 

Le diamètre de la cuve est de cinq mètres et demi. Ces trous sont donc d'un diamètre impressionnant. Mais c'est une chose normale car les "barres de contrôle" sont en fait des structures cruciformes, constituées par deux plans entrecroisés. Cette structure, véritable passoire, indique que si le corium réussit à perforer le fond de la cube, c'est tout l'ensemble qui peut lâcher.

Cette histoire m'a beaucoup frappé, et l'ai décidé d'entrer dans le combat antinucléaire en y mettant tout mon savoir et tous mes talents. Il y a dans mon site ce que j'y avais déjà mis. Mais depuis les derniers mois, beaucoup de choses se sont passées. J'ai lu des milliers de pages de documents, des thèses, des articles. Et cela m'a affermi dans ma conviction. Il faut sortir du nucléaire, au plus vite, ce qui passe par le développement d'énergies renouvelables, à grande échelle. C'est devenu simplement

Une question de survie de l'espèce humaine

Avec un groupe d'ingénieurs, nous allons composer un livre sur le sujet, qui sera vendu au bénéfice de l'association Science et Culture pour tous. Cet argent, issu de la version francophone, permettra de traduire le livre en de multiples langues, dont les pdf seront alors mis en téléchargement gratuit sur le site de Savoir sans Frontières. Trop de gens ignorent trop de choses, dans tous ces domaines.

- L'électronucléaire est une folie. Le problème des déchets est insoluble. Comme l'écrivait l'ingénieur Bernard Laponche, l'accident nucléaire majeur, en Europe, est inéluctable, si nous continuons à ce train-là. Il suffit de lire le Canard Enchaîné de cette semaine pour voir comment Bouygues gère le coulage du béton dans l'EPR de Flamanville. Surréaliste.

- Il existe maintes solutions de remplacement, qui vont bien au-delà "du petit chauffe-eau solaire", à mettre sur son toit (bien que ces actions individuelles soient loin d'être négligeables).

- Le projet ITER est un gâchis impensable, une foutaise inimaginable, un mensonge, un détournement de fonds public à l'échelle planétaire. Le projet lui-même comporte une masse de défauts que le public ignore, ou qu'on a fait en sorte de lui faire ignorer, en lui présentant un beau plasma rosâtre, sagement bridée par un puissant champ magnétique. La réalité est bien différente et, par chance, j'ai les compétences scientifiques (la MHD) pour pouvoir passer ces dossiers très complexes à la moulinette, en détectant les nombreux points faibles, et j'ai réuni les documents propres à appuyer mes dires : explosions de systèmes magnétiques à supraconduction, "coups de foudre" dans ces tokamaks, volatilisant la paroi au point d'impact de ces décharges d'électrons à haute énergie (10 à 40 MeV), sous une intensité d'un million d'ampères ( JET, Tore Supra ). Dans le futur ITER les instabilités, toujours aussi ingérables, donneront naissance à des décharges-paroi de 15 millions d'ampères. Etc....

- ITER n'est pas "un projet extrême". C'est un ephysique qui risque de se trouver complètement dépassée quand de nouvelles filières verront le jours, dans les prochaines décennies, comme la fusion aneutronique et les générateurs pulsés, phénomène qu'on pourra comparer à la disparition des machines à vapeur, lors de l'avènement des moteurs à combustion interne.

Cet argent de la vente de ce livre, si on rentre assez, permettra de mener des enquêtes dans des pays ayant à leur actifs des réalisations de grande ampleur en matière d'énergies renouvelables. Des enquêtes d'une autre tenue que l'émission clownesque qu'Arte consacra à la fusion (les journalistes assistèrent à "des tirs réussis" ). Je donnerai aussi des conférence. Tout cela quand je me serai un peu reposé. Mais cet été : zéro jour de vacances, zéro repos. A 74 ans, on le sent passer.

Il y a pourtant un sujet où je me suis énormément investi depuis 35 ans : le dossier OVNI. Alors une question s'est posée. Encore actuellement, manifester officiellement son intérêt pour un tel sujet entraîne un discrédit immédiat dans les sphères politiques et scientifiques. C'est comme ça. On peut parler de la structure de l'univers, d'exobiologie, de voyages interstellaires, d'exo-planètes. Mais si vous prononcez le mot "OVNI", vous êtes "mort". C'est, cela reste depuis un demi-siècle un tabou complet.

Mener donc de front le "combat ovni " et le "combat antinucléaire " n'était plus possible.

En 2010 Michel Padrines, déjà atteint d'un cancer, s'était lancé dans un projet de colloque, à Strasbourg. J'ajoue que, voyant la façon ignoble dont certains "ufologues" le traitaient, nous avons décidé de l'aider. UFO-science a pesé de tout son poids pour aider au succès de ce colloque, qui s'est tenu à Strasboug, en septembre 2010.

Un succès d'estime. Une salle, pleine à craquer de "fans". Aucun journaliste scientifique, ou scientifique, ne répondit à l'invitation. La télévision régionale réalisa un court dossier, complètement ridicule, filmant notre banc d'essai, celui-là même grâce auquel nous avions obtenu des résultats qui venaient d'être présentés une semaine plutôt dans un grand colloque international de MHD qui s'était tenu à Jeju, Corée. Le reportage fut mené comme si nous émanions du concours Lépine. Si vous visionnez ce reportage, vous verrez que le caméraman zoome sur ... n'importe quoi. Sur la pompe à vide Edwards, sur un accessoire sans intérêt.

C'était l'éternel climat magazine".

Padrines (cancer des os, trois chimiothérapie, une auto-greffe de moelle osseuse) a entrepris de rééditer l'opération en avril 2012. Soutiens financiers : nuls. Sponsors : zéro.

J'ai bien réfléchi et je me suis dit que je ne pouvais pas continuer à mener des actions consistant à essayer de sensibiliser des scientifiques et des politiques, de toucher des journalistes, en continuant à figurer dans ce genre de manifestation. J'ai commencé par envoyer promener différents journalistes, sans regrets (TF1, pour le journal de 13 heures, le Parisien Libéré, etc). Puis j'ai envoyé cette lettre à Padrines, qui a été positionnée sur le site d'UFO-science.

Il a apprécié ma franchise, et parfaitement compris. Entre deux combats, il faut opter pour celui où on peut se montrer le plus efficace. Mon choix est fait.

Serait-ce à dire que son projet partira à vau-l'eau ?

Ce serait regrettable, car même si je ne suis pas présent, interviendront des gens qui témoigneront de sacrées affaires. Le lecteur a peut-être entendu parler des incidents survenus sur la base de Malström, aux USA en 1967, et à Benwaters, en Angleterre. Vous trouverez à cette adresse l'interview organisée par Robert Hastings et Robert Salas au club de la Presse de Washington, en 2010.

Hastings, Salas et Halt seront présents à ce colloque, de même que l'astronaute suisse Claude Nicollier, qui fut commandant de bord lors d'une mission spéciale de la navette américaine. Egalement présent, toujours comme intervenant, le professeur Chandra Wickramasinghe, directeur du laboratoire d'astrobiologie de Cardiff.

En 2010 l'excellent écrivain-éditeur Christel Seval nous avait gratifié d'une passionnante conférence sur le thème "contact et impact". A ma connaissance, c'est ce qui se fait de mieux dans le rayon "approche sciences humaines du phénomène". Il interviendra cette année en donnant une conférence sur le thème "impact possible du phénomène ovni sur les principaux courants religieux terrestres".

Ajoutons deux témoins de qualité, Jack Krine et Daniel Michau. Padrines tente actuellement de joindre Jean-Pierre Moreau, ancien chercheur au Cnes, qui témoigna d'un remarquable observation dans le numéro de juillet-août de Nexus. J'espère qu'il pourra participer à ce colloque.

Ne serait-ce qu'en mentionnant ces intervenants, je pense que cela serait une manifestation à ne pas manquer.

Mais un colloque de ce genre est un affaire lourde. Padrines n'a pas un sou. En 2010, l'affaire fut bouclée, financièrement, de justesse, avec la vente des billets, avec un déficit de seulement 2000 euros.

Ceux qui diront que Padrines s'en est mis plein les poches ne sont que des fumiers de la pire espèce, ivres de jalousie. Et je pèse mes mots. Il y a de sacrés personnages dans la "fourmillière ufologique". Je me souviens encore des mails que j'ai reçus, signés par de courageux anonymes, qui me disaient :

- Et si les bulletins d'admission de Padrines dans un centre anti-cancer n'étaient que des faux ? ...

Je ne savais pas qu'une telle bassesse pouvait exister.

Je me souviens d'un coup de fil avec Gérard Lebat, fondateur des "dîners ufologiques", qui a pris sa retraite au Maroc. Je vous cite une bribe de dialogue :

- Vous savez, je pourrais vous en raconter, sur Padrines....

- Eh bien, cher monsieur, faites-le. Nous sommes au téléphone. Ne vous gênez pas. Je vous écoute.

- Non, ce n'est pas mon genre de dire des choses des gens derrière leurs dos ....

Tout à l'heure, j'évoquais les contenus misérables et vulgaires de "la grande presse", et d'ajouter "Tout cela continuera, tant que le public continuera de se repaître de ces nourritures avariées".

Le sujet ovni est tombé dans le ruisseau. Pierre Lagrange, qui s'intitule maintenant "sociologue-ethnologue", parle comme on agiterait les ailes d'un moulin à vent. Alain Cirou oublie qu'il y a 30 ans, quand il était jeune président de l'association française d'astronomie il m'invita a donner une conférence sur le sujet à l'Ecole Polytechnique, qui était encore à l'époque rue Descartes. Là, il s'était insurgé contre les inqualifiables pressions qu'il avait subi, lui demandant de déprogrammer ma conférence, face auxquelles il avait vaillamment résisté.

Les temps ont changé, je suppose.

Quand je me serai tu, qui dénoncera l'inimaginable imposture que représente le service du Cnes, devenu le Geipan ? Personne, probablement.

Les OVNIS passent, comme des vols de cigognes, et tout le monde s'en fout.

Ce colloque "espace - phénomène ovni "que Padrines tente de mettre sur pied sera sans doute le dernier événement sérieux du genre. Si le public suit ! Car pour monter une telle opération, sans le moindre financement, il faut une prévente de billets.

Alors, je vous dis : à vous de jouer. Si un nombre défini de billets son achetés, le colloque aura lieu à Paris, dans une salle de 350 places. Avec un nombre inférieur, que Padrines précisera, celui-ci se tiendra à Nice, dans une salle de 250 places.

Et en dessous d'un certain seuil, il n'y aura ... plus de colloque du tout. Les gens seront simplement remboursés.

De ce fait, ce colloque sera ... le vôtre

Si Padrines ne reçoit pas le soutien attendu, il vous restera les dîners ufologiques et les émissions-balais où les journalistes, gravement, diront pour la centième fois :

- Parlez-vous, monsieur XXX (le nom a changé trois fois en cinq ans), de ce service du Cnes qui a reçu pour mission d'enquêter sur les cas d'ovnis....

Alain Cirou vous dira, comme dans l'émission du 30 mars 2007 de C dans l'air, que dans ce phénomène, les scientifiques n'ont rien à mettre "entre lame et lamelle".

Lagrange vous parlera de tout et de rien. Surtout de rien....

Il ne vous sera guère difficile de trouver, sur le net, les produits dérivés, issus de l'ovni. Des tasses, des slips, des DVD, parfois porteurs de chansonnette, composées dan des "exo-langues".

Et si vous trouvez que tout cela ne vaut pas grand chose, il ne faudra alors vous en prendre qu'à vous-mêmes.

Avant de vous quitter, je vous conseillerai vivement de vous procurer l'ouvrage co-écrit par Robert Salas et James Klotz (il est en anglais !)

 

" Le Géant Foudroyé "

 

C'est un livre très bien écrit, très clair, où on va à l'essentiel. Aucun éditeur n'a songé à publier sa version française. Je pense que cela vaudrait la peine. Il est en deux parties. La première fait 51 pages. Le reste est constitué par des annexes et des photocopies de pièces. C'est la partie " documents à l'appui ".

Cette première partie se lit facilement, d'une traite. Je ne sais pas si vous savez ce à quoi Salas se réfère. J'ai déjà parlé de cela dans mon site, dans une page datant de décembre 2010. Relisez cette page. Ca n'est pas rien.

 

Robert Hastings, ufologue, organisateur de la conférence de presse

 

Robert Salas, à la conférence donnée au club de la presse de Washington, en 2010

 

Je suppose que cela vous donnera envie d'aller écouter et de rencontrer deux des plus importants témoins de cette série d'affaires. Si aucun journaliste de la grande presse ne couvre cet événement, ça sera ... quelque chose. Mais c'est tout à fait possible.

Je reproduis ci-après la traduction des dernières lignes de son livre :

 

Le fait que des événements soient portés maintenant à la connaissance du public font que chacun d'entre nous est amené à s'interroger sur ce qu'il croit être la façon dont nous sommes gouvernés.

Si nous voulons nous comporter en citoyens responsables, nous devons nous remettre en mémoire quelques leçons que nous avons appris à l'école. L'Histoire montre que des gouvernements se sont effondrés lorsqu'ils ont perdu le contact avec les hommes qu'ils étaient censés diriger. C'est ce qui s'est produit quand les intérêts des peuples et de ceux qui les gouvernent on commencer à diverger.

Nous pouvons dresser une courte liste de gouvernements qui ont connu un sort semblable : L'Empire Britannique, L'Empire Romain, L'Empire Espagnol. Chacun d'entre eux a commencé à péricliter lorsque le contacts avec le peuple a commencé à se rompre.

Personne ne souhaite être gouverné par une oligarchie secrète, au service d'un groupe restreint d'individus. Personne ne souhaite voir un gouvernement uniquement concentré sur le fait de contrôler la vie de ses citoyens. L'histoire montre que c'est là ce que veut le peuple.

S'il est vrai que notre gouvernement a dissimulé des informations concernant des visiteurs extraterrestres, et a pu exploiter des connaissances à partir de cela, sans que le public en soit informé, alors nous sommes contrôlés par un gouvernement secret qui a perdu tout contact avec le peuple qu'il gouverne.

 

Padrines, en organisant ce colloque, fait en sorte que ces gens puissent venir en France et que vous puissiez les rencontrer. Sur la base de ces quelques lignes, vous voyez que l'on sort de l'événementiel, de l'anecdote, que des questions profondes et importantes seront soulevées à ce colloque, qui se clôturera par une table ronde.

Mais s'il n'arrive pas à récupérer les fonds pour ce congrès, alors ces gens resteront chez eux et il ne vous restera plus qu'à fréquenter les repas ufologiques, hauts lieux où souffle l'esprit. .

 

C'est à vous de décider

 

Lien vers le site du colloque " Espace - phénomène OVNI, avril 2012 "

http://www.congres-paris2012-astronomie-espace-ufologie.weonea.com


Lire l'article complet, et les commentaires