Einstein s’est trompé. En finir avec la cosmologie relativiste et passer à une nouvelle ère !

par Bernard Dugué
vendredi 19 juin 2015

Je vais vous faire une confession. La relativité générale ne me convient pas. Je n’aime pas cette théorie contrairement à la plupart des cosmologistes qui la considèrent comme une apothéose de la science moderne. Pour moi, c’est plutôt un cauchemar ontologique. Cette équation a un sens physique qui n’est pas le bon. Vous avez parfaitement raison d’être en désaccord avec mon opinion et d’accepter cette théorie qui a pour principe l’influence réciproque entre la géométrie spatiotemporelle et les masses dans le cosmos. Une théorie, qui prédit tant de choses, permet de faire les corrections pour le GPS, de calculer l’orbite de mercure et le décalage des horloges atomiques embarquées là où la gravité est plus faible, ne peut pas être fausse et en plus elle est élégante comme le prétendent les plus hautes autorités scientifiques dans les sphères savantes. Quoique, la beauté originelle a été altérée par la constante cosmologique qui, on ne comprend aisément, ne plaisait pas à Einstein qui devait sans doute penser qu’elle représentait une impureté venant rayer le marbre fin des tenseurs décrivant courbures et géométries.

Vous pouvez penser que la relativité générale est une théorie définitive du cosmos, ou à défaut une théorie perfectible qui restera en l’état pendant des décennies. Si tel est le cas, vous pouvez arrêter la lecture de ce billet. Dans le cas contraire, si vous êtes curieux, vous allez prendre connaissance d’une alternative à la relativité générale conçue provisoirement comme une philosophie de la nature ou si vous voulez, une physique descriptive mais qui n’a pas encore sa formulation mathématique. Cette nouvelle théorie du cosmos a été baptisée cosmonadologie quantique. Elle est inspirée d’une interprétation inédite de la physique quantique et de la dualité jauge-gravité découverte par Juan Maldacena, avec une prise en compte d’une autre possibilité théorique, celle de la dynamique des formes qui représente une nouvelle manière (non einsteinienne) de décrire la géométrie du cosmos. Bref, en quelques mots, la nouvelle cosmologie que je propose refuse l’idée d’une étendue chosifiée et mathématisée par les tenseurs d’Einstein. Il n’y a pas de champ de gravitation, au sens d’un champ d’influences comme l’est le champ électrique. S’il n’y a pas de champ de gravitation, il n’y a pas d’espace déformé et donc, les trous noirs n’existent pas et le big bang est sacrément mis en doute puisque la cosmologie d’Einstein est abandonnée.

Ma vie a basculé depuis que j’ai compris l’erreur Einstein sur le cosmos, entraînant la physique de l’univers dans une impasse. Etre un hérétique n’est pas une position confortable, que ce soit en religion ou en science. Dieu merci, on ne risque plus le bûcher au 21ème siècle mais plus simplement une sorte de mise à l’écart, de bannissement, quoique, l’indifférence soit le plus souvent le sort laissé à ceux qui ne pensent pas comme la majorité. En démocratie, c’est cause toujours, tu m’intéresses ! Que la relativité soit fausse n’engage aucunement le cours des choses ni la signification de l’existence pour la majorité des humains. Une nouvelle cosmologie apporte une connaissance de l’univers qui ne sert aucun des intérêts prisés par les contemporains. Mais il est vrai que si cette cosmologie pouvait aboutir à un brevet et un produit commercialisable, beaucoup d’oreilles se tendraient. En fait, c’est plutôt l’inverse. Cette cosmologie risquant d’invalider les trous noirs, le big bang et tout un fond de commerce pour les cosmologistes, elle ne risque pas d’être poussée en avant, ne serait-ce qu’être examinée et discutée après une édition conforme aux règles.

Pas de big bang, pas de trou noirs, il reste les jumeaux de Langevin mais plus de quoi alimenter le fond de commerce de nos jumeaux médiatiques ainsi que de celui de bien des pontes de la vulgarisation cosmologique si prisée des lecteurs ; la plupart de ces pontes n’ayant fait aucune découverte majeure. Comme du reste les vulgarisateurs de la biologie. Je ne cite pas de nom, ce ne serait pas élégant.

L’histoire du renversement cosmologique s’écrit maintenant. Je n’ai pas les moyens mathématiques et médiatiques pour réaliser cette opération de grande envergure mais, prudence oblige, j’ai balisé le terrain et présenté la nouvelle cosmologie dans la revue Cerveau, science et conscience. Darwin avait précipité la publication de l’origine des espèces après avoir reçu un manuscrit de Wallace qui avait pressenti lui aussi l’évolution. Y a-t-il un physicien qui serait déjà sur l’affaire de la cosmonadologie quantique ?

Nul ne sait quand la bascule se produira mais on peut tout de même gloser sur cette relativité générale qui appartient déjà au passé, à une époque révolue, celle qui va de Newton à la fin du 20ème siècle. Les adeptes de la relativité générale sont d’invétérés conservateurs. Les révolutionnaires sont dans le camp de la physique quantique. C’était déjà le cas au moment de la controverse entre Bohr et Einstein.

Si j’étais un philosophe iconoclaste, je me demanderais si la relativité générale aurait quelques connivences souterraines avec le champ, le milieu, l’espace, le cadrage des étendues. Bref, des connivences avec le totalitarisme qui vient, alimenté par le réchauffement climatique, le désarroi occidental des masses privées de spiritualité et de Dieu, les pouvoirs de la finances et de l’armée, les puissants qui enfument les bonnes volontés, les promoteurs de l’offre économique, les maîtres intellectuels de l’esclavage technologique, les systèmes de surveillance généralisée. La relativité générale s’écroulera un jour, peut-être en même temps que le réveil des consciences en ce monde de masses rendues ignorantes. C’est comme dirait Heidegger, le Dasein qui s’ouvre vers une nouvelle ère, avec une authenticité inédite et une nouvelle conception de l’interrogation sur la nature. Cette ouverture ne se fait pas dans la facilité. Mais elle se fera.

Ils se disent tous Charlie mais ils ne sont pas prêts à défendre les libres pensées du 21ème siècle. Les fidèles de la science moderne sont de connivence avec l’ultra-libéralisme. Le cosmos est invisible sauf aux gens qui ont du cœur !


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