Il faut libérer la recherche sur le cancer et la science moderne !

par Bernard Dugué
mardi 6 février 2018

La science moderne a fourni d’innombrables techniques pour servir l’homme avec des outils aux fonctions diversifiées dont le dénominateur commun est de repousser les limites physiques et physiologiques héritées de la sélection naturelle. Repousser les limites physiologiques mais aussi réparer l’organisme vivant grâce aux différentes techniques médicinales. Une question se pose. La médecine a-t-elle atteint ses limites ? Elle s’est perfectionnée dans plusieurs directions, notamment la réparation avec la chirurgie et les prothèses, en jouant sur les progrès dans les technologies et les matériaux. Pourtant, dans le domaine des maladies dites dégénératives la science reste sans effet. C’est le cas pour Alzheimer, Parkinson ainsi qu’environ un cancer sur deux.

La médiatisation récente de la recherche sur le cancer laisse penser que des progrès sont en marche et que d’ici 2020 ou plus, quelque 70% des cancers seront guéris. Ces prédictions n’engagent que les promesses des scientifiques, à l’instar des promesses politiques. De plus, les statistiques ne sont pas toujours fiables et les laboratoires annoncent des succès alors qu’aucun progrès n’est vraiment établi. La notion de survie après la détection d’un cancer est entachée de biais multiples. Le dernier numéro de Books présente un dossier sur les malversations scientifiques liées au carriérisme. La quête du profit nuit aussi à la rigueur scientifique et à la stratégie. Beaucoup de traitements ne sont pas à la hauteur de leur coût. Ces éléments sont assez connus sans pour autant faire l’objet de nombreuses enquêtes. Seule conclusion, le cancer n’est pas prêt d’être vaincu. Ce qui ne signifie pas qu’il faut arrêter les recherches classiques et conventionnelles mais qu’il est temps d’ouvrir d’autres voies et de libérer pour ainsi dire la science de sa doctrine technique et mécaniciste.

Il est nécessaire d’entrer dans l’essence du vivant, l’essence des cellules, qui gouverne leur développement à partir des réseaux géniques ainsi qu’épigénétiques. Le cancer est causé par une altération des communications entre cellules. Il se produit une distorsion dans l’essence et donc une altération de l’identité de la cellule cancéreuse qui alors, ne se reconnaît plus comme faisant partie d’un tout organisé. La cellule redevient ancestrale. Il semble qu’elle subit une régression évolutive vers un stade originel. Les cellules retrouvent une partie de leur vie ancienne, lorsqu’elles devaient se multiplier et s’associer sans être très différenciées. Mais comme ces cellules ont un patrimoine moderne, elles peuvent détourner les mécanismes de l’organisme et notamment faire en sorte de créer de nouveaux vaisseaux sanguins pour vasculariser la tumeur afin de lui apporter métabolites et oxygène.

La médecine moderne joue sur un mode opérationnel technique. La chirurgie est efficace pour repousser la tumeur après opération. Le cours des cellules cancéreuses dépend alors du type de tumeur et des traitements non chirurgicaux, parfois des rayons et souvent une chimiothérapie dont le mode opératoire est lui aussi technique. Il faut détruire les cellules tumorales par des molécules toxiques ou alors en mobilisant le système immunitaire. Ces méthodes ont montré leurs limites malgré la publicité qui leur est accordée dans les médias par un système de recherche en quête de moyens financiers et qui cherche à justifier l’argent demandé ou dépensé.

La libération de la science suppose que l’on prenne en compte la dimension voilée et métaphysique de la vie cellulaire ou organique. Le génome n’explique par le cancer. Le désordre génétique ou chromosomique constaté dans les cellules tumorale n’est pas la cause du cancer mais la conséquence. La science moderne a toujours buté sur la question des causes en les explicitant à partir de corrélation alors qu’elles ne s’y trouvent pas. Ce n’est pas parce que si A alors B que A cause B. Il est possible que C cause A et B, d’où l’exactitude dans les corrélations mais l’erreur dans les causalités.

La science inédite qui arrive se conçoit comme une métaphysique des essences. Mais bien entendu, ce n’est pas l’essence des Anciens dont il s’agit. C’est l’essence comme association d’Informations quantiques. L’essence de l’organisme et des cellules repose sur un encodage dont l’origine profonde se trouve dans le monde des superpositions quantiques, des intrications, des processus méta-physique que l’on soupçonne être d’origine gravito-quantique ou gravito-magnétique, faisant entrer en jeu les informations liées et circulant grâce aux trois forces, électromagnétique, faible et forte. Ces idées sont générales. Il faut les explorer à fond pour accéder à la vérité ontologique si elle existe. Ce travail a été amorcé et publié dans mes deux ouvrages parus en 2017 chez Iste éditions et disponibles également en version anglaise pour les scientifiques anglo-saxons qui « tirent les premiers ».

Ces pistes de recherche n’on guère été explorées et bien des théories fumeuses traînent sur le Web ou dans les cercles ésotériques para-médicaux. Il serait temps de mobiliser quelques chercheurs et médecins pour tenter une nouvelle compréhension sans préjuger d’une issue favorable dans le domaine thérapeutique. Comprendre ! Une quête humaine et un enjeu de civilisation. Les citoyens peuvent se lancer dans l’aventure et se mobiliser, ne serait-ce que pour partager les informations, mettre au courant leurs connaissances et proches, mettre en relation des acteurs pouvant participer à cette nouvelle aventure et bien évidemment, œuvrer pour lever quelques fonds. Cette recherche est en premier lieu théorique. Elle ne nécessite pas des moyens démesurés. Quelques millions d’euros, autrement dit, une paille par rapport aux quelque mille milliards, voire plus, investis dans la cancérologie depuis le plan Nixon. Il faut surtout des scientifiques ouverts aux percées théoriques non conventionnelles.

A vous de jouer, citoyens. Pour info, mon mail est accessible sur la fiche auteur et pour me croiser, je navigue dans la métropole bordelaise, terre pouvant accueillir un centre d’ontologie pour œuvrer dans ces voies nouvelles et libératrices pour la science, la médecine, le cancer et d’autres pathologies.


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