Il n’y a pas d’ondes gravitationnelles mais on peut voir les ondes gravito-quantiques
par Bernard Dugué
vendredi 12 février 2016
A peu près 100 % de la communauté des physiciens est persuadée que les ondes gravitationnelles ont été découvertes et que la théorie d’Einstein est confirmée avec la participation des trous noirs dans le cosmos. En bon Gaulois, je tiens bon et maintiens ce que j’avais annoncé auparavant, les ondes gravitationnelles n’existent pas. Et pour une bonne raison, l’espace-temps gravitationnel n’existe pas. Le seul espace est celui des ondes EM et c’est le même qui est parcouru par les neutrinos. Ce petit détail est essentiel comme on le verra. L’espace-temps qui relie les masses disposées dans le cosmos est fictif. C’est, comme le pensait Leibniz contre Newton, une étendue relationnelle mais pas physique.
On se demande alors ce qui a été observé. C’est en fait la réaction du dispositif matériel. L’interféromètre LIGO est composé de quatre miroirs dans lesquels des ondes cohérentes se propagent et au final, une infime fluctuation de la distance se retrouve sous forme d’une détection de différence de phase, ce qui permet d’avoir un signal sur la figure d’interférence. Maintenant, il faut élucider la cause de cette infime déformation qui a été constatée. Est-elle due à une infime fluctuation de l’espace ou à autre chose. Dans mon hypothèse, fondée sur l’esquisse de cosmonadologie quantique, il n’y a pas de déformation de l’espace mais un effet quantique lié à l’interaction entre les neutrinos et les éléments des miroirs qui sont matériels et qui obéissent aux règles des forces fortes et faibles. Le neutrino peut agir au niveau de la force faible et créer un effet de déphasage qui se transmet au dispositif et donne l’illusion d’une déformation de la distance. Ce processus est fondé sur la base d’un homomorphisme (entre SU(2) et SO(3)) qui suggère un couplage entre le processus faible associé à la jauge SU(2) et la genèse d’un élément d’espace lié à la jauge SO(3). L’effet de phase lié à la rotation SU(2) est modifié par le neutrino si bien qu’une altération se produit dans le signal propagé dans l’espace régi par SO(3) et qui est parcouru par les photons qui vont produire les figures d’interférences. Le détecteur LIGO a en fait détecté des neutrinos qui ont produit des ondes gravito-quantiques en interférant avec les miroirs matériels et leurs processus quantiques intimes. Ces ondes quantiques sont liées à la phase des processus matériels et non à une fluctuation des distances spatiales.
Maintenant, c’est vous qui voyez. Le bon sens laisse penser que la communauté des physiciens livre la bonne explication face à mon hypothèse qui non seulement est isolée mais émane d’un philosophe qui n’a pas la légitimité à interpréter les résultats et les théories de la physique. Mais je résiste avec mes convictions. Car j’ai une chance de pouvoir gagner cette partie. Il ne faut jamais laisser une chance de côté.
Et ces ondes gravito-quantiques, peut-on les voir ? Peut-être que oui. Je cite un article paru dans la revue Cerveau science conscience consacré à la cosmonadologie quantique et rédigé par mes soins. Je résume ma vision du monde. L’espace est le produit de la matière.
Comment appréhender la dynamique des ondes de gravité ? Par l’expérience intérieure. Car le principe de la cosmonadologie quantique, c’est de réintroduire le sujet et la conscience dans la physique et la dynamique. Cette nouvelle disposition ne doit pas être confondue avec les interprétations de l’expérience quantique qui nous enseigne que pour faire une mesure, il faut un système expérimental conçu à l’image d’une roulette de casino et que pour obtenir une mesure, il faut que la roulette soit lancée, ce qui signifie qu’on ne peut pas observer la nature quantique sans la modifier. De ce constat, d’aucuns en ont déduit sans précaution que la physique quantique explique la conscience. Ce n’est pas exact. La conscience repose sur la Gravité. En se plaçant par exemple face à un massif montagneux, on peut ressentir des sortes d’ondulations. La montagne en face semble s’éloigner et se rapprocher, comme si nous étions face à un miroir qui tremble. Cette expérience semble être en relation avec la dynamique du cosmos monadologique. Tout en appuyant l’énigmatique esthétique transcendantale du Kant dans laquelle la perception repose sur la rencontre de la matière sensible et de la forme intérieure de la subjectivité. La conception monadologique déborde même sur Kant. La forme intérieure est aussi dans la matière. L’étendue est au final le résultat d’une influence de toute la matière dans le cosmos. Ce qui constitue une extension inédite du principe de Mach, appliqué non seulement aux masses inertielles mais aux masses reliées à l’étendue et « façonnant » pour ainsi dire l’étendue.