Taverne

@mmbbb

En effet, il y a bien de l’intolérance dans la phrase : « Pour parler de liberté rien de pire qu’un macroniste... »

En ce qui me concerne, je débats avec les gens, qu’ils soient macronistes ou non macronistes (comme moi qui ai voté pour Fabien Roussel et me suis abstenu au second tour). 

@Daniel PIGNARD

Les gens qui ont de la raison et du cœur sont donc des « pleurnicheurs » et les bourreaux sont des héros glorieux et fiers : vive la virilité ? vive la guerre ? C’est là le discours répété par les admirateurs de la force brute, aveugle et cruelle.

Savez-vous que ces tyrans n’ont que faire de vous ? Les flatteurs sont à leurs yeux les gens les plus méprisables qui soient. Ils vous tueraient sans ciller comme une mouche qu’on « écrase comme une mouche » Poutine dont l’humanisme est légendaire. 

Affirmez qu’une chose est fausse est à la portée de n’importe qui : le prouver demande de l’honnêteté intellectuelle.

@Bernard Grua

Mais Poutine est déjà humilié. S’il était humble, les choses en iraient autrement car il n’aurait pas eu la prétention de prendre Kiev. 

Poutine ne montre aucune disposition au dialogue. Il fait un monologue mensonger pour les autres et pour lui-même et son peuple. L’humiliation de Poutine est inévitable par le fait même du choix qu’il a fait. 

La paix ne se construira pas sans la Russie.

Une Russie débarrassée de ses tyrans sanguinaires, agresseurs de leurs voisins mais aussi agresseurs de leur propre pays et assassins de leur(s) propre(s) peuple(s).

Macron a voulu dire par là qu’il se voulait le leader des négociations mais son esprit de « en même temps » sent trop la compromission. Les Etats-Unis ne sont pas les bons interlocuteurs ; ils sont trop idéologues, égocentrés et impérialistes. Reste l’Europe ? Ah, l’Europe ? Mais où est-elle ? Quelqu’un peut le dire ? Alors l’ONU ? (Cessez de rire, je vous en prie !)

Il ne faut pas humilier la Russie mais il faut humilier Poutine et ses comparses. Difficile équation. 

Mes félicitations, Guy, pour cette médaille d’or

Tu n’as pas fait les choses à moitié pour cette moitié de siècle vécu en commun et pour ta moitié qui n’est pas la moitié d’une femme. 

« Qui se ressemble s’assemble » me semble davantage s’appliquer à l’amitié. « Les contraires s’attirent », ce serait plus pour les passions fortes et parfois dangereuses. Dans le mariage, chacun est la moitié de l’autre et il y a là une troisième idée : celle de complétude et du besoin réciproque qui trouve à se satisfaire au mieux qu’il peut. 

Le plus beau, c’est que cette médaille d’or a été gagnée à deux. C’est l’esprit d’équipe : rien de plus beau.