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Aristide

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  • Premier article le 31/10/2018
  • Modérateur depuis le 05/06/2019
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Derniers commentaires



  • Aristide Aristide 11 juillet 11:18

    @colibri

    c’est exactement le contraire de metoo ,
    puisque c’est justement au nom de la liberté de disposer de son corps que les abus dénoncés par metoo ont pu advenir :

    Assez bizarre raisonnement, la liberté de disposer de son corps n’est en aucun cas le droit donné à des tierces personnes d’en disposer comme elles le souhaitent. Je ne comprends pas comment on peut faire porter la responsabilité à cette liberté individuelle de disposer de son corps, des abus que d’autres commettent.

    Metoo c’est le procès des abuseurs de tous niveaux , qui se servent de l’emprise pour dominer ...

    Non, Metoo n’est pas un procès, c’est une dénonciation publique de faits délictueux ou criminels. Un procès suppose un acte délictueux ou criminel avéré déclaré à la justice, une instruction qui aboutit ou pas à une mise en accusation, une victime identifiée plaignante, un accusé mis en cause (et innocent jusqu’à la condamnation). C’est l’honneur de notre justice de ne condamner qu’à l’issue d’un procès durant lequel toutes les parties pourront s’exprimer.

    Cela n’enlève rien au bénéfice apporté par Metoo au caractère de libération de la parole des personnes abusées, et par conséquence de la prise en compte plus importante, par la justice, des faits dénoncés.

    Mais il ne faut pas substituer à la justice une autre manière de condamner. Même si ces personnes accusées ne méritent après le jugement aucun respect, je crois qu’il nous appartient à nous de respecter nos lois et surtout ne pas substituer à la justice des dispositifs où la défense est impossible. 



  • Aristide Aristide 10 juillet 14:29

    Le droit de disposer de son corps est un droit inaliénable, « Meeto » a contribué à le faire savoir et à libérer la parole. En cela, il faut s’en féliciter...

    Là, où cela devient difficile, c’est quand il y a des suites judiciaires. Il me semble qu’arguer comme le disent souvent certains et certaines défenderesses de ce droit que « on vous croit », c’est une atteinte à la présomption d’innocence qui est à la base de notre droit.

    La charge de la preuve est une des bases de nos procédures judiciaires, et heureusement, on ne demande pas aux accusés de démontrer leur innocence, il s’agit de démontrer la culpabilité. La difficulté est facilement compréhensible quand on sait que fréquemment ces affaires sont anciennes et qui plus est dans un cercle privé.

    La parole de la victime face à la parole du mis en cause ? N’est-ce pas la limite d’un tel mouvement…



  • Aristide Aristide 10 juillet 12:00

    @pemile

    Bienvenu au club, prenez cela pour une éloge ...



  • Aristide Aristide 10 juillet 11:56

    @rosemar

    Remarque des plus désobligeantes, mais l’affubler de caractère sexiste au seul prétexte de votre genre est assez farfelu. Peut-on critiquer une femme sans en être obligatoirement accusé ?



  • Aristide Aristide 10 juillet 11:16

    @Fergus

    Vous devriez répondre à cet expert en radicalité qu’un grand politicien, oui, oui, disait :
        « Ce n’est pas la girouette qui tourne c’est le vent. »  Edgar FAURE répndait à un qui le traitait de girouette. Sa vie politique a été dirigé par la seule ambition d’aider son pays sur la base de « majorité d’idées » ...

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