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Aristide

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  • Premier article le 31/10/2018
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Derniers commentaires



  • Aristide Aristide 11 juillet 14:09

    @La voix de Kali, colibri, Zenzoe et Fergus

    Afflubler « les » femmes de tels défauts liés à leur genre est ... surprenant.

    Il me semble que comme chez les hommes, la personnalité propre, son histoire, son éducation, son « savoir-faire » et son « savoir-être », sa sensibilité…, enfin tout ce qui fait ce que l’on est, est surement plus important dans son comportement social que le seul fait d’appartenir à un genre.

    Qu’il existe des différences genrées, comme on dit, est une évidence, mais de là à mettre tout le monde d’un genre donné dans le même sac !!!

    Il me parait sur ce sujet des violences faites aux femmes, il existe une vraie différence souvent plus liée à l’age et l’éducation qu’au fait d’être femme ou pas… Je ne crois pas une minute à cette « concurrence » féminine qui expliquerait tout…

    Zenzoe écrit : « D’ailleurs, toute femme ayant travaillé dans un environnement 100% féminin, me comprendra. C’est l’enfer des mauvaises langues et des coups bas. »

    Je répondrai simplement « D’ailleurs, tout homme ayant travaillé dans un environnement 100 % masculin, me comprendra. C’est l’enfer des mauvaises langues et des coups bas. » Et même des coups tout-court.

    Peut-être que le milieu du travail, sa concurrence, sa dureté est surement plus en cause que le genre des personnes…



  • Aristide Aristide 11 juillet 13:53

    @Fergus et pemile

    On ne peut nier les avancées incontestables de Metoo sur la libération de la parole des victimes de délits et de crimes sexuels et surtout la bien meilleure prise en compte par notre justice et police de ces faits qui souvent étaient négligés ou pire ignorés.

    Il n’en demeure pas moins, que Metoo ne doit, en aucun cas se substituer à la justice. La dérive de certains arguant que sur la seule base de la parole libérée, « on vous croit » est un « déni de justice » pour les mis en cause et une remise en question de la présomption d’innocence.

    C’est à la justice de condamner... et seulement à elle.



  • Aristide Aristide 11 juillet 11:18

    @colibri

    c’est exactement le contraire de metoo ,
    puisque c’est justement au nom de la liberté de disposer de son corps que les abus dénoncés par metoo ont pu advenir :

    Assez bizarre raisonnement, la liberté de disposer de son corps n’est en aucun cas le droit donné à des tierces personnes d’en disposer comme elles le souhaitent. Je ne comprends pas comment on peut faire porter la responsabilité à cette liberté individuelle de disposer de son corps, des abus que d’autres commettent.

    Metoo c’est le procès des abuseurs de tous niveaux , qui se servent de l’emprise pour dominer ...

    Non, Metoo n’est pas un procès, c’est une dénonciation publique de faits délictueux ou criminels. Un procès suppose un acte délictueux ou criminel avéré déclaré à la justice, une instruction qui aboutit ou pas à une mise en accusation, une victime identifiée plaignante, un accusé mis en cause (et innocent jusqu’à la condamnation). C’est l’honneur de notre justice de ne condamner qu’à l’issue d’un procès durant lequel toutes les parties pourront s’exprimer.

    Cela n’enlève rien au bénéfice apporté par Metoo au caractère de libération de la parole des personnes abusées, et par conséquence de la prise en compte plus importante, par la justice, des faits dénoncés.

    Mais il ne faut pas substituer à la justice une autre manière de condamner. Même si ces personnes accusées ne méritent après le jugement aucun respect, je crois qu’il nous appartient à nous de respecter nos lois et surtout ne pas substituer à la justice des dispositifs où la défense est impossible. 



  • Aristide Aristide 10 juillet 14:29

    Le droit de disposer de son corps est un droit inaliénable, « Meeto » a contribué à le faire savoir et à libérer la parole. En cela, il faut s’en féliciter...

    Là, où cela devient difficile, c’est quand il y a des suites judiciaires. Il me semble qu’arguer comme le disent souvent certains et certaines défenderesses de ce droit que « on vous croit », c’est une atteinte à la présomption d’innocence qui est à la base de notre droit.

    La charge de la preuve est une des bases de nos procédures judiciaires, et heureusement, on ne demande pas aux accusés de démontrer leur innocence, il s’agit de démontrer la culpabilité. La difficulté est facilement compréhensible quand on sait que fréquemment ces affaires sont anciennes et qui plus est dans un cercle privé.

    La parole de la victime face à la parole du mis en cause ? N’est-ce pas la limite d’un tel mouvement…



  • Aristide Aristide 10 juillet 12:00

    @pemile

    Bienvenu au club, prenez cela pour une éloge ...

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