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Claude Courty

Claude Courty


Franc-tireur de la pensée libre. Lanceur d'alerte démographique.
Humaniste rationaliste, dénataliste ; chercheur indépendant en sociologie, agnotologie, écologie, pauvrologie.
Fondateur de la “Pyramidologie sociale”.
Les certitudes sont les vérités des sots, dont chacun porte sa part selon sa crédulité et sa liberté de pensée ; les pires de ces certitudes étant érigées en dogmes, dans le déni de réalités factuelles et chiffrables concernant les fondamentaux de la condition humaine, pourtant accessibles au premier venu. C'est ainsi que d’une extrême à l’autre, l’immense majorité des croyances, doctrines et idéologies dans lesquelles baigne l’humanité, s'obstinent dans la poursuite de ce déni de réalité.
Pour me joindre : Formulaire de contact figurant en bas de la page d'accueil du blog 
https://pyramidologiesociale.blogspot.com/ ou en commentaire des articles qui y sont publiés.

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  • Premier article le 02/09/2011
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Derniers commentaires



  • Claude Courty Claudec 1er septembre 2011 09:49

    Mille ... excuses s’il y a lieu

    Y-a-t-il réellement besoin d’être un psychiatre renommé ou éminent représentant d’un parti politique pour penser que DSK est malade, que ce soit mentalement ou sexuellement ? (pour autant qu’il y ait différence) Si tel est le cas, nombreux sont ceux qui lui doivent des excuses. Car oui, bien naïvement, il a pu sembler au vulgaire qu’un individu, fut-il Directeur Général du FMI et candidat (supposé) à la présidence de notre république, se laissant aller à souiller de son sperme la moquette d’une chambre d’hôtel et le chemisier d’une femme de chambre (au charme très relatif, sans vouloir vexer ni celle-ci ni celui-la, ce qui, au passage cadre bien peu avec une supposée abominable machination), a ce qui s’appelle en langage populaire, « pété un câble ». Expression dont l’intéressé lui-même aurait usé pour expliquer, voire excuser, son inconduite à la mère d’une autre jeune femme ayant fait l’objet de ses désirs, alors aussi prémédités qu’ irrépressibles. Et il semblerait que d’autres représentantes du beau sexe aient eu à se plaindre d’un comportement sexuel plus brutalement instinctif qu’amoureux de sa part. L’amour-vache existe et il est même des femme qui en redemandent paraît-il, mais en l’occurrence, est-il tellement déraisonnable de penser à ce qui serait plutôt une absence de contrôle de ses pulsions par un nouveau père Dupanloup ? Se refusant en tout cas à croire en un simple exercice du droit de cuissage réputé aboli, le bon peuple se pose la question : Cela se soigne-t-il ? Du traitement à la maladie il n’y a qu’un pas et il peut d’ailleurs se souvenir, pour s’aider à le franchir et étayer son raisonnement primaire, du bon vieux temps où du bromure était administré à la soldatesque pour réfréner ses ardeurs sexuelles. Dans sa logique ignare, il pense que si le Viagra existe il doit bien exister son contraire.

    D’accord, secret médical et vie privée obligent. Oui mais voilà, d’une part le vulgum pecus n’est pas médecin et d’autre part un homme public doit s’attendre à être traité publiquement, surtout lorsque se croyant tout permis il se laisse aller à agir avec aussi peu de discrétion.



  • Claude Courty Claudec 24 août 2011 18:05
    Hors droit et sémantique, en politique tout est permis, c’est bien connu, et il est donc probable que DSK reprendra ses péroraisons sous peu. Mais il est tout de même ahurissant de constater à quel point les fondamentaux d’une idéologie qui, pour aussi stérile et destructrice qu’elle ait pu se révéler au cours de l’histoire - et pas seulement en France -, peuvent être balayés d’un revers de main, pour tenter de donner un reste de lustre à un leader défaillant. C’est oublier un peu vite que seule la nécessité et la pâleur de ses compétiteurs au sein du parti dont il se réclame, ainsi que leur compréhension, allant bien au-delà de la tolérance lorsqu’elle s’applique à ses membres, lui vaut de tels égards.
    Quant à sa compétence, qui suffirait paraît-il à l’exonérer de ses turpitudes, il serait bon que ceux qui y trouvent l’excuse d’une faiblesse intellectuelle les entraînant jusqu’à renier sans vergogne leurs principes, en donnent quelques exemples plus probants que les rodomontades habituelles d’un politicien comme beaucoup d’autres, dont le principal mérite est d’avoir su profiter de l’agitation d’un parti pour y faire son trou, comme n’importe quel rat dans n’importe quel fromage de rencontre ; ce en quoi il n’est d’ailleurs pas le premier.
    Il n’en demeure pas moins qu’à la lumière glauque d’évènements honteux, une fortune de gauche aura illustré sans vergogne les abus de pouvoir d’un argent que cette même gauche prétend combattre.
    S’il est vrai que la semence répandue sur une moquette dans un moment d’égarement peut être lavée sous un flot de dollars, il reste à espérer qu’il en reste assez pour qu’en naissent enfin ces saines réactions dont la politique à grandement besoin.
    Et les droits de l’homme dans tout ça ? qu’en est-il dans une affaire où la réputation (fondée ou non) de la plaignante dispenserait le présumé coupable d’un procès ? Il est proprement sidérant qu’aucun des braillards habituellement si prompts à dénoncer le moindre manquement en la matière se taisent comme ils le font. Tant il est vrai que leur souci de la présomption d’innocence peut se plier à quelques complaisances.
    Et pour finir, merci Mme Buffet. Je ne suis pas communiste mais, sans s’arrêter à votre inspiration plutôt féministes, saluons vos propos dénonçant la satisfaction sans retenue affichée par les leaders socialistes à l’annonce de l’abandon des poursuites contre leur sauveur déchu.


  • Claude Courty Claudec 22 août 2011 08:54

    DSK - Quels seront les effets de sa semence ?

    En politique tout est permis, c’est bien connu, mais il est tout de même ahurissant de constater à quel point les fondamentaux d’une idéologie qui, pour aussi stérile et destructrice qu’elle ait pu se révéler au cours de l’histoire - et pas seulement en France -, peuvent être balayés d’un revers de main, pour tenter de donner un reste de lustre à un leader défaillant. C’est oublier un peu vite que seule la nécessité et la pâleur de ses compétiteurs au sein du parti dont il se réclame, ainsi que leur compréhension, allant bien au-delà de la tolérance lorsqu’elle s’applique à ses membres, lui vaut de tels égards.

    Quant à sa compétence, qui suffirait à l’exonérer de ses pires travers, il serait bon que ceux qui y trouvent l’excuse d’une malhonnêteté intellectuelle les entraînant jusqu’à renier sans vergogne leurs principes, il serait bon d’en donner quelques exemples plus probants que les rodomontades habituelles d’un politicien comme beaucoup d’autres, dont le seul mérite est d’avoir su profiter de l’agitation d’un parti pour y faire son trou, comme n’importe quel rat dans n’importe quel fromage de rencontre ; ce en quoi il n’est d’ailleurs pas le premier.

    Il n’en demeure pas moins qu’à la lumière bien glauque d’évènements trop connus, une fortune de gauche illustre les abus de pouvoir d’un argent que cette même gauche prétend combattre.

    S’il est vrai que la semence répandue sur une moquette dans un moment d’égarement peut être lavée sous un flot de dollars, il reste à espérer qu’il en reste assez pour qu’en lève enfin ces saines réactions dont la politique à grandement besoin.



  • Claude Courty Claudec 21 août 2011 08:30
    Si demain 23 août le procureur de NY venait à abandonner ses poursuites, il nous faudrait bien collectivement admettre que le sperme d’une certaine élite, socialiste en l’occurrence, ne saurait faire tache sur la vérité ; sans prétendre à une justice dont nous ne saurions peut-être jamais si le temps, aidé par l’argent - celui-ci permettant comme chacun sait de s’offrir celui-là - a joué pour ou contre elle.


  • Claude Courty Claudec 20 août 2011 10:13

    Savoureux article. Bravo

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    @Tall
    « ... Un mec de 62 ans, marié, contre qui jamais aucune femme n’a porté plainte de toute sa vie, ... »
    Voilà qui relève d’un autre logique poussant un peu loin la présomption d’innocence ; car s’il suffit que nul n’ait jamais porté plainte contre lui pour innocenter un présumé coupable, que d’erreurs judiciaires ne se commet-il pas à longueur de temps ! 
    Sans compter d’autres faits avérés et la connaissance qu’avaient les amis et relations de DSK d’un tempérament qui aurait du les porter à lui conseiller le bromure plutôt qu’à en faire servilement leur référence. Même s’il est vrai que faute de mieux ...

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