Je pense que vous confondez l’instant de la marche du 11 janvier 2015, qui pour moi était un « acte de guérison collectif », avec la récupération politique et médiatique de ces évènements faite par la suite.
L’article est centrée sur la question du trauma et de son utilisation pour influencer une société. Il me semble en effet que ces attaques (au-delà du débat sur ses instigateurs) visaient à diviser la population française, comme un choc peut amener au morcellement du psychisme. Ca c’est le fond de l’article.
Cependant, peut-être n’ai-je pas été assez clair dans mes propos. J’en prends notes pour la suite.
La question de la récupération par des réseaux de pouvoirs occidentaux est évoquée dans cet article au travers de la référence à la Stratégie du choc.
Pour ma part, j’ai désiré me concentrer sur la description d’une journée, d’un instant de communion, ou quelque chose m’a paru se passer, même s’ il existe mille raisons d’être pessimiste et qu’il ne s’agit pas de faire preuve de naïveté, je suis d’accords avec vous.
Le p’tit Charles,
Avez-vous participé à cette marche ?
Certains étaient peut-être en mode « zombie » (et après tout quelle est le problème, les zombies ont le droit de vivre), mais il me semble que ce serait voir un peu le monde en noir et blanc alors qu’il est en couleur. Par ailleurs, on peut participer à des manifestations de masse sans perdre son identité et se comporter en « zombie », c’est même une sacrée preuve de force intérieure il me semble.
Certains dans la dissidence sont aussi des « zombies » suiveurs ; l’autre face d’une même pièce. Il faut en avoir conscience je crois.