Le poète allemand Holderlin fait dire à l’un de ces personnages poétiques : « Là où se trouve le danger, ce qui peut sauver prend racine. Mais à quoi servent les poètes en temps de détresse ? Mais ils ne sont rien d’autre que les précurseurs. » C’est de là que vient l’affirmation de heidegger « Seul un Dieu peut encore nous sauver » et pas « Seul Dieu peut encore nous sauver »
Et voici maintenant ma façon de voir de voir les choses, tout en s’essayant d’user quelque peu de certaines catégories de pensée heidggeriennes.
Pour comprendre le virage existentiel actuel de notre monde et ainsi voir mieux les ressorts de la contradiction :1.] conservatisme en pleine révolution technologique en général et de la cognition artificielle en particulier. 2.] L’union idéologique, stratégique et tactique de l’extrême-droite, originellement la plus judéophobe, comme il est le cas par exemple des évangélistes américains et des lépénistes français et leurs clones, avec le sionisme et son porteur Israel. Les mots-phares à retenir sont : 1.] la déspiritualisation du monde qui n’a rien à voir avec l’irréligion, l’organisation religieuse quelle qu’elle soit étant elle-même partie prenante de ce ttournant « maléfique » et de la « perversité » acceptée et assumée avec moults justifications de tous ordres. et 2.] L’authenticité se transformant par son déploiement collectif en levier de transformation salutaire du monde.Soit un segment à longueur indéfinie dont il lui est assigné par convention un point pris comme milieu, dont prennent le départ de manière opposée 2 curseurs, l’un vers une direction appelée être et l’autre nommée Esprit de l’univers /multivers. Ce point du milieu, départ des curseurs symbolise l’adhérence complète de l’esprit de l’univers/multivers et du non-être du monde ; ce point focal est le royaume de la modalité humaine unifiée du non-être dans l’esprit de la création. Le curseur 1 de l’être du monde, en se déplaçant en sa direction Y fait déplacer en sens inverse à une vitesse un peu supérieure, dans une direction Z, le curseur 2 de l’Esprit. En se mouvant vers sa direction Y tout en se dégageant de ce point-milieu focal, le non—être s’éteint et l’esprit de l’univers se détache au fur et à mesure du déplacement du curseur 1. Commence alors à éclore la dichotomie de l’étant et de l’être. L’être va alors consacrer tout son effort à vouloir comprendre et joindre les étants, phase qui lui fait oublier l’esprit et chemin faisant, s’ouvre un processus croissant de déspiritualisation de l’être au monde. En cette circonstance, des forces « maléfiques », si ce n’est « sataniques », mais créatives, opératoirement intelligentes et à subtiles manifestations de par la prégnance intégrale d’un système social « totalitaire » idéellement et à gouvernance autoritariste à fondamentaux le conceptuel scientifique et d’ingénierie d’un côté, et de réalisation matérielle technologique//technique de l’autre, trainent l’existence vers le seul levier de la volonté de puissance à base du du fric-dieu, de l’apparat et de la marchandisation de toute chose, de la pensée mutilée et de la soft propagande pour soumission au mainstream idéologique et politique.Ils prennent le dessus sur les forces de l’authenticité, et au fur et à mesure que le temps passe et que les curseurs avancent, ils dictent de plus en plus au monde leurs règles du jeu, comme il en est aujourd’hui. La disponibilité dont parle Heidegger philosophiquement, qui est aujourd’hui à puissance infinitésimale peut se fortifier par un retour du curseur 1 vers le milieu du segment. Ce retour ne peut être assuré que par l’homme via de ceux qui aspirent à l’authenticité de l’être, étape primordiale et nécessaire pour pouvoir tendre à atteindre, le point focal du non-être. Ce n’est pas le créateur qui fait les préliminaires et quelques liminaires pour se sortir des ténèbres, mais bel et bien l’homme. Une fois enclenchée cette phase du reflux du « satanique », une onde de « grâce » enveloppe le monde, et le créateur accourt « à grandes enjambées » pour rapprocher un grand nombre d’hommes de l’authenticité vers le point focal, et ainsi inverser le cours de l’existence humaine vers plus de bénédiction, de compassion et de miséricorde. C’est, me semble t-il, en ce sens que l’exclamation de Holderlin reprise à sa manière par Heidegger : « seul un dieu peut encore nous sauver », peut-être appréhendée. D’ailleurs, ils ne sont pas les seuls à être arrivés à cette halte.
@cleroterion, auteur de l’article _ Pourquoi avez— vous supprimé mes 3 ou 4 commentaires et l’un de vos post encensant l’un de mes posts ? Même si un hacker a pu les supprimer, ça ne pouvait pas passer inapercu par vous. Eh bien expliquez-moi cette ignominie parce que mes posts étaient dans le respect de la ligne éditoriale standard dans tout magazine qui se respecte. Réparer cette suppression en faisant republier lesdits commentaires dont les copies sont stockés en cache dans le serveur agoravox, et dont vous avez la main concernant votre publication.
@Spartacus Lequidam _ Le terrorisme islamiste et le DAECH//ISIS fabriqués par le trio « diabolique » conglomérat sioniste anglo-americano-israélien a pour ascendants les différents groupes terroristes sionistes de l’avant création du DAECH sioniste, l’Etat d’Israel. Pour votre édification morale par de l’histoire des faits historiques et seulement des faits historiques : I.] https://ihr.org/book_online/ztn-html II.] https://ihr.org/journal/v13n4p29_weber-html
Les juifs, aujourd’hui israéliens, vivront en paix et en toute quiétude parmi les arabes et les non-arabes,
qu’ils soient chrétiens ou musulmans, qu’à partir du jour où ils
s’éveilleront de leur ignoble forfairture vis-à-vis d’un peuple digne et
enraciné de toutes ses tripes à ce terroir qu’est la palestine. Une
seule terre la palestine mais où vivront en bonne intelligence des
arabes et non-arabes chrétiens et musulmans et des juifs ayant réglé
leurs comptes avec une idéologie de la discrimination raciale et
religieuse et de la haine gratuite, qu’est le sionisme.
Il ne peut être envisagé rationnellement et équitablement aucune autre
issue valable et pérenne, que si l’on veuille continuer à faire valoir l’injustice
et la domination la plus abjecte.