Peachy Carnehan

On trouve trace de ma famille dans ce pays depuis l’an mille et pourtant je honnis cette France Sarkozyste, ultralibérale, inégalitaire, violente, vulgaire, sans culture et sans Lumières.

Qu’un immigré hongrois de deuxième génération, un arrivant récent, ose me dire « que ceux qui n’aiment pas la France ne se gênent pas pour la quitter », c’est avoir un sacré toupet.

De par sa famille venue d’horizons lointains, de par son cursus scolaire déplorable, ce cancre ignore tout de l’histoire de France. Et je n’évoque même pas ce que représente dans son esprit nos provinces et nos campagnes : « la terre c’est sale, hein ! »

Il n’est juste pas qualifié pour nous parler de ce pays qui a eu la gentillesse d’accueillir son papounet en 1945.

En cas de franchissement du « point de non retour » il restera toujours aux états la possibilité d’employer des mesures radicales. Nationalisation des banques de dépôt et expropriations de leurs homoloques d’investissement.
Mais comme vous le dites justement, cela nécessiterait un courage politique que nos dirigeants actuels n’ont pas.

Bien sûr qu’il est vivant !

En avril 1945 il a fuit Berlin puis a changé de nom, fait de chirurgie esthétique, et s’est installé en France. Il paraît même qu’il serait membre du gouvernement actuel.

Ministres, journalistes. Tous des lâches, tous des pleutres.
« Pays de cons », disait la marionnette de Jospin.

Depuis le Grenelle de l’Environnement je me demande vraiment ce qu’elle fait dans ce gouvernement de hargneux. Et je pense avoir la réponse. NKM, l’écolo, la progressiste, avale des couleuvres à la louche pour faire appliquer par la droite des mesures étrangères à son logiciel idéologique. Zébulon le sait très bien, la protection de l’environnement, les libertés numériques, sont antinomiques avec un projet politique « réactionnaire-néolibéral » de droite qui privilégiera toujours, par nature, par essence, la rentabilité, l’argent, et la répression à tout-va. Le rôle de NKM semble consister à humaniser - un peu - cette chose effroyable qui s’appelle l’UMP.

Pour le reste, elle siège tout de même au conseil des Sinistres en compagnie de Sarkozy, Besson, Hortefeux et le reste de la bande des affreux.

La belle et les bêtes...