@Gcopin Vous me dites que je suis idiot, c’est une chose, je vous répondrai que vous êtes un tantinet agressif, mais malhonnête, par contre, j’aimerais bien que vous me disiez en quoi.
Je ne fais pas un brûlot contre le véganisme ni un plaidoyer pour le droit à dévaloriser les autres espèces, je m’interroge seulement sur les fondements de l’antispécisme.
Vous me parlez d’écraser les pâquerettes, mais est-ce que j’en parle moi ? Il y a des débats sur le fait de savoir si on peut être végétarien et manger des huîtres ou des moules, par exemple.
L’auteur de cet article s’est fait sévèrement critiquer par les vegans les plus stricts ( et il n’est pas le seul ) Donc oui, je pense que la question mérite d’être posée. Où se situe la frontière ?
Vous parlez de la souffrance, de la conscience, très bien, je prends note, mais c’est précisément la conclusion de mon article - qui n’a pas l’air de vous plaire - que de dire que ce sont ces critères en particulier - spécistes si on considère qu’ils ne sont pas partagés par tous les animaux - qui demandent un changement des rapports Hommes / Animaux.
@charlie Oui mais justement le mouvement antispéciste se fonde précisément sur l’absence de hiérarchisation puisque c’est sur la base de celle-ci que l’Homme se place au sommet. Le but des antispécistes est donc d’effondrer cette pyramide.
Tous les mouvements de défense des animaux partent néanmoins de la révolte devant les conditions faites aux animaux d’élevage, de laboratoire et de cirque, et donc essentiellement il s’agit de grands mammifères. Le paradoxe c’est que pour défendre ceux-ci on invente une éthique qui va les mettre sur le même plan que les insectes, les mollusques, etc...