Deux commentaires pleins de bon sens et reposant sur une logique imparable mais à mon avis trop complexe (la logique, pas les commentaires [sinon j’aurais accordé au pluriel mais ça non plus tout le monde ne l’aurait pas remarqué]) pour un grand un grand nombre des visiteurs de ce site.
Surtout que tous ici ne maîtrisent pas les subtilités du gambit et ne pensent pas immédiatement aux échecs quand on leur parle de « fourchette » (et encore moins avec « enfilade » )
Et puis, est-ce que j’ai dit que le système était juste ?
Ni qu’il était facile pour les mômes de sans dent de poursuivre des études supérieures et qu’ils avaient les mêmes chances de réussite que les fils à papa.
Non, j’ai écrit l’inverse.
Mais alors, il faut être cohérent.
Je ne suis pas un bisounours et je sais bien que tous les étudiants en grève n’ont pas que des motivations « pures ».
Idem pour les cheminots.
Mais si le système est injuste comment tu peux espérer le voir changer sinon par des grèves et des blocages ?
Car que je sache, c’est plutôt les gosses de riches qui ont intérêt à ce que le système perdure et qui râlent qu’ils sont empêchés d’étudier touçatouça.
Et comme ils n’ont pas les couilles d’aller se bâstoner eux-mêmes avec les « contestataires », ils « délèguent » la mission aux bas du front, véritable idiot utile et « bras armé » de l’oligarchie.
Mais voilà, Grandgil il bade l’extrême droite et ses milices qui vont casser du gaucho.
Du coup, la cohérence, chez lui, il faut la chercher ailleurs.
T’as avalé un clown ou tu suis des cours par correspondance avec A. Tsamere ?
Et puis je te le redis : apprends à lire :
Où a tu vus que j’aurais écrit ça ?
« parler des privilégiés c’est de la jalousie, »
Ton problème c’est que quand tu lis « blanc » tu comprends « gris » et tu interprètes « noir ».
Bon, maintenant excuse-moi, mais comme tu ne réponds jamais sur le fond ou alors avec la mauvaise foi la plus absolue, je vais te laisser avec ta haine des autres et tes certitudes.
« Et mieux vaut, tout de même, une sélection organisée en fonction des capacités des étudiants qu’une sélection aveugle... »
Voui, voui.
Et mieux vaut le choléra que la peste.... tout de même (version rosemarienne de « quand même », ce classique de la « pollution verbale »*)
Autant dire que ce n’est pas sur cette éminente professeurE de langue française qu’il faut compter pour débarrasser vos jolies têtes blondes de ces « tics de langage »)
* Pollution verbale (définition perso) : locutions parasites employées « à l’insu du plein gré » qui minimisent ou dévalorisent la portée d’un propos.
Ex : je suis un tout petit peu plus intelligent que rosemar, quand même. (vous fâchez pas rosemar, c’est juste* de l’humour....... quoi que.)