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Soi même

Soi même

Vrai, bon et utile : les trois tamis de Socrate
Un jour, quelqu'un vint voir Socrate et lui dit :
- Écoute, Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit.
- Arrête ! interrompit l'homme sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis ?
- Trois tamis ? dit l'autre rempli d'étonnement.
- Oui, mon bon ami : trois tamis. Examinons si ce que tu as à me dire peut passer par les trois tamis. Le premier est celui de la vérité. As tu contrôlé si tout ce que tu veux me raconter est vrai ?
- Non, je l'ai entendu raconter et...
- Bien, bien. Mais assurément tu l'as fait passer au travers du deuxième tamis. C'est celui de la bonté. Ce que tu veux me raconter, si ce n'est pas tout à fait vrai, est-ce au moins quelque chose de bon ?
Hésitant, l'autre répondit :
- Non, ce n'est pas quelque chose de bon, au contraire...
- Hum ! dit le sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s'il est utile de me raconter ce que tu as envie de me dire...
- Utile ? Pas précisément...
-Eh bien ! dit Socrate, si ce que tu as à me dire n'est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseille de l'oublier.

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Derniers commentaires



  • Soi même Soi même 21 décembre 2012 15:37

    C’est une boite de Pandore toute cette affaire !

    « Après que Prométhée est fait l’erreur de donner aux hommes le feu sans l’autorisation de Zeus, celui-ci décide de donner une bonne leçon aux hommes. Ainsi il créa la toute première femme : Pandore. Et tout les Dieux se mirent à la tâche pour créer la créature la plus parfaite et belle qu’il soit. Héphaïstos la sculpta dans de l’argile, Athéna lui donna la vie et l’habileté, Aphrodite lui légua la beauté, Héra la curiosité et la jalousie, Hermès le mensonge et la persuasion et enfin Apollon le talent musical. Ainsi créée, Zeus donna à Pandore une mystérieuse boîte qu’elle devait protéger mais en aucun cas l’ouvrir. Puis il offrit cette merveilleuse jeune femme à Epiméthée qui l’épousa. Quelques temps plus tard, Pandore fut piquée par la curiosité à tel point qu’elle ouvrit la boite interdite. Ce fut le geste fatal par excellence puisque de cette boîte s’échappèrent la maladie, la vieillesse, la guerre, la folie, le vice, la famine, la misère, la tromperie, la passion et l’espérance. Paniquée Pandore tenta de refermer la boîte tant bien que mal mais il était trop tard, tout les maux de l’humanité s’abattirent sur les hommes. Seule l’espérance resta au fond de cette boite. »



  • Soi même Soi même 21 décembre 2012 15:26

    Terrifiant c’est engouent pour une civilisation qui n’avait pas peur de faire couler le sang pour des cérémonies religieuses ?

    « Pour les Mayas, le sacrifice sanglant était nécessaire à la survie tant des dieux que des humains, faisant monter l’énergie humaine vers le ciel et recevant en retour le pouvoir divin. Le roi se servait d’un couteau d’obsidienne ou d’un aiguillon de pastenague pour s’entailler le pénis, dont il laisser couler le sang sur du papier contenu dans un bol. Les épouses des rois prenaient aussi part à ce rite en tirant une corde hérissée d’épines à travers leur langue. On faisait brûler le papier taché de sang, et la fumée qui s’en élevait établissait une communication directe avec le Monde céleste.

    La coutume voulait que les prisonniers, les esclaves, surtout les enfants et notamment les orphelins et les enfants illégitimes que l’on achetait spécialement pour l’occasion, soient offerts en sacrifice. Avant l’ère des Toltèques, on sacrifiait plutôt les animaux que les humains - dindons, chiens, écureuils, cailles et iguanes étant les espèces jugées dignes d’être offertes aux dieux mayas.

    Les prêtres recevaient, pour effectuer les sacrifices humains, l’aide de quatre hommes âgés appelés chacs, en l’honneur du Dieu de la Pluie du même nom. Ces hommes tenaient les bras et les jambes de la victime offerte en sacrifice tandis qu’un autre officiant nommé Nacom lui ouvrait la poitrine. Un chaman nommé Chilam assistait aussi à la cérémonie et recevait, pendant qu’il était en transe, des messages des dieux dont les prophéties étaient interprétées par l’assemblée des prêtres.

    Les spectacles publics de danse et de théâtre rituels, où les rois et les nobles étaient transformés en dieux en entrant dans une transe visionnaire, étaient d’autres moyens de communication avec le monde des esprits. Ponctués de chants, de musique instrumentale, couverts par les cris et les railleries des milliers de personnes venues y assister, ces rites réaffirmaient le pouvoir du roi d’être le réceptacle de pouvoirs surnaturels au profit de son peuple. »

    http://www.obseques-liberte.com/rites-funeraires/mayas.htm



  • Soi même Soi même 21 décembre 2012 15:17

    Pour la viande Made in France, un éleveur Italien peut très bien labellisé sa viande, il suffit de faire traverser son troupeau la frontière et de le conduire à l’abattage, pour ressortir avec le label, Made in France !



  • Soi même Soi même 21 décembre 2012 15:09

    Eh non mon brave Monsieur, ce sont des tentations, ce qui est attendus actuellement c’est l’incarnation du grand magicien, le faiseur d’illusion, celui qui inspire les homme à transformé les cailloux en pain !

    A lire un récit écrit en 1900 par Vladimir Soloviev.

     http://bibliotheque-russe-et-slave.com/Livres/Soloviev%20-%20L%27Antechrist.htm



  • Soi même Soi même 21 décembre 2012 13:08

    il y a un bémol à tous cela, la date réel de départ de tous ses calendriers nous aient inconnus !

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