je suis la maman d’un petit garçon qui a eu de gros problèmes de TOC - les symptômes ont commencé 15 jours après la prise d’un traitement antibiotique en intra-veineuse et par comprimés suite à une piqure de tiques. Mon fils avait un terrain anxieux mais sans manifestations inquiétantes. A la suite de ces articles, je réalise qu’il mangeait beaucoup de céréales au petit déjeuner, du lait en quantité et des barres de céréales car très sportif, « il fallait tenir le coup ». A l’époque je ne savais pas que le sucre n’était pas bon, par contre j’ai beaucoup culpabilisé car on nous rendait responsables de ce qui arrivait à notre enfant. Son état a été grave au point de nécessiter une hospitalisation. Aujourd’hui il va bien, n’a plus de TOCS ni de traitement bien sûr. Que s’est-il passé pour que les choses changent d’elles-mêmes. En fait, il a complètement changé de vie en trouvant du travail et il mange plus normalement, avec beaucoup moins de sucre. Ce qui veut bien dire qu’un mode de vie équilibré et une alimentation saine sont vraiment déterminants dans la résolution des symptômes dits « psy ».
merci de votre message, qui confirme les liens entre les troubles psy, quels qu’ils soient ... le problème c’est qu’on soigne les effets au lieu de réellement rechercher les causes. Avez-vous aussi fait le lien entre la prise d’antibiotiques qui, on le sait, détruisent la flore intestinale. A bientôt bonne journée
bonjour et tous mes voeux pour 2016 sur le site masantenaturelle.com, ils expliquent bien les liens alimentation, hygiène de vie et troubles cognitifs. "Un cerveau en santé dépend des nutriments mis à sa disposition par
l’alimentation, mais également à sa capacité de les recevoir par
l’entremise du réseau sanguin.« »Les sucres simples, ceux-ci provoquent des pics glycémiques suivis de
baisse parfois importantes. Ces variations brusques du taux de sucre
sanguin sont très dommageables au cerveau" Quels thérapeutes font un bilan exhaustifs en ce sens : mode de vie, hyper-glycémie provoquée et autres ? - Quelles incidences cela a-t-il sur leur prise en charge thérapeutique ?
La personne dont j’ai parlée, a un pb d’hypoglycémie et de toxémie au sucre, + une irrigation cahotique du cerveau (vus en scans) - Ce qui corrobore cette approche
désolée je n’ai pas envie de polémiquer et je connais la définition de la santé de l’OMS : « un état de complet bien-être, physique et mental ». Ce qui m’intéresse, c’est ce qui se passe concrètement et permettre à certaines personnes d’aller mieux sans s’abrutir de médicaments.... si cela est possible, bien sûr bonne soirée
filo bonsoir, merci de votre réponse et je suis d’accord avec cette analyse... Sur ce plan, je pense que c’est à chacun d’en prendre conscience et d’agir en conséquence et à son niveau. « Sois le changement que tu souhaites dans le monde » à dit Gandhi. Par contre, en l’occurrence, je m’intéresse plus concrètement, à la prise en charge des personnes atteintes de troubles psychiques ... leurs éventuelles causes métaboliques, nutritionnelles ... notamment des liens avec les variations de la glycémie... notamment chez ceux qui peuvent avoir des facteurs familiaux. "Dans les pays industrialisés, la consommation journalière de sucre est
très importante. Elle avoisine les 100g de sucre par jour par habitant,
alors qu’elle ne devrait pas dépasser 50g dans le cadre d’une
alimentation équilibrée" Passeport Santé Certains notices des labos font bien état de risque de diabète... donc d’un problème de ce côté. Ce qui fait que pour ceux qui se trouvent dans cet engrenage, cela peut devenir un cercle vicieux.