L’irruption de l’immigration musulmane en France pose un certain nombre de problèmes tout à fait nouveau :

1) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, s’en prennent ouvertement à une communauté nationale, installée chez nous depuis des lustres, et dont la contribution au renom national, dans tous les domaines, politique économique, scientifique, et sans commune mesure avec la leur.

2) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, s’en prennent à des alliés de longue date de leur pays d’accueil : Israël, Les USA, la Grande-Bretagne, insultent leurs ressortissants, ou bien insultent leur chefs d’Etat, pourtant régulièrement élus par leurs peuples au suffrage universel.

3) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, soutiennent ouvertement des régimes dictatoriaux, qui sont en lutte ouverte contre leur pays d’accueil, ou contre ses alliés.

Ou bien soutiennent des mouvements terroristes étrangers qui commettent des attentats sanglants dans leur pays d’accueil, ou chez ses alliés.

4) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, insultent sans se cacher le moins du monde le chef de l’Etat de leur pays d’accueil.

5) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, s’en prennent ouvertement aux principes démocratiques en vigueur dans leur pays d’accueil, ou aux principes de la laïcité de l’Etat, ou à ses institutions démocratiques et contestent ouvertement les résultats du suffrage universel.

6) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, s’attaquent à force ouverte aux biens de l’Etat qui les accueilli et les mettent au pillage, ou les livrent à l’incendie : écoles, bibliothèque, cimetierres.

7) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, s’attaquent ouvertement au principe d’égalité des sexes, au principe de la monogamie, soutiennent des idéologies ouvertement racistes ou sexistes.

8) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, commettent ouvertement des crimes racistes, ou des crimes sexistes. On a vu, pour ne prendre que cet exemple, des jeunes filles BRULEES VIVES en plein jour et dans la rue.

9) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, commettent des attentats à l’explosif contre les ressortissants de leur pays d’accueil, dans les métros ou les autobus de leurs capitales, en pleine ville et en plein jour.

10) Pour la première fois, des immigrants illégaux, régularisés a posteriori en violation du principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois, conseillent aux ressortissants de leur pays d’accueil de se convertir à une religion qui leur est parfaitement étrangère et font du prosélytisme religieux.

Aucune autre immigration n’a osé se comporter de cette façon chez nous, aussi loin que l’on remonte dans l’Histoire de France.

Il est temps de mettre fin à ces mascarades.