« pour un de mes anniversaires, je me suis fait offrir la collection totale de »La Grande Histoire des Français sous l’Occupation« . ce qui en ressort, c’est que rien n’est simple, ni tout blanc, avec les résistants héroïques d’un côté, ni tout noir, avec les méchants collabos de l’autre...
»
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Bien sûr, bien sûr.
Bien sûr qu’il y avait des gens très bien du côté de la Kollaboration.
La meilleure preuve en est qu’il y avait même toute une floppée de gens de « gôche » chez les Kollabos. Tels que Pierre Laval (Député Radical-Socialiste), Marcel Déat (Député Socialiste SFIO), ou Jacques Doriot (Député Communiste).
Tandis que chez les Résistants, il y avait aussi des salauds. Par exemple, des juifs ou des apatrides. Et aussi des francs-maçons. Qui ont accepté de se faire tuer pour qu’une Claude puisse librement continuer à délirer sur Agoravox.
C’est tout à fait comme aujourd’hui :
La « gauche » collaborationniste de l’Occupation a fait des petits.
Ses enfants sont tout ceux de la « gauche », qui se disent
« anti-libéraux »,
« antisionistes »,
ou « altermondialistes »,
alors qu’en fait ils sont totalitaristes, antisémites et prêts à vendre leur pays contre un plat de lentilles.
Exactement comme leurs glorieux ainés.
Fort heureusement, il y a aussi une autre gauche, la véritable gauche cette fois, qui est social-démocrate, qui n’a plus rien à faire avec la première et qui va s’en séparer.
C’est la gauche de Kouchner, DSK, Allègre, Bockel. Tous les « déserteurs », que la « gauche » antilibérale insulte aujourd’hui et qu’elle aurait volontiers livré aux allemands si elle avait vécu à la bonne époque, comme l’on fait leurs parents.
Il ne faut surtout pas oublier que si on avait dû fusiller tous les Kollabos à la Libération, il aurait fallu fusiller la moitié du pays ! Et que la grande popularité du Général de Gaulle tenait au fait qu’il avait pardonné, dans sa grande sagesse, à tous ces gens qui ont pu ainsi se croire blanc comme neige. En amnistiant le Marechal.