Le prochain grand dossier de la politique mondiale est déjà sur la table : l’Iran.
Depuis des mois, avec une grande patience, la communauté internationale (l’ONU et l’AIEA) négocie avec le régime fasciste religieux iranien. Cette négociation, qui laisse toute sa place à la diplomatie, est-elle, oui ou non parvenue à une impasse ?
Sarkozy vient de rappeler qu’il n’est pas question que l’Iran dispose de l’arme atomique, c’est la position unanime du monde civilisé.
Par conséquent l’Iran n’en disposera pas : en dernier recours, si tous les autres moyens sont épuisés, une frappe nucléaire préventive, effectuée avec des missiles à grande pénétration, anéantira les installations nucléaires militaires que les iraniens ont planqué cinquante mètres sous la surface du sol.
Mais nous n’en sommes pas encore là. Aujourd’hui il faut soutenir la lutte de libération nationale des kurdes, des azéris, des arabes, et des turcmènes, qui gémissent sous le joug des perses, dans ce pays que les perses nomment « l’Iran », c’est à dire le « pays des aryens ».
La Presse internationale n’en parlent guère, et les résistants n’ont pas besoin de publicité au point où nous en sommes, mais l’armée perse est attaquée tous les jours par les combattants des peuples qui aspirent à la liberté en Iran.
Il est fini le temps où la France soutenait un régime tyrannique, en Irak, pour des raisons bassement mercantiles, l’heure est à l’action de tous les vrais démocrates contre la tyrannie et l’oppression.
En prenant position, sans ambiguïté, sur la question iranienne, Sarkozy replace la France à son rang.
Et soyons clairs, pour une fois : S’il ya en France une cinquième colonne, composés d’éléments allogènes installés en France sans autorisation, alors cette minorité sera dénoncée comme il convient.
La République n’a jamais réchauffé de vipères en son sein.