La violence des « jeunes » ?
Oui mais de quels « jeunes » parlons-nous ?Tout le monde le sait, inutile de le dire, et c’est bien la raison de l’inquiétude qui saisit tous ceux qui ont encouragé l’immigration illégale, ou qui ont accepté de fermer les yeux.
Notre « sociologue » s’inquiète car dans le fond il sait très bien que les incidents ne vont pas cesser comme par enchantement et que la prise de conscience de l’opinion publique est en route.
Quelle est sa solution ? l’autocensure de la Presse ? La langue de bois ?
Imaginez un peu dans quel état se trouvera l’opinion publique dans six mois ou dans un an !
Ceux qui se donnent pour mission d’étouffer le scandale de l’immigration illégale se sont confiés une mission impossible.
Nous avons importé en fraude des chômeurs inemployables dans une économie développée comme la notre, dont le secteur tertiaire est le seul à créer des emplois, des chômeurs sans formation, sans éducation, souvent analphabètes, qui nous ont apporté dans leurs bagages, leur misère matérielle et morale, une violence souvent bestiale, des haines ancestrales, des conflits qui ne nous regardent pas, une délinquance, ainsi que des trafics et des fraudes, qui sont leurs seuls moyens d’existence dans une société étrangère qu’ils ne comprennent pas, où ils n’ont rien à faire et où ils vivent au milieu de gens qu’ils n’aiment pas.
Belle opération en vérité !
Et pendant ce temps le vase se remplit. Inexorablement.
Si bien que l’opinion publique finira par se poser les seules questions qui vaillent et qui ne portent pas sur « l’échec scolaire », ni sur la « ghettoïsation » mais sur des sujets beaucoup plus sérieux qui auront des conséquences politiques :
Qui a laissé entrer ces gens ?
Et pourquoi ?
On en reparlera.