Les marchés, ce sont vous et moi, tous les individus et toutes les entreprises qui prennent à chaque instant des décisions économiques, la décision de consommer ou d’investir, la décision de consommer tel bien ou service plutôt que tel autre, la décision de dépenser ou d’épargner.
Les marchés sont démocratiques par essence et tous les régimes qui ont prétendu lutter contre les forces démocratiques du marché ont été des régimes dictatoriaux : le régime nazi, les régimes communistes.
Le libéralisme politique marche la main dans la main avec le libéralisme économique, l’un ne peut exister sans l’autre et les lorsque l’un d’entre eux, disparaît l’autre disparaît aussitôt.
Les marchés sont segmentés en fonction de leurs activités, il y a le marché du riz, le marché des machines à laver, le marché des produits financiers, mais en réalité tous les marchés sont connectés entre eux et ils transcendent les frontières.
Cette réalité du marché, qui est né avec l’avènement du troc, qui s’est accentuée avec l’invention de la monnaie qui a facilité les échanges en permettant la comparaison des valeurs entre tous les différents produits, qui se généralise aujourd’hui à la terre entière, tous les pays ayant abandonné le « socialisme » aussi sûrement qu’ils avaient abandonné le troc, est décrite dans la science économique en langage mathématique, après s’être débarrassé des divagations de philosophes sophistes, tels que Karl Marx ou Friedrich Engels.
Les idéologies politiques totalitaires ne sont pas les seules à vouloir lutter contre la démocratie des marchés, certaine idéologies religieuses ont également prétendu régenter la liberté des échanges économiques.
Toutes ces idéologies funestes et pernicieuses sont fort heureusement aujourd’hui des cancers en régression.