En bref, au nom d’une contre idéologie ambiante, « Gros Macho » nous invite à fustiger tout à la fois le romancier Henry Miller, son oeuvre, la pièce de Thierry Atlan, ses interprètes et enfin le contenu de cette chronique qui serait écrite sous influence pernicieuse....
Excusez du peu mais cette stigmatisation collective pourrait aisément ressembler à un coup d’épée dans l’eau mais libre à chacun de mener les combats qu’il souhaite !.... :))